Une nouvelle série de notes d'orientation propose aux décideurs politiques et aux responsables de l'éducation nigérians des recommandations politiques fondées sur des données probantes pour améliorer les conditions permettant d'améliorer les résultats en lecture dans les premières années d'études..

Les trois notes d'information – qui se concentrent sur les meilleures pratiques mondiales des programmes de lecture, souvent appelées les « 5 T ». (Enseignement, Temps, Langue, Texte et tests) – fournir des recommandations pour:

• Améliorer l’enseignement de la lecture en petite enfance;
• Améliorer l’enseignement en langue du milieu (Haoussa) et la transition vers l'anglais dans les classes primaires; et
• Offrir suffisamment de temps d’enseignement aux enfants pour qu’ils apprennent à lire.

Les notes sont basées sur les preuves recueillies lors du suivi et de l'évaluation., Résultats de l'évaluation de la lecture dans les premières années d'études et analyse des politiques existantes aux niveaux fédéral et étatique.

En collaboration avec les partenaires gouvernementaux fédéraux et étatiques, le Initiative d'éducation du Nord Plus Le projet a élaboré et présenté les trois notes d’orientation lors d’ateliers de planification d’action politique dans les États de Bauchi et Sokoto au Nigeria en décembre. 2017.

Ils constituent une partie du NOUS. Agence pour le développement international-les efforts du projet financé pour soutenir les écoles formelles et non formelles dans les États de Bauchi et Sokoto afin d'améliorer les compétences en lecture de plus de 2 millions d'élèves du primaire. Il est mis en œuvre par Creative Associates International et d'autres partenaires, y compris Centre de développement de l'éducation, Université d'État de Floride et Conseil stratégique à l’étranger.

Ouvrir la voie à la politique

Aux ateliers de planification des actions politiques, les experts en lecture du projet dans les premières années d'études ont présenté un certain nombre de recommandations politiques pour des améliorations à long terme de l'éducation de base, en particulier pour la lecture en début de année.

« La présentation des notes d'orientation lors des ateliers a suscité l'inquiétude des parties prenantes.,» dit Joie du Plessis, Spécialiste senior de la lecture chez Creative. « Afin d'atteindre l'objectif consistant à ce que les enfants soient capables de lire en haoussa dès les premières années, les systèmes éducatifs du nord du Nigeria ont besoin d’être encore renforcés.

Parmi les participants aux ateliers figuraient des représentants du ministère fédéral de l'Éducation., Conseil nigérian de recherche et de développement en éducation, Ministères d'État de l'Éducation, Conseil d'inscription des enseignants du Nigéria, Ministères d'État de l'Éducation, Conseils d'État pour l'éducation de base universelle et autorités éducatives des gouvernements locaux.

Mansour Abubakar, Directeur de la planification, Recherche et statistiques sur le Conseil de l'éducation de base universelle de l'État de Bauchi, says the policy briefs include critical information that will help guide the next steps in improving early grade education in the state.

« Les ateliers de planification des actions politiques ont identifié de nombreux problèmes dans nos écoles dont nous connaissions l'existence mais dont nous n'avions pas fait de recherche ou n'avions aucune preuve pour les étayer.,» dit Abubakar. « Nous comprenons désormais qu’un programme de lecture efficace nécessite une approche délibérée et systémique. »

Abubakar affirme que les notes d'orientation éclairent les efforts visant à placer les enseignants dans les zones où ils sont le plus nécessaires, réaffecter les ressources sur la base de données probantes et garantir que les efforts de réforme de la lecture en bas âge peuvent être soutenus.

Aller de l'avant, les gouvernements fédéral et des États réformeront la formation des enseignants dès le début- et des niveaux de formation continue pour attirer des enseignants qualifiés dans le système scolaire, lutter contre l’absentéisme des enseignants, et augmenter le temps d'enseignement. Ils soutiendront également la politique du ministère fédéral de l’Éducation consistant à enseigner aux jeunes étudiants toutes les matières dans la langue locale, le haoussa..

«Nous avons désormais un plan d'action, attribuer la responsabilité aux différents acteurs,» dit Abubakar.

Repenser la politique pour stimuler l’éducation

Les ateliers et les notes d’orientation complètent les efforts globaux du projet Northern Education Initiative Plus visant à réformer le système éducatif du Nigeria..

« Les ateliers se sont appuyés sur les activités précédentes menées par le projet dans le domaine politique, y compris la cartographie des politiques., développer le cadre politique de lecture et organiser des dialogues sur la politique de lecture,» dit du Plessis.

Elle ajoute que le projet a présenté les dossiers à toutes les parties prenantes clés en mettant l'accent sur des actions concrètes qui amélioreront non seulement la lecture en bas âge et la transition vers l'anglais, mais aussi l'enseignement primaire de manière plus générale..

Au cours des deux dernières années, le projet éducatif a permis de réaliser des changements politiques clés dans le domaine de l'éducation. Par exemple, Les responsables de l'éducation de l'État de Bauchi et de Sokoto ont convenu de modifier l'horaire scolaire de la première à la troisième année de cinq à dix périodes par semaine pour enseigner "Lisons".! (Lisons! en haoussa) leçons, le curriculum développé par le projet. Les livres équipent la classe 1 à 3 les étudiants doivent lire dans leur langue locale, le haoussa.

Le projet aide également le Conseil nigérian de recherche et de développement en éducation, l'agence responsable de l'élaboration des programmes d'études, élaborer une feuille de route pour la conception d’un cadre national de lecture.

Pour continuer la progression, les experts en politique de lecture du projet ont présenté des mémos en faveur de l'intégration de la lecture préscolaire dans le programme national devant le Conseil consultatif mixte sur l'éducation., Le deuxième organe décisionnel le plus élevé du Nigeria en matière d’éducation.

Sitting on a wooden bench in the front row of his grade 3 class and enthusiastically raising his hand to answer his teacher’s questions, 10-year-old Yazidu Sahabi demonstrates his passion for learning.

“You must study hard, and do it with all of your heart,” says Yazidu, who dreams of becoming a medical doctor.

Zaharau Abdullahi Yabo, Yazidu’s teacher, says he is the first to arrive to her classroom each morning and the reading and writing skills he is receiving at school will put him on a path to success.

“If a student doesn’t get a strong foundation in primary school, it is hard for him to achieve what he wants to become later in life,” explains Yabo.

Yazidu is one of nearly 200,000 young students in Sokoto improving reading and writing skills through an early grade reading program called Lisons! (Lisons! en haoussa).

Financé par le NOUS. Agence pour le développement international, le Initiative d'éducation du Nord Plus le projet est mis en œuvre dans des écoles formelles et non formelles des États de Sokoto et Bauchi au Nigéria, dans le but d'améliorer les compétences en lecture pendant plus de 2 millions d'élèves du primaire.

In partnership with more than 100 développeurs de programmes d'études internationaux et locaux, linguistes, primary teachers and other educators, the project has developed student books and teacher guides for each of the three terms of the Nigerian school year.

Le Lisons! books equip grade 1 à 3 students to read in the local language of Hausa, et le Lisons! books prepare grade 2 à 3 students to transition from reading in Hausa to English.

Collectivement, the books contain more than 750 leçons, each of them providing children with opportunities to practice reading, listening and writing. The illustrations and stories embedded in the books communicate local cultural norms and values. En plus, the guiding questions that supplement each lesson encourage early grade readers to think critically.

Sparking excitement for learning

Dans l'État de Sokoto, a hot and arid Savannah region in northwestern Nigeria that borders Niger, educating children in rural areas has been a challenge.

Farming families prioritize working in the fields over receiving an education, classrooms have suffered from insufficient textbooks and teachers are not adequately trained and mentored. With these education challenges, teachers and students are regularly absent from school.

Grade 3 teacher Yabo says despite these hurdles, perspectives are changing and a renewed excitement for learning is increasing in the remote communities. The Northern Education Initiative Plus has delivered more than 860,000 textbooks to students and teachers in nearly 900 primary schools in Sokoto state.

“Children are coming to school more than they did before because of the books distributed to them,” says Yabo, who has been teaching at Nizzamiyya Islamiyya Model Primary school for nine years and even attended the school as a child.

Before the Lisons! books were delivered to school, Yabo says the teachers were using very old and outdated textbooks. Cependant, the new learning and teaching materials are opening new avenues for students to receive a quality education.

“Even those that are not enrolled in school are drawn to these books and they ask their parents to bring them to school so they can get these books,» explique-t-elle.

In the second year of a five-year project, Northern Education Initiative Plus a distribué plus de 1.9 millions de manuels de lecture pour les élèves et les enseignants des États de Bauchi et Sokoto, opening new doors for children in northern Nigeria to improve their basic literacy and math skills.

For 10-year-old Yazidu, le Lisons! lessons are enhancing his motivation to learn in the classroom.

“When we learn Lisons! my teacher teaches us new songs, she shows us papers with drawings of different objects and their names. We identify them together. She reads a story, asks us questions and we look in our books together," dit-il.

For Abubakar Sahabi, Yazidu’s father, receiving a quality education is essential for his youngest son to reach his goals.

“When I watched him read I realized that the many hours he spent in school were worth the while. My decision to educate him is a good investment,» dit Abubakar, who is a retired teacher and has 18 enfants.

After witnessing his son’s motivation to learn Hausa and English, Abubakar installed a chalkboard in their home kitchen to practice the Lisons! lessons together as a family.

“Yazidu is performing better than his older brother who is grade 4 because of the program materials and instruction,” explains Abubakar. “He has taught his brother and even other secondary students what he is learning at school.”

Addressing a state of emergency together

Faruk Shehu, Executive Secretary for Sokoto State Universal Basic Education Board, says the education sector in northern Nigeria has been in desperate need of improvement and the Sokoto government is taking the initiative to rapidly overcome challenges.

“The Sokoto government has declared an educational state of emergency after sitting down and realizing the major issues in education in northern Nigeria,” explains Shehu.

À propos 80 percent of children in grades 2 et 3 in Bauchi and Sokoto states were not able to read a single word in Hausa or English, selon un 2016 Early Grade Reading baseline assessment conducted by the Northern Education Initiative Plus project.

With outdated instructional methods and inadequate training of teachers, learners do not have the support needed to succeed in the classroom.

Shehu says two main groups—the Policy Council on Education and Technical Committees—have been established to fast-track education activities related to the state of emergency. The committees include principals, enseignants, administrateurs scolaires, unions and international nongovernmental organizations, among others involved in the sector.

To Shehu, the partnership is evolving and changing and “everybody is coming together” to solve the primary challenges to education in Sokoto.

“A society without education is not fit to be a society," dit Shehu, who has been part of the education sector during his entire career. “If you look at it morally, economically and socially, education shapes the life of every individual.”

Le Initiative d'éducation du Nord Plus program builds ownership among federal, state and Local Government Education Authorities and works closely with them to ensure commitment to quality early grade reading instruction and increased access to education.

Yusuf Alhassan Muhammad, Local Government Reading Coordinator for Northern Education Initiative Plus, says the local government, communities and parents have accepted the early grade reading program and Lisons! educational materials through ongoing advocacy and open communication.

Frequent meetings with traditional and religious leaders, as well as parents and school administrators, influenced the key decision makers and the community embraced the new reading program.

Muhammed says the local government has shown ownership in the project by continually engaging the entire community and by covering the compensation for 115 government staff who received teacher training and eventually were placed in a primary school.

Dans un souci de durabilité, the government also provided a vehicle to deliver the learning and teaching materials to 77 hard-to-reach, communautés rurales, says Muhammed.

À travers le projet, plus que 9,000 educators have been equipped with practical skills to teach the early grade reading curriculum.

“The education system cannot be taken care of by individuals independent of the parents,” says Muhammed, who is responsible for the project’s reading activities in formal schools in Sokoto’s Tangaza local government. “Teachers are the parents at school and equally the parents are the teachers at home.”

Creative teaching, active learning

Yabo has experienced firsthand the challenges of teaching young learners with inadequate literacy curriculum and limited support. In her career as a teacher in Sokoto, she had not received in-service training.

Yabo says she lacked quality teaching and learning materials and had limited guidance on planning lessons. Par exemple, she would enter a classroom and teach her students for several hours without inviting them to actively participate in lessons.

“The trainings changed my whole perspective to teaching. I have teacher guides with properly structured lessons. I engage my pupils throughout the lesson. I hear their voices as much as they hear mine. It is team work,” says Yabo.

Yabo says that since her school has embraced the Northern Education Initiative Plus interventions, the culture of reading at Nizzamiyya Islamiyya Model Primary has improved and the new approach to learning and teaching is creating a more positive environment.

“Trained teachers are excited about teaching in class because they are finding creative ways to express themselves,» explique-t-elle. “Children want to come to school more because it is fun and parents love the textbooks.”

She also says that the stories in the Lisons! textbooks have changed the behavior of children.

“Children have listened to and read the stories that teach good hygiene so children now take their bath and wear neat uniforms to school. There are stories that teach good morals and the value of education so children now understand that daily attendance in school is important," dit-elle.

Joie du Plessis, Senior Reading Specialist for Northern Education Initiative Plus, recognizes the importance of mother tongue language and story illustrations in textbooks play to improve literacy education for all children–especially living in remote northern Nigeria.

“We’ve seen how the community is very happy with the illustrations and how they represent the culture," dit-elle. “Before the materials were printed, we tested them in communities to make sure they were socially and culturally relevant and acceptable.”

The reading expert says the illustrations were designed to reflect strong, curieux, filles et garçons vivants et actifs, surtout les filles, and the images show the children as being equal.

The illustrations and the stories encourage students like Yazidu to become critical thinkers and to question, prédire, infer and analyze–important skills needed to succeed in school and eventually a thriving career.

“How do we know early grade students’ in Sokoto are improving their reading skills and enjoying learning new lessons?” asks du Plessis. “We see the accelerated student achievement in classrooms and a new excitement and embrace for education from parents and communities every single day.”

Une émission de radio en direct sur Vision FM est sur le point de se terminer lorsqu'un auditeur appelle la station pour affirmer que les parents, qu'ils soient alphabétisés ou analphabètes, peuvent aider leurs enfants à devenir de meilleurs lecteurs.

De l’État de Sokoto au Nigéria, l’appelant fait écho au message du sketch dramatique de cinq minutes qu’il venait d’écouter sur l’émission Let’s Read! (Lisons! en haoussa) émission de radio axée sur l'importance de l'alphabétisation et de l'éducation.

«Je veux que les enfants de notre communauté apprennent à lire," dit un autre auditeur appelant à l'émission en direct sur la station de radio Globe FM dans l'État de Bauchi.. « Ce programme devrait également atteindre mon gouvernement local. »

L'émission de radio en direct diffusée sur plusieurs stations offre aux auditeurs la possibilité d'appeler l'émission pour poser des questions., fournir des commentaires sur le drame ou le segment de discussion. Des experts en alphabétisation sont disponibles pour résoudre les questions qui nécessitent des éclaircissements.

Une partie du Projet Northern Education Initiative Plus financé par l’USAID, le Lisons! des programmes de radio sont diffusés dans les États nigérians de Sokoto et de Bauchi pour encourager les communautés à créer une culture de la lecture.

Mis en œuvre par Creative Associates International, le projet donne accès à une éducation de qualité et cherche à améliorer les compétences en lecture de plus de deux millions d'enfants d'âge scolaire dans des écoles formelles et non traditionnelles..

Avec des sketches radiophoniques, le projet atteint également les communautés via les téléphones mobiles. Pendant les programmes en direct, des drames et des messages d'intérêt public sont diffusés à la radio, le projet envoie des messages vocaux mensuels sur les téléphones à des groupes ciblés de pères alphabétisés et analphabètes, les mères, les frères et sœurs plus âgés et les dirigeants communautaires pour obtenir leur soutien à l'éducation.

Les membres de la communauté écoutent les messages sur leur téléphone la nuit après les activités de la journée et peuvent ensuite se désinscrire ou transmettre le message à un ami ou à un membre de la famille pour promouvoir davantage les campagnes..

Les messages radio et vocaux s'alignent sur les calendriers des écoles et des centres d'apprentissage non formel et se concentrent sur les thèmes de la scolarisation., rétention, transition et lecture en début de année.

Messagerie locale pour mobiliser le soutien de la communauté

James Statman, Chef du parti pour le Projet Initiative d'éducation du Nord Plus, affirme que voir à travers une lentille culturelle locale est essentiel au succès de la campagne médiatique.

« Le projet a étudié la meilleure façon de vendre l'éducation aux parents de manière à ce qu'ils en connaissent les avantages, non seulement pour leurs enfants, mais aussi pour eux-mêmes.,» explique Statman.

« Nous avons appris que même si de nombreuses personnes étaient d’accord sur le fait que l’éducation était une bonne chose,, ils ont dû découvrir ses avantages de manière très pratique, par exemple comment des enfants instruits pouvaient les aider au quotidien en tant qu'agriculteurs., artisans, bergers ou femmes au foyer," dit-il.

Statman affirme que les campagnes ont été élaborées localement par la communauté et créées grâce à la collaboration avec des chefs religieux., représentants de l'école, partenaires gouvernementaux, des femmes leaders et une équipe d'experts rompus aux communications sur le changement de comportement de l'African Radio Drama Association.

Des histoires engageantes qui trouvent un écho auprès des communautés

La popularité et le succès de la campagne sont dus en partie au fait que les membres de la communauté peuvent se reconnaître dans les individus qu’ils entendent à la radio., explique Statman.

« Nous avons veillé à utiliser des personnages auxquels les communautés d'intervention pourraient facilement s'identifier comme un boucher, un enseignant avec des enfants, une infirmière communautaire ou un chef de village pour parler des avantages de l'éducation de manière conversationnelle et attrayante," dit-il.

L'un des thèmes du sketch radiophonique se concentre sur une mère analphabète qui demande de l'aide à un autre voisin analphabète après que sa fille lui demande constamment de l'aider à faire ses devoirs..

La voisine analphabète explique à la mère qu'elle ne sait peut-être ni lire ni écrire, mais qu'elle peut aider sa fille à mieux lire de plusieurs manières.. Elle lui dit qu'elle pourrait rendre la maison propice à la lecture, suggère d'interroger son enfant sur sa journée à l'école, encourager l'enfant à lui lire à haute voix et à lui apprendre des chansons culturelles.

La mère enseigne à l’autre mère une chanson qu’elles chantent ensemble et elle repart avec le sentiment d’être plus en mesure de répondre aux besoins éducatifs de sa fille..

Toucher un public plus large

Les émissions de radio en direct sont animées par des présentateurs largement reconnus dans les deux États nigérians et sont promues sur les stations avant d'être diffusées afin que les auditeurs puissent anticiper le sujet principal de l'émission du jour..

Zainab Gwani, un enseignant du gouvernement local de Darazo, dans l'État de Bauchi, apparaît en tant qu'invité au programme. C'est la première fois qu'elle parle à la radio.

Gwani affirme que les enfants scolarisés reçoivent tout le soutien nécessaire pour apprendre à lire avec le Lisons! programme de lecture en début de primaire, mais il doit être complété par le soutien des parents.

« L’émission de radio est une très bonne plateforme pour atteindre les parents et leur expliquer pourquoi il est important de s’impliquer davantage dans la scolarité de leurs enfants.," dit-elle. « Nous aimerions les voir surveiller l’enseignement et l’apprentissage à l’école, aidez-les à faire leurs devoirs et préparez-les pour l’école.

"Je partage cela tous les jours à l'école, mais je peux désormais transmettre ce message à des milliers d'autres personnes.," dit Gwani.

Le Réponse à la crise de l'éducation au Nigeria le projet a été nommé l'un des 10 lauréats du prestigieux, troisième édition 2017 Collaborer, Concours de cas d’apprentissage et d’adaptation.

Présenté par les États-Unis. Agence pour le Développement International Laboratoire d'apprentissage, le concours mondial récompense des études de cas réelles du personnel de l'USAID et des partenaires de mise en œuvre pour l'apprentissage organisationnel et de meilleurs résultats en matière de développement.

Le projet Nigeria Education Crisis Response, financé par l'USAID, est mis en œuvre par Creative Associates International., le Comité international de secours, le gouvernement nigérian et les organisations non gouvernementales locales.

Récompensé pour son utilisation de multiples boucles de rétroaction pour adapter la programmation dans la partie volatile du nord-est du pays, le projet se concentre sur élargir l’accès à une éducation non formelle pertinente et de qualité opportunités pour les enfants et les jeunes déplacés internes et non scolarisés 6 à travers 17.

« Nous sommes honorés que l’USAID ait reconnu les efforts innovants du projet Nigeria Education Crisis Response pour répondre aux besoins des personnes vulnérables., enfants et jeunes déplacés,» dit Comte Gast, Vice-président principal et directeur principal des divisions Éducation pour le développement et la croissance économique chez Creative.

« Appliquer de vrais, des solutions collaboratives et stratégiques aux défis du développement sont essentielles dans tous les contextes, mais encore plus dans un environnement instable comme le nord-est du Nigeria,» ajoute-t-il.

Les retours réguliers ont été essentiels pour garantir des adaptations opportunes et fondées sur des données probantes dans la programmation de l'éducation en cas de conflit et une collaboration plus étroite entre toutes les personnes impliquées dans l'initiative., du niveau communautaire au gouvernement de l’État.

Allez Oladini, Chef de parti, attribue le succès du projet Nigeria Education Crisis Response à la collaboration entre l'USAID, communautés, parents, les partenaires et le personnel.

« En intégrant des boucles de rétroaction via le Collaborating, Approche d’apprentissage et d’adaptation, nous formons des relations de confiance et donnons à tous les décideurs clés les moyens de s'approprier entièrement le projet," dit Oladini.

Le projet a été sélectionné parmi 100 études de cas pour tirer parti des ressources de l’USAID Collaborer, Approche d’apprentissage et d’adaptation, un ensemble de pratiques qui contribuent à améliorer l’efficacité du développement.

Améliorer la réactivité envers les bénéficiaires

Tirer parti de la collaboration, Approche d’apprentissage et d’adaptation pour améliorer le succès des programmes, le projet Nigeria Education Crisis Response a mobilisé et formé près de quatre douzaines d'organisations non gouvernementales pour créer plus de 900 centres d'apprentissage non formel pour les enfants déplacés par la violence.

Les boucles de rétroaction permettent à l'équipe du projet d'apprendre quelles pratiques sont efficaces avec ces apprenants déplacés et comment la communauté réagit..

« La collaboration, L'approche d'apprentissage et d'adaptation est un outil puissant qui a aidé le projet Nigeria Education Crisis Response à devenir plus réactif envers les bénéficiaires.," dit Oladini.

En collaboration étroite et continue entre le gouvernement nigérian, personnel du projet, société civile et communautés locales, le projet a atteint plus de 88,000 enfants déplacés internes non scolarisés possédant des compétences de base en lecture, écriture et calcul et des services complets tels que Apprentissage socio-émotionnel soutien. Elle est active dans cinq États du Nigeria: Adamaoua, Bauchi, Borno, Gombe et Yobé.

Grâce à la collaboration, Approche d’apprentissage et d’adaptation, la réponse à la crise éducative au Nigeria a réussi à mobiliser des coalitions communautaires pour résoudre les problèmes de mise en œuvre locale et améliorer la qualité, prestation et caractère inclusif du modèle d’éducation non formelle.

La collaboration, Les gagnants du concours de cas d'apprentissage et d'adaptation seront honorés lors d'une réception du laboratoire d'apprentissage de l'USAID à Washington., D.C., en octobre 19.

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Des milliers d’enfants nigérians non scolarisés se préparent à entrer à l’école formelle

Par Boco Edet Abdul

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Rencontrez Hadiza Hamza, un de ces élèves qui a fait la transition vers la salle de classe

SOKOTO – Jusqu’à récemment, Hadiza Hamza faisait partie des millions d’enfants non scolarisés dans le nord du Nigeria..

Un résident de la communauté Malamawa dans l’État de Sokoto au Nigeria avec un accès limité à l’éducation formelle, Hamza et ses six frères et sœurs fréquentaient les écoles coraniques et aidaient leurs parents pendant les saisons agricoles..

Maintenant, elle est assise au fond d'une classe de quatrième année de l'école primaire de Malamawa, montrer du doigt des mots dans un passage et lire à haute voix avec d’autres étudiants.

Comment est-elle arrivée ici?

L'année dernière, Hamza s'est inscrit à un programme d'alphabétisation de base dans un centre d'apprentissage non formel communautaire, introduit par le projet financé par l'USAID Projet Initiative d'éducation du Nord Plus. Mis en œuvre par Creative Associates International Systèmes pédagogiques équipe, le projet donne accès à une éducation de qualité et améliore les compétences en lecture à plus de deux millions d'enfants d'âge scolaire dans des écoles formelles et non traditionnelles..

"Je voulais être éduqué mais je n'en ai jamais eu l'opportunité jusqu'à ce qu'un centre ouvre dans notre communauté," Hamza dit. «Je pourrais apprendre à lire et à écrire facilement.»

À ce jour, le projet a recruté plus de 36,000 les enfants - qui, comme Hadiza Hamza, étaient autrefois déscolarisés - en 800 centres d'apprentissage non formel dans les communautés défavorisées sur le plan éducatif dans les États de Bauchi et de Sokoto.

En plus d'atteindre les âges des étudiants 5 à 17 avec une éducation de qualité, le projet forme également des membres instruits de la communauté facilitateurs d'apprentissage enseigner l'alphabétisation, calcul et compétences de vie en haoussa, la langue maternelle parlée à Sokoto et Bauchi, et aider les étudiants à faire la transition vers l'anglais.

Mohammed Yusuf Gama, Accéder & Officier de fragilité Etat de Sokoto, coordonne toutes les activités d’accès et de fragilité du projet Northern Education Initiative Plus et contribue à renforcer les capacités de 10 les coordinateurs de l’accès et de la fragilité des gouvernements locaux et les ONG pour créer des centres d’apprentissage non formel.

 « Nos centres d'apprentissage non formel introduisent l'éducation à la plupart des enfants non scolarisés et, après avoir terminé notre programme d'alphabétisation de base, facilitent leur entrée dans les écoles formelles.,» dit Gama.   

Le parcours de Hadiza vers une éducation de qualité et une scolarité formelle

Pendant le programme de six mois, des enfants comme Hamza suivent des cours au moins six heures par semaine. Ils reçoivent des manuels scolaires développés par le projet Northern Education Initiative Plus, financé par l'USAID, ainsi que du matériel d'écriture pour faciliter leur apprentissage..

Lorsqu'un centre d'apprentissage non formel a ouvert ses portes dans sa petite communauté, Hamza a demandé à son père, qui est un religieux islamique, pour l'inscrire.

«J'ai aimé suivre des cours," dit-elle. «J'ai adoré mes livres. J'ai aimé les photos, surtout l'avion. Je sais qu’un jour j’y voyagerai lorsque je deviendrai enseignant.

Hamza progresse vers son rêve. En mars 2017, elle a passé et réussi un examen de fin d'études certifiant qu'elle avait terminé le programme d'alphabétisation de base, ce qui signifiait qu'elle pouvait poursuivre ses études en quatrième année dans une école formelle à proximité.

L'examen a été organisé par l'organisme de réglementation de l'éducation non formelle des États de Bauchi et Sokoto., l'Agence nationale pour l'éducation de masse.

Presque 90 pour cent de 31,631 enfants testés sur l'alphabétisation, matières de calcul et de compétences de vie enseignées au cours du programme d'alphabétisation de base réussies et qualifiées pour être intégrées dans les écoles formelles.

Avoir hâte de, le projet a mobilisé les autorités scolaires des écoles formelles en prévision de l'arrivée de ces nouveaux élèves de quatrième année à la rentrée des classes en septembre. Le projet Northern Education Initiative Plus a également contribué à renforcer l'appropriation et l'engagement de l'initiative d'éducation de base de qualité parmi les gouvernements fédéraux., gouvernement de l'état et local.

Désireuse de continuer à apprendre après avoir réussi son examen, Hamza a convaincu ses parents de lui permettre de commencer à suivre des cours en quatrième année en mars avant qu'elle ne s'inscrive officiellement pour la nouvelle année scolaire en septembre..

Sa mère, Asmau Hazma, considère sa fille Hadiza comme un modèle pour la famille. Elle est impatiente de soutenir le rêve de sa fille de poursuivre ses études.

«Je suis une mère très fière. Voir comment Hadiza sait désormais lire et écrire m'a fait prendre conscience de la valeur de l'éducation.,» dit-elle.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Des centaines de milliers d'enfants et de jeunes ont été déplacés par l'insurrection de Boko Haram.. Alors qu'ils tentent d'avancer dans leur vie et leur éducation dans les communautés d'accueil, le projet Nigeria Education Crisis Response, financé par l'USAID, fournit un soutien à l'apprentissage social et émotionnel pour les aider à guérir.

Comment guérir: Dans le sillage de Boko Haram, l'apprentissage social et émotionnel aide les enfants déplacés

Les salles de classe peuvent-elles aider les élèves à guérir? Rencontrez les apprenants, des éducateurs et des partenaires gouvernementaux qui prouvent le pouvoir de l’apprentissage social et émotionnel pour soutenir les étudiants dans leur construction d’une nouvelle vie après avoir échappé à Boko Haram.

Lire l'histoire complète

La guérison en chiffres

En fournissant un soutien à l’apprentissage social et émotionnel en classe, les animateurs d'apprentissage du nord du Nigeria créent un environnement d'apprentissage puissant qui favorise la réussite de tous les enfants et jeunes.

Cliquez sur les photos ci-dessous pour en savoir plus sur l’impact positif de l’apprentissage social et émotionnel.

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