Cap-Vert: De nouveaux fonds de capital-risque sont essentiels pour redynamiser le secteur privé

mai 14, 2021

4 lecture min.

L’industrie mondiale du voyage et du tourisme est confrontée à des défis sans précédent depuis le début de la pandémie. 2020. La fermeture des frontières et le confinement dans presque tous les pays ont stoppé la circulation des personnes et des marchandises.. Avec la fermeture de secteurs entiers, tant au niveau local qu’international, les agences de voyages, voyagistes, compagnies aériennes, hôtels, stations balnéaires, restaurants, les magasins et même les aéroports ont risqué de fermer leurs portes.

Dans une petite économie axée sur les services comme celle du Cap-Vert, l'impact a été particulièrement grave. Depuis mars 2020, Le Cap-Vert a connu une estimation 94 pourcentage de diminution des arrivées de touristes, selon l'autorité aéroportuaire du pays. Avec ce déclin soudain, 90 pourcentage d'hôtels fermés, provoquant des licenciements importants de leurs effectifs respectifs, et l'industrie du tourisme s'est arrêtée presque complètement. Étant donné que le tourisme représente plus 25 pour cent du PIB du Cap-Vert et constitue une source majeure d’emplois pour les femmes et les jeunes., de tels déclins soudains peuvent avoir des conséquences négatives sur l’ensemble de l’économie du pays..

Bien que nous ne connaissions pas toute l’étendue de l’impact du COVID-19 sur le pays en 2020, la Banque centrale et le gouvernement du Cap-Vert s'attendaient à une diminution 8.1 pour cent et que le taux de chômage dépasse 20 pour cent.

Malgré ces revers, Cabo Verde s’en sort mieux que de nombreux pays de la région. Les filets de sécurité sociale et économique du gouvernement ont soutenu la consommation privée et continuent de soutenir les entreprises pendant la pandémie. La forte dynamique sociale du Cap-Vert, piliers environnementaux et économiques, couplé à sa situation géographique avantageuse au milieu de quatre continents, place le Cap-Vert dans une bonne position pour se redresser avec la reprise des voyages et du tourisme. Selon le Fonds monétaire international, La croissance du PIB réel du Cap-Vert est devrait rebondir à 5.8 percent in 2021 and to average around 6 pour cent à moyen terme.

La plupart des économistes estiment que les petits, les économies ouvertes et basées sur les services seront les premières à profiter de la reprise post-pandémique. Avec une augmentation des vaccinations dans le monde, Cabo Verde voit la lumière au bout du tunnel et les opérateurs touristiques commencent les préparatifs pour la réouverture.

Encore, pour une reprise durable après la pandémie, l’investissement du secteur privé est essentiel. Reconnaître cela, le Commerce en Afrique de l’Ouest financé par l’USAID & Centre d'investissement (Centre du commerce), qui vise à contribuer à générer $400 millions de nouveaux investissements privés dans la région, lancé un Programme de réponse rapide au COVID-19 stimuler la reprise économique grâce aux investissements du secteur privé.

Depuis le début de la pandémie, Le système de sécurité sociale du Cap-Vert a couvert une part importante du fardeau des licenciements. Les banques ont imposé un moratoire sur les prêts bancaires, tandis que de nouvelles lignes de crédit, soutenu par des garanties souveraines, ont été mis en place pour les entreprises. Cependant, la faiblesse de la demande et les coûts de maintenance en période d’inactivité ont drainé les liquidités des entreprises et affaibli leurs bilans et leur situation de capital.. Leur capacité à reprendre l’activité et à profiter de la reprise économique dépend fortement de leur recapitalisation..

Le Trade Hub estime que les fonds de capital-risque ciblant les petites et moyennes entreprises (PME) sont les meilleures solutions pour renforcer les fonds propres, éliminer les risques des entreprises et les préparer à la restructuration financière pour ensuite fournir une solide, structure du capital à long terme.

En tant qu’économie essentiellement basée sur les services, Cabo Verde offre une énorme opportunité de financement par capital-risque. Deux sociétés de capital-risque à impact ouest-africaines, Par exemple, sont actuellement en discussion pour lancer un fonds d'impact de réponse rapide au COVID-19 avec le soutien du Trade Hub et d'autres partenaires.. Avec un portefeuille cible de $10 million, ce fonds fournira un fonds de roulement et des prêts à long terme aux PME à hauteur de $500,000.

Récemment, deux gestionnaires de fonds représentant les sociétés de capital-risque se sont rendus au Cap-Vert et ont rencontré les autorités locales, les entreprises et les start-ups doivent avancer dans la conception de la plateforme de fonds. Lors de la visite, les gestionnaires de fonds ont cherché à comprendre l’environnement commercial actuel du Cap-Vert, opportunités et perspectives et pour évaluer la conformité aux lois et réglementations applicables. De la visite, il était clair que le financement par capital-risque et le programme de réponse rapide au COVID-19 du Trade Hub pouvaient non seulement contribuer au renforcement de la résilience du secteur du tourisme, mais également d’autres secteurs..

Les gestionnaires du fonds ont identifié plusieurs stratégies pour des secteurs autres que le tourisme qui présentent un fort potentiel de croissance.:

Développer l'industrie de la pêche en soutenant les pêcheurs et la transformation du poisson tout en intégrant des pratiques durables
Développer des industries qui ont un potentiel d’exportation, comme l'industrie pharmaceutique et l'industrie légère, pour domestique, régional et américain. marchés
Diversifier les offres de produits dans le secteur de l'hôtellerie
Collaborer avec le secteur bancaire via une combinaison de financement par emprunt et par actions

Le programme de réponse rapide au COVID-19 du Trade Hub, associé à des fonds d’impact futur provenant de sociétés de capital-risque, donner une dynamique favorable à la reprise économique et sociale du Cap-Vert. Les entreprises et institutions financières intéressées peuvent consulter toutes les opportunités disponibles auprès du Trade Hub sur son site Internet. Page Web sur le co-investissement.

Frantz Tavares est le consultant en partenariats public-privé pour l'USAID West Africa Trade & Centre d'investissement au Cap-Vert. Le Trade Hub vise à catalyser $400 millions de nouveaux investissements privés, créer 60,000 des emplois et générer $300 millions d’euros d’exportations dans toute la région Afrique de l’Ouest en partenariat avec le secteur privé.

Le contenu de ce blog relève de la seule responsabilité de Creative Associates International et ne reflète pas nécessairement les opinions de l'USAID ou des États-Unis.. Gouvernement.

Nigéria – Bassin du Lac Tchad / Initiative de relèvement rapide

Programme

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Funded and guided by the U.S. Bureau des initiatives de transition de l’Agence pour le développement international (USAID/OTI), Nigéria Bassin du Lac Tchad (NLCB) was a quick-response program that supported activities to strengthen and extend stability in the hard-hit states of Kaduna and Plateau, also known as the Middle Belt region.

En septembre 2020, NLCB – known locally as the Nigeria Early Recovery Initiative (NERI) – focused its efforts on improving community security, recovery of livelihoods and advocacy and peaceful resolution of conflict in the target states. These activities strengthened community resilience and supported conflict prevention mechanism to anticipate, prevent and respond to increasing violence and threats of attacks against civilians.

In close collaboration with community leaders and through small grants to local partners, NLCB/NERI activities supported the ability of displaced individuals to return to their homes and that strengthened the physical security of vulnerable neighborhoods, such as by installing solar streetlights. It developed early warning mechanisms that alerted communities to potential threats. With restored livelihoods as a key priority, NLCB/NERI supported small investments into rehabilitating marketplaces and providing livelihood kits and cash-for-work activities to at-risk community members. 

NLCB/NERI’s activities increased the access to an inclusive space for community led advocacy and platforms for dialogue. Working in target locations, experts built the advocacy skills of grassroots organizations to ensure that community decisions and interventions were locally driven and inclusive of marginalized groups. Because many communities remained traumatized by the effects of violence, NLCB/NERI implemented activities that provide elements of psycho-social support and trauma healing.

By the end of the NLCB/NERI program, vulnerable communities in eight LGAs were equipped with improved community security, resiliency and recovery of livelihoods, as well as increased capacity and access for inclusive advocacy and peacebuilding mechanisms towards a peaceful resolution of conflict in the Middle Belt.

Nigéria – Programme de connexion du Nord-Est

Programme

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Northeast Connection’s solutions-based approach used a range of activities to address and prevent social conflicts in some of Nigeria’s most vulnerable communities.

Residents in Nigeria’s northeastern states face a host of challenges – from poverty to violent extremist organizations like Boko Haram and ISIS-West Africa – that continuously block their path to peace, inclusion and economic prosperity.

Avec le soutien deleU.S. Agency forjeinternationalDevelopment and in close collaboration with grassroots organizations, the Northeast Connectionprogrammetook a preventative and holistic approach to addressing thecausesof violent conflict inthe region.

By targetinglocalities that are vulnerable to violent extremist infiltration and conflict, mais pas encore sous leur influence, the Northeast Connection program strengthened community resilience byimproving leurability to respond to emerging threats. Tsonprogrammeaimed to atténuerthe grievances that maoui erode cohésion sociale within and across communities inAdamaoua, Borno and Yobé états, et finalement creatéd a stronger foundation against violent extremist threats and other conflicts.

Northeast Connection’s solutions-based approachused a range of activities, y compristhe increased involvement of youth in their communities à travers inter-community exchanges, directionrolesetefforts to address their sense of marginalization, ainsi que promoting positive roles for them in the community. Dans la même veine, the program actively engaged internally displaced persons, personnes handicapées et cultural minorities, entre autres, to increaseleursocial bonds.

Recognizing women as key interlocutors in building community resilience toviolent extremist organizations’ influence and infiltration, Northeast Connection designed specific programs to equip women to become vocal, positive leaders for peace and advancement. Dansaddition, the program helped femmesto develop skills andobtainrôles de leadershipà support survivors of violence et identifypeople at risk of recruitment into violent extremist organizations.

The project built efficaceworking relationshipsentrele Nigerian government atles deuxthe state and local levels et les communautés through a variety of activities, including forums and platforms that promouvoir dialogue and access to government opérations, such as providing input into governments’ development and social welfare activities or collaborating with state and national assembly représentants.

The Northeast Connection program développé opportunities for engagemententrecommunautés etsecurity providersquebuilt constructive relationships and productive civilian roles in managing security, working collaboratively in peace and security, early warning and early response efforts.

Femmes internationales’le jour de la Saint-Valentin 2021

mars 8, 2021

8 lecture min.

‘Je vois des femmes sortir pour exiger l'égalité des droits et parler de ce qui leur est arrivé, même après avoir été attaqué.’ Davita Andow, Initiative de relèvement précoce de l'USAID/OTI au Nigeria

Femmes internationales’le jour de la Saint-Valentin 2021: Voix du terrain

Rebecca Sewall, Spécialiste du genre pour Creative Associates International:

Alors que la communauté mondiale du développement montre une compréhension plus nuancée de la relation dynamique entre l’autonomie des femmes et leur capacité à contribuer aux efforts de développement, de nombreux praticiens continuent de voir la « valeur » de la promotion de la promotion des femmes uniquement en termes d’optimisation de leur contribution à des objectifs de développement plus vastes.

This position presumes that what is good for the economy or for “development” is also good for women – a presumption that is not always true. In line with this International Women’s Day theme, I want to #ChooseToChallenge this position, it is time we move away from asking what women can do for development and instead ask ourselves what development can do for women.

There are signals that this perception is starting to change, as the voices of women in Creative’s projects below attest. There are glimmers of hope that paying attention to women and gender in development is not just viewed as a means to an end, but an end in itself. Presque 50 Des années après l’adoption de l’Amendement Percy – qui exigeait qu’une attention soit accordée à l’intégration des femmes dans les économies nationales afin d’améliorer leur statut et de contribuer à l’effort global de développement – il est temps de nous concentrer sur l’autre objectif qu’il était censé atteindre.: Veiller à ce que les femmes soient des bénéficiaires égales du développement.

Florinda Puac, Superviseur des animateurs communautaires

USAID’s Projet de consolidation de la paix, Guatemala

Que souhaitez-vous voir changer pour les femmes dans votre contexte dans les années à venir ??

La réalité des femmes’s la participation aux processus communautaires est très limitée car ils sont généralement invités à des réunions ou à des activités de formation sur la santé, sécurité alimentaire, démonstrations culinaires, etc.… des sujets étroitement liés aux rôles de genre que la société a assignés aux femmes. Même si bien sûr ces formations ont contribué à améliorer leur santé et leur nutrition, cela les place toujours dans un rôle passif ou de collecte d'informations. Nous avons constaté dans certains processus d'évaluation communautaire que lorsque les gens étaient consultés au sujet des femmes’participation, il a révélé que la plupart des gens cherchaient à confier aux femmes des tâches sans rapport avec le développement communautaire.. Ce sont des choses qui ont historiquement limité la participation substantielle des femmes par rapport au rôle actif joué par les hommes..

Mais le projet de consolidation de la paix (Tisser la paix en espagnol) est conçu pour changer ce paradigme car il identifie les femmes comme des actrices importantes dans l'analyse, approche et transformation des conflits communautaires en collaboration avec d’autres acteurs traditionnellement impliqués dans la prise de décision. Nous travaillons pour donner aux femmes une place à la table dans toutes nos activités.

Habiba Suleiman, Responsable du développement commercial chez WACOT Rice Ltd.

Habiba inspecte une rizière avec un agriculteur local. Photo par: Photographie de Rasheed

Collaborer avec le Centre de commerce et d’investissement en Afrique de l’Ouest, Nigeria

Quel est le plus grand succès de votre projet ou le moment le plus inspirant lié à l’inclusion du genre ??

Nous avons organisé des réunions préliminaires avec des agriculteurs de toutes les communautés pour les informer du projet et solliciter leur soutien dans l'intégration de nouveaux agriculteurs.. Une jeune femme d'une vingtaine d'années s'est présentée [à notre bureau] et on lui a dit d'attendre l'entretien dans la pièce à côté, en supposant qu'elle était là pour être interviewée pour un rôle d'agent de terrain. Après le [entretien], elle s'approche de moi pour me dire qu'elle est venue pour la réunion des agriculteurs, comme elle était rizicultrice, aussi. Je me suis assis avec elle et j'ai appris ça par elle-même, elle avait collecté des fonds et cultivé du riz sur un demi-hectare au cours de la dernière saison, et qu'elle avait employé des ouvriers pour travailler pour elle, cédant 25 sacs en récolte. Son esprit, le courage et l'engagement étaient plus qu'impressionnants, compte tenu du fait qu'elle était diplômée et qu'elle pouvait plutôt chercher un emploi de col blanc. J'ai visité sa ferme et me suis assuré qu'elle était intégrée au programme. Elle est également venue avec d'autres rizicultrices.! Cette expérience m'a encore renforcé sur le fait que les femmes peuvent tout faire.

Lydia Onuoha, Chef adjoint du parti

USAID’s Initiative d’éducation du Nord Plus, Nigeria

Y a-t-il eu un moment ou une expérience qui vous a frappé et qui explique pourquoi davantage de travail doit être fait dans la lutte continue pour l'égalité des sexes ?? 

Je viens d'une très grande famille avec des oncles et cousins plus âgés. Chaque fois qu'il y a des événements, tout le monde contribue une certaine somme d'argent, généralement au prorata: les plus âgés paient plus, quel que soit le sexe. Mais quand il y a des propriétés à partager, les femmes sont exclues et ne reçoivent pas de part de l'héritage familial. Je n’ai jamais reçu aucune part des biens de mon père, mais mes jeunes frères reçoivent de très grosses parts. La terre ne peut jamais être distribuée aux femmes et cette tradition dure depuis des années. Je n'arrête pas de me demander quand cette disparité et cette négligence prendront fin. La lutte et la campagne en faveur de l’égalité des sexes doivent être intensifiées.

J'espère que dans un avenir pas trop lointain, les femmes pourront participer librement aux affaires communautaires., surtout plus de femmes dans les espaces de prise de décision. Même si aujourd'hui les femmes’La participation aux postes électoraux populaires a connu une augmentation, la participation des femmes autochtones est encore très faible. Je pense donc qu'il est plus important que jamais de sensibiliser les hommes à ce changement de paradigme et à ces stéréotypes sur l'importance des femmes aux postes de direction..

David en réadaptation, Chargé du renforcement des capacités des ONG/Spécialiste du genre

Initiative d'éducation du Nord Plus, Nigeria

Que faites-vous, tant personnellement que professionnellement, j'espère voir des changements pour les femmes dans votre contexte à l'avenir?  

Je souhaite voir un engagement ferme en faveur de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes dans l’éducation. Je souhaite voir davantage d'engagement et de mesures prises pour vaincre la discrimination fondée sur le sexe et réaliser l'égalité des chances pour les femmes et les hommes.. Je veux voir plus de programmes qui augmentent les femmes’s awareness of their rights and ability to advocate for themselves.

I want to see adolescent girls and youth get access to practical life skills training, trainings that will make them more aware of the options and services that are available to them and raise their expectations for their own lives. I want to see them empowered to speak up for themselves and make informed decisions. I want to see all barriers to education addressed and all girls mainstreamed into formal schools after graduating from non-formal learning centers.

Yajaira Hernandez, Gender Specialist

Yajaira gives a women’s health presentation in rural Honduras. Photo par: Victor Mercado

The Dry Corridor Alliance Project, Honduras

What is the greatest challenge you see for achieving women’s equality in your context?

An important aspect of my work is that women have for many years moved in and out of the working world even with children, but men still do not contribute to household tasks so that women can have more time to mobilize, participate in community affairs, become leaders and entrepreneurs. I work to slowly sensitize families to share responsibilities for domestic affairs.

The biggest challenge I see for women is access to resources. À l'échelle mondiale, women only own 1 percent of property, rural women have access to land, the lack of bank loans for lack of guarantee continues to limit their participation in productive or income-generating work, conditioning them to domestic space, another major challenge is violence against women that is still a taboo or dare not denounce for fear or shame.

Hafsa Drissi Semlali, Coordonnateur du programme

USAID’s Lire pour réussir – Programme National pour la Lecture, Maroc

Que souhaitez-vous voir changer pour les femmes dans votre contexte dans les années à venir ??

J'ai été embauché comme assistant administratif pour un autre projet avec Creative, et c'est l'opportunité qui m'a finalement conduit au poste de leadership que j'occupe aujourd'hui en tant que chef de projet.. Avoir cette chance d'évoluer en tant que professionnelle m'a rendu plus passionnée de voir la même chose pour d'autres femmes.. Donc, ce que j'espère vraiment voir, c'est plus de femmes aux postes de décision. Au niveau professionnel, Je vois cette inégalité entre les sexes se manifester tout le temps. Par exemple, il y a plus de femmes qui travaillent dans notre domaine, mais dans les rôles de direction, il y a encore plus d'hommes occupant des postes de pouvoir.

Nous travaillons en étroite collaboration avec les enseignants et la plupart des enseignants sont des femmes. Mais quand nous organisons des ateliers, il’C'est surtout des hommes qui viennent et ça’s because there are always more pressures on women to remain at home with their kids or families instead of traveling to these professional development trainings. As a mother myself, I understand those constraints. But I hope that in the future we can find ways to even this out and make accommodations so more women can take these important career steps.

Yelfign Ayenew Tesfahun, Cross Cutting Issues Coordinator

USAID READ II, Ethiopie

Quel est le plus grand succès de votre projet ou le moment le plus inspirant lié à l’inclusion du genre ??

Based on a study we conducted in the Amhara region, we decided to ensure 30 percent of women leadership in the education sector. This is one of the remarkable results we achieved in government policy changes through evidence-based consultations.

The gender radio drama we produced and broadcasted to incite discussion is changing attitudes has shown also a very encouraging results. Nous avons confirmé grâce à une étude d'évaluation que le drame a aidé les filles et les garçons, les parents et la communauté ont pu discuter des questions liées au genre et le drame a sensibilisé aux choses considérées comme taboues, comme les filles’ menstruation, la responsabilité des garçons et des filles dans le partage des tâches ménagères, participation des garçons aux clubs de genre, etc…

Une autre activité inspirante que nous avons menée est que, même si le projet a fourni une formation aux enseignants, les mères qui allaitaient leurs enfants avaient du mal à participer aux formations. Le projet fournit une garde d'enfants et un endroit où les enfants peuvent rester pendant que les mères participent aux formations., ce qui a fait une énorme différence.

Patricia Vahanlé, Agente de leadership pédagogique

Lisons! Mozambique

Pourquoi est-il nécessaire que les femmes travaillent dans le développement?

It is important to have women working on development because they are intellectually equal to men and can contribute equally to the development of a country or society. I hope that in the future there will be a gender balance in hiring staff in both private and state organizations and that women can take advantage of opportunities on an equal footing with men. Many women miss opportunities because they have not been properly prepared or trained. That is why it is necessary to have a gender balance in training centers and universities.

It is necessary to make women aware from an early age that they can contribute to the development of the place where they live and the country in general.

On a personal level, my greatest success was having managed to reconcile family, work and training. The fact of being a mother, wife and worker did not prevent me from continuing my higher education. Dans ce, I was the first of my family to complete a course in higher education. Aujourd'hui, I am an example for my older and younger brothers.

Quatre tendances commerciales et d’investissement entre les États-Unis et l’Afrique à surveiller 2021

mars 3, 2021

5 lecture min.

Une composante essentielle des États-Unis. La stratégie du gouvernement visant à renforcer ses relations avec l’Afrique stimule le commerce et les investissements bilatéraux pour favoriser la croissance économique conformément aux Prospérer l’Afrique initiative. Malgré des revers économiques causés par la pandémie mondiale, L’Afrique présente un immense potentiel économique avec sa croissance rapide, tant en termes de population que d’opportunités commerciales.

Dans le cadre du programme financé par l'USAID Commerce en Afrique de l’Ouest & Centre d'investissement, nous avons eu la chance d'interagir directement avec les propriétaires d'entreprise, dirigeants financiers, des représentants du gouvernement et d’autres parties prenantes au cours du passé 16 mois de mise en œuvre de l’initiative. Sur la base de nos discussions et observations globales du secteur privé en Afrique de l’Ouest, nous nous attendons à ce que ces quatre tendances façonnent les relations commerciales et d’investissement entre les États-Unis et l’Afrique dans les mois à venir..

La ZLECAf donnera le ton aux relations commerciales

Le Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) est la plus grande zone de libre-échange au monde en termes de nombre de pays participants. Cela devrait avoir un effet substantiel sur les économies africaines et sur les relations entre l’Afrique et le reste du monde., y compris les États-Unis. Depuis son entrée en vigueur en janvier. 1, il est un peu trop tôt pour déterminer dans quelle mesure la ZLECAf aura un impact sur le commerce et les investissements entre les États-Unis et l’Afrique.. Néanmoins, il devrait générer des bénéfices considérables et donner le ton aux relations commerciales et d’investissement..

La ZLECAf couvre une population de 1.3 milliards de personnes à travers 54 pays, représentant une valeur marchande $3.4 mille milliards de PIB. En plus d'avoir le potentiel de sortir des millions de personnes de la pauvreté, la promesse d'un commerce régional amélioré a le potentiel d'élargir considérablement le marché pour les producteurs locaux et, dans certains cas, rendre les entreprises plus attractives pour les investissements directs étrangers.

Cet accord de libre-échange crée également un vaste marché pour les biens et services en provenance des États-Unis.. Avec les nouveaux États-Unis. L'administration devrait se concentrer sur le multilatéralisme en Afrique, de nouvelles initiatives devraient être annoncées pour accélérer et simplifier le commerce et les investissements bilatéraux. Certaines de ces initiatives seront motivées par l’énorme potentiel de la ZLECAf..

Augmentation des États-Unis. investissements dans le secteur privé africain

Inévitablement, Le COVID-19 dirigera les économies du monde vers 2021. Nous prévoyons que certaines des tendances macroéconomiques prédominantes de l’année dernière se poursuivront., bien qu’atténué par rapport au pic de la pandémie en 2020.

En Afrique, les perturbations des chaînes d’approvisionnement persisteront, problèmes de trésorerie croissants pour les producteurs, fournisseurs et exportateurs. Malheureusement, cela entraînera des licenciements, pertes d’emplois et faillites d’entreprises alors que l’accès au financement devient plus cher et plus difficile à trouver. D'autre part, les opportunités d’investissement vont augmenter en raison de ces mêmes problèmes de trésorerie. Cette situation pourrait accélérer le flux des investissements directs étrangers vers l’Afrique.

Le pôle commercial, par exemple, facilite la rencontre des investisseurs et des entreprises locales pour faire progresser la résilience au COVID-19 en fournissant un financement catalytique pour réduire les risques et encourager de tels investissements. Nous annoncé certains de ces accords catalyseurs, et d'autres sont en préparation. Vaut des millions de dollars, ces co-investissements sont conçus pour générer et attirer encore plus d'investissements en Afrique de l'Ouest en ces temps difficiles.

De même, le NOUS. Initiative du gouvernement pour Prospérer en Afrique a tiré parti des services et des ressources de 17 les agences participantes pour générer des milliards de dollars d’investissement en Afrique. En soutien à Prosper Africa, L'USAID lance un programme allant jusqu'à $500 un programme de commerce et d'investissement d'un million de dollars pour faciliter davantage d'accords entre les États-Unis. et les entreprises africaines et pour éliminer les obstacles au commerce et à l’investissement. De tels États-Unis. Les initiatives menées par les gouvernements à travers l’Afrique garantissent que les investissements directs étrangers augmenteront cette année pour renforcer la résilience et stimuler la croissance dans la région..

Davantage de PME africaines exporteront aux États-Unis

Le Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique (AGOA) donne aux pays africains un avantage concurrentiel en autorisant les exportations en franchise de droits pendant près de 7,000 produits de l'Afrique aux États-Unis. Il a créé à long terme, une croissance durable en stimulant le secteur privé et en créant des emplois dans de nombreux pays africains. Il a également soutenu la croissance de certains secteurs de la région, comme la fabrication de vêtements.

Dans 2020, à propos $3.72 milliard la valeur des marchandises exportées d’Afrique vers les États-Unis a été facilitée grâce à l’AGOA. Il existe une possibilité d'augmenter cette valeur, étant donné les États-Unis. le marché de la consommation comprend plus de 328 millions de personnes avec un pouvoir d'achat de $13 billion.

Cependant, l’un des plus grands défis du Trade Hub dans ses efforts visant à promouvoir l’augmentation des échanges commerciaux est de trouver des producteurs prêts à exporter..

Pour remédier au manque d’exportateurs potentiels, l’équipe de promotion des exportations du Trade Hub a travaillé avec environ une douzaine de petites et moyennes entreprises (PME) pour les aider à se préparer à l'exportation. Les PME créent autour 80 pour cent de l’emploi en Afrique. En leur apportant une assistance technique sur des problématiques allant de l'obtention de la certification au conditionnement des produits, le Trade Hub vise à stimuler leur potentiel de croissance. Cela a suscité beaucoup d’intérêt de la part de différents secteurs de l’écosystème commercial de l’Afrique de l’Ouest.. Nous nous attendons 20 à 40 Les PME de toute l'Afrique de l'Ouest bénéficieront de ces programmes de promotion des exportations et que davantage d'entreprises rejoindront l'initiative une fois qu'elles verront leurs homologues réussir à se développer grâce à l'aide à l'exportation de l'AGOA..

Activités accrues dans le climat, sécurité alimentaire, et la numérisation

Même si les prix alimentaires mondiaux sont restés stables, l'inflation alimentaire a augmenté au niveau du commerce de détail dans de nombreux pays en raison des perturbations de la chaîne d'approvisionnement causées par le COVID-19. La hausse des prix alimentaires a un impact plus important dans les pays africains à faible revenu, car les gens consacrent une plus grande part de leurs revenus à l’alimentation.. En même temps, de nombreuses familles sont aux prises avec des revenus perdus ou réduits. Au-delà des défis induits par la pandémie, le changement climatique menace la production alimentaire, en particulier pour les agriculteurs de subsistance, qui constituent une grande partie de la population dans la plupart des régions d’Afrique subsaharienne.

Avec de nouveaux États-Unis. position sur le climat, il est prévu que les relations commerciales et d’investissement entre les États-Unis et l’Afrique comporteront de plus en plus de solutions intelligentes face au climat., en particulier ceux qui relèvent les défis de la sécurité alimentaire et fournissent une énergie propre pour améliorer l’accès à l’électricité, ce qui manque encore à de nombreux Africains .

Dans l'ensemble, la numérisation est la pierre angulaire de la résolution des problèmes d’accès à tous les niveaux, de la facilitation du commerce régional à l’éradication de la faim. Hormis l'accès, c'est un secteur hautement productif avec le potentiel de créer des emplois à grande échelle, surtout pour les jeunes. Les investissements privés des États-Unis dans le secteur des technologies numériques en Afrique sont déjà importants, nous nous attendons donc à ce que cette tendance se poursuive à mesure que la participation du gouvernement augmente dans ce secteur porteur..

L'impact de ces tendances dépendra de nombreux facteurs. Quoi qu'il en soit, Les relations commerciales et d’investissement bilatérales entre les États-Unis et l’Afrique s’annoncent pour des temps meilleurs.

Michael Clements est le chef du projet pour le commerce en Afrique de l'Ouest financé par l'USAID. & Centre d'investissement. Il possède une expérience diversifiée dans l'industrie, y compris dans l'agriculture, énergie, informatique, fabrication, et l'exploitation minière. Avant de rejoindre le Trade Hub, Michael a dirigé deux fonds de développement d'investissement pour Trademark East Africa.

Le contenu de cet article relève de la seule responsabilité de Creative Associates International et ne reflète pas nécessairement les opinions de l'USAID., les États-Unis. le gouvernement ou ses programmes tels que Prosper Africa. Photos fournies par WACOT Rice Ltd., un bénéficiaire du Trade Hub au Nigeria.

Garder les communautés au centre du développement

février 1, 2021

Par Semere Salomon

5 lecture min.

Lors de la conception et de la mise en œuvre de solutions pour une croissance soutenue, Les programmes de développement dépendent d'une base solide qui rassemble des plans clairs, engagement des parties prenantes, Cadres politiques et de nombreuses autres stratégies. Quelle que soit la durée, taille et portée d'un programme, il devrait être orienté vers le semis des graines pour une croissance soutenue, Permettre à d'autres qui le suivent pour s'appuyer sur ses réalisations.

Au centre de cette fondation se trouvent les communautés que le programme cherche à servir. Approchant de la programmation avec un approche est une pièce cruciale pour assurer le succès d'un programme.

Ce n'est qu'en collaborant avec les communautés que les professionnels du développement peuvent découvrir des faits, réfuter les hypothèses et valider une théorie du changement.

Personne n'est mieux placé pour caractériser les situations locales, problèmes de précision, priorités simples, et identifier les solutions locales aux problèmes locaux de manière efficace que la communauté elle-même. Les communautés savent ce qui fonctionne pour eux, Comment les interventions peuvent faire avancer leurs propres intérêts stratégiques et comment travailler efficacement dans le contexte local. Les projets de développement axés sur la communauté offrent généralement des investissements publics aux pauvres plus rapide, moins cher et mieux. Bâtir la confiance est importante si ce partenariat fonctionne.

Ces conversations ouvriront la voie à un partenariat plus fort qui réagit à la réelle (pas supposé) besoins et aspirations des communautés locales.

Un enseignant mène des cours dans AT Adolescent Girls Learning Center. — Un enseignant dirige un cours dans un centre d'apprentissage adolescent dans l'État de Bauchi, Nigeria. Photo par Erick Gibson.

Au Nigéria, L'Initiative d'éducation du Nord financée par l'USAID Plus (NON Plus) a engagé les communautés pour étendre les possibilités d'éducation pour des dizaines de milliers d'étudiants. Le projet vise à renforcer la capacité des gouvernements dans deux États à fournir un meilleur accès à l'éducation de base - en particulier aux filles et aux enfants à l'extérieur - et à améliorer considérablement les résultats de lecture pour les enfants d'âge scolaire et les adolescents. Un morceau de son holistique l'approche est la création de centres d'apprentissage non formel qui servent les élèves non inscrits au système scolaire officiel.

L'éducation non formelle contribue depuis longtemps à répondre aux besoins éducatifs et psychosociaux des enfants et des adolescentes hors scolarisation. Pour non plus, Ce qui se démarque, c'est la mesure dans laquelle le projet a mis les communautés au centre.

Cet effort communautaire commence par un exercice de cartographie approfondi en collaboration avec les structures communautaires (à la fois traditionnel et contemporain), entités gouvernementales locales, et les organisations locales de la société civile pour savoir où se trouve le besoin le plus. Une fois qu'une communauté a été identifiée pour héberger un centre d'apprentissage non formel, Le projet consulte les membres de la communauté et les dirigeants pour:

Identifiez qui devrait être inscrit dans ce centre en mettant l'accent sur l'inscription des filles
Déterminez l'emplacement du centre en accordant dûment les problèmes de sécurité
Déterminer le type d'infrastructure (structure temporaire, classe, tente, Composé de l'institution religieuse, etc.)
Identifiez qui devrait servir d'enseignant ou un facilitateur d'apprentissage et fixer des critères pour leur sélection
Certains membres du comité de gestion basé sur le centre (CBMC)
Spécifiez quels jours de la semaine et des heures (Par exemple, Prendre en considération les jours de marché, récolte saisons ou occasions religieuses) conviennent aux enfants pour y assister
Identifier les artisans locaux qui pourraient former des étudiants à des compétences de travail à la demande dans leur localité
Déterminer les contributions de la communauté au centre, qui comprend le soutien et la surveillance en nature et monétaire

Ce processus garantit que les centres sont prêts à fonctionner avec succès et génèrent un sentiment d'appartenance et de responsabilité parmi la communauté. Nei Plus a établi 5,600 centres d'apprentissage non formels à travers Bauchi et Sokoto avec une population étudiante d'environ 270,000.

Faciliter ces conversations importantes sont les coalitions communautaires, qui contribuent à rassembler divers groupes d'intérêt tels que les organisations communautaires et confessionnelles, chefs traditionnels et religieux, des personnalités éminentes dans les localités, et les représentants des femmes et des groupes de jeunes. Nei plus établi 20 Coalitions communautaires pour stimuler l'engagement et créer une plate-forme pour que les dirigeants défendent et subissent les besoins des enfants et des adolescentes hors scolarisation.

Les enfants lèvent la main dans une classe de camp de lecture en Éthiopie. — Un camp de lecture animé à Addis-Abeba, dirigé par un leader de l'alphabétisation communautaire bénévole. Photo de Jim Huylebroek. Photo par: Jim Huylebroek

Le partenariat communautaire et le leadership étendent également l'accès aux opportunités éducatives en Éthiopie. Le Lecture financée par l'USAID II Le programme vise à améliorer la maîtrise de la lecture de 15 millions d'enfants en renforçant la qualité de l'enseignement de l'alphabétisation et du soutien aux étudiants. Là, Les communautés sont également mobilisées autour Camps de lecture locaux, qui sont dirigés par des jeunes bénévoles. LIRE II, en collaboration avec sept ONG locales, a mobilisé 11,656 jeunesse bénévoles, appelés leaders de l'alphabétisation communautaire, et établi 5,938 Camps de lecture à travers le pays. Cliquez ici Pour faire une visite à 360 degrés d'un camp de lecture.

Une campagne de sensibilisation a mobilisé des communautés pour promouvoir une culture de lecture. En plus d'identifier les jeunes bénévoles, Les communautés locales ont réussi à fournir de l'espace, faire des contributions en nature, et maintenir les camps. Les camps sont devenus des espaces amusants et engageants pour que les enfants s'entraînent à lire en dehors de l'école avec le soutien des facilitateurs.

En dehors de l'éducation, Le développement ancré dans la communauté peut renforcer la croissance économique et élargir les opportunités. L'accès aux institutions financières est un obstacle majeur pour de nombreuses communautés et individus, Et pour les femmes en particulier. Le Comité d'avancement rural du Bangladesh (Brac) Dirige les interventions au niveau local qui favorisent l'engagement et la propriété communautaire dans le renforcement des opportunités économiques et de l'engagement des femmes. BRAC adopte une approche commerciale pour mettre fin à la pauvreté, Utiliser des modèles d'entreprise sociale pour récupérer les coûts et accélérer l'impact à grande échelle.

À travers ce modèle, les personnes exclues du système bancaire formel (en raison du manque d'actifs qui rendent généralement les personnes éligibles aux prêts) peut accéder à une myriade de services financiers tels que le crédit, Produits d'épargne et de micro-assurance avec le soutien de la microfinance. Cette pratique Crée un environnement approprié pour que les familles construisent des actifs et réduisent la vulnérabilité aux chocs tels que les urgences de santé ou les catastrophes naturelles entre autres. Les prêts sans garantie sont libérés exclusivement aux femmes individuelles via un groupe de groupe, connu de Brac comme des organisations villageoises.

Cette plate-forme, comprenant 15 à 25 femmes, les aide à se réunir pour déposer leurs versements et leurs économies, Partagez des informations et améliorez la sensibilisation financière grâce à la formation et au soutien du marché. En utilisant ce mécanisme, Brac a réussi impactant la vie de 5.6 millions d'emprunteurs actifs (87 pour cent dont les femmes) en décaissant $4 milliards en 2018. Pour ces femmes, Cela a été une opportunité qui a changé la vie.

D'un point de vue de développement beaucoup plus large, Commencer par une ancre dans la communauté est vital pour progresser dans le voyage vers l'autonomie. Quand les objectifs de développement - dans l'éducation, croissance économique, santé, Et plus - sont tellement interconnectés, Des racines communautaires solides s'assurent que les programmes peuvent se compléter et répondre aux besoins réels et actuels des personnes qu'ils répondent.

Sans écouter les pauvres, Nous ne pouvons pas réduire la pauvreté; sans écouter les sans instruction, Nous ne pouvons pas développer l'éducation. Pour que les projets soient efficaces et durables, Les communautés doivent être amenées au centre. Ce n'est pas une option, Mais une exigence.

Semere Salomon est directeur principal du Centre Afrique de Creative Associates International.

Chronologie: Creative soutient une éducation de qualité au Nigeria

janvier 11, 2021

Q&UN: Répondre au COVID et à l'apprentissage à distance au Nigeria

décembre 14, 2020

6 lecture min.

Quand les écoles du Nigeria ont fermé leurs portes en mars à cause du COVID-19, les enseignants et les étudiants – comme beaucoup dans le monde – ont quitté leurs salles de classe sans savoir quand ils pourraient y retourner..

Le Programme USAID Northern Education Initiative Plus (NON Plus) — qui s'est efforcé de renforcer l'accès et la qualité de l'éducation de base grâce à des approches pédagogiques et du matériel d'apprentissage nouveaux et attrayants, formation des enseignants, centres d'apprentissage non formel et plus encore - a été confronté au défi de protéger les progrès et l'apprentissage acquis sur cinq ans alors que les élèves étaient confrontés à une période d'absence de l'école pour une durée indéterminée.

Dans ce Q&UN, Nurudeen Lawal, chef du parti NEI Plus, explique comment le programme a répondu à la pandémie et les leçons apprises au cours des derniers mois.

Au début de la pandémie, comment l'équipe NEI Plus a-t-elle réagi?

Nurudeen Lawal: Tu sais, tu plonges dans quelque chose et tu ne le fais pas’je ne sais même pas quelle est sa taille. Mais nous avons pris un très bon départ, parce que tout de suite nous avons compris que bien sûr nous sommes dans une pandémie, et la meilleure chose à faire est de garantir la sécurité des gens.

Donc, la première chose que nous avons faite avant même d'avoir le premier cas au Nigeria a été d'organiser des séances de sensibilisation du personnel à ce sujet et de donner des mises à jour régulières.. Et nous avons veillé à ce que ces informations soient transmises à nos bénéficiaires via SMS et WhatsApp..

Peu de temps après avoir eu le premier cas au Nigeria, nous avons décidé de fermer fin mars les centres d'apprentissage non formel que nous gérons avec les organisations de la société civile locale.. Nous avons 1,600 centres d'apprentissage non formel avec environ 50 apprenants chacun, nous avons donc suspendu les activités et renvoyé les élèves chez eux avec leurs devoirs. Le gouvernement a également fermé les écoles publiques, puis nous avons fermé nos bureaux et commencé à travailler à domicile.

Nous avons élaboré un plan d'urgence avec des activités que nous appelons des activités pivots qui ont contribué à atténuer la pandémie et en même temps veillé à ce que les activités du projet se poursuivent.. Celles-ci visaient à garantir que les apprenants continuent d'apprendre depuis chez eux et que les bénéficiaires reçoivent suffisamment de messages sur la manière de se protéger des effets de la pandémie.. Nous l'avons fait grâce à une stratégie de communication vigoureuse via les médias sociaux, par SMS et via WhatsApp en anglais et en haoussa. Nous avons également aidé les gouvernements des États à examiner leurs propres plans d'urgence pour voir dans quelle mesure ils répondent à l'apprentissage à distance et à la prévention de la pandémie..

Nous avons également commencé à étudier les stratégies de programmation radio, Programmation TV, SVI (réponse vocale interactive) leçons et comment nous pouvons poursuivre nos activités pour aider les structures communautaires telles que les groupes de femmes et les coalitions communautaires à pouvoir transmettre des messages de prévention et d’atténuation de la pandémie..

En réalité, au tout début de la pandémie, une vidéo a été réalisée les enfants se lavent les mains, et cette vidéo est devenue virale et a été utilisée par notre projet partenaire dans le Nord-Est, a été télévisé et diffusé sur WhatsApp et les réseaux sociaux.

Je peux dire qu'au plus fort de la pandémie, nous sommes également en mesure de poursuivre une activité majeure: le développement de nouveaux matériels en igbo et yoruba pour les lecteurs des premières années du primaire 1, 2 et 3. Travailler virtuellement, nous avons pu élaborer un grand nombre de textes, d'histoires et de vocabulaires dans les deux langues. Ce fut une grande réussite pour nous pendant cette période.

Comment le projet a-t-il utilisé les médias pour maintenir l'engagement des élèves et des enseignants lorsqu'ils n'étaient pas à l'école ??

Nurudeen Lawal: Surtout, la réduction de la perte d’apprentissage a été abordée grâce à l’utilisation régulière du programmes de radio et de télévision. Nous avons développé du matériel pour l'apprentissage à distance, qui sont tous basés sur le matériel pédagogique et d'apprentissage que nous utilisons dans les salles de classe, appelé Lisons! en anglais et lisons! en haoussa. Nous avons développé des scripts pour la radio, TV et IVR basés sur ces matériaux existants. Les messages IVR durent six à sept minutes. Ils ont été envoyés aux parents et aux enseignants et sont parvenus à plus de 11,000 personnes au cours des premiers mois. Nous avons également insufflé un apprentissage social et émotionnel ainsi que des conseils et informations sur la prévention du COVID-19..

Nous avons également maintenu les enseignants engagés dans un développement professionnel continu via SMS et WhatsApp afin que, lorsqu'ils reprennent l'école,, ils seront prêts et ils n'auront pas eux-mêmes perdu ce qu'ils savent.

Je veux aussi ajouter qu'au niveau fédéral, des ressources étaient disponibles en ligne. Le ministère fédéral de l'Éducation a ouvert plusieurs portails en ligne pour les apprenants.

Une famille travaille sur ses manuels scolaires et suit à la radio. — Un père aide ses enfants à suivre leurs manuels scolaires pendant qu'ils écoutent une émission éducative à la radio.. Photos de Nura Faggo.

Comment le projet aide-t-il les élèves à retourner en classe en toute sécurité?

Nurudeen Lawal: Nous avons élaboré une liste de contrôle pour la reprise des centres d'apprentissage non formel qui comprend, Par exemple, comment les étudiants sont organisés. Nous avions l'habitude 50 étudiants à la fois, et maintenant, ils sont divisés en trois groupes pour réduire la taille des classes.. Nous avons également fourni des stations de lavage des mains.

En outre, nous avons créé un document-cadre sur la réouverture des écoles et nous avons aidé les gouvernements à observer la reprise des écoles dans les États de Bauchi et Sokoto et avons pu leur faire part de nos commentaires sur ce que nous avons observé.. Nous avons pu organiser des réunions avec eux pour partager le cadre et nous assurer qu'ils se concentrent non seulement sur la prévention de la propagation de la pandémie, mais également sur la manière de récupérer le temps d'apprentissage perdu que les enfants ont connu..

Retour sur ces derniers mois, quelles sont certaines des leçons apprises?

Nurudeen Lawal: De nombreuses leçons ont été tirées de l'apprentissage à distance au cours de cette période. Et pour moi, c'est quelque chose pour de futures recherches: Quelles sont les lacunes que nous avons constatées en essayant de proposer un apprentissage à distance pendant une pandémie ?? Quelles ressources n'étaient pas disponibles? Une chose était que, bien sûr, nous n'avions pas formé les enseignants pour qu'ils soient capables de développer ou de soutenir des activités d'apprentissage à distance.. Donc, c'était assez difficile. Les enseignants sont devenus professeurs de radio d'urgence et professeurs de télévision, et tout a été déployé en réponse à la situation. Mais je pense que nous avons parfaitement répondu à la situation. Nous avons engagé l'esprit des apprenants pendant cette période et avons compris qu'ils pouvaient apprendre depuis chez eux et ne devraient pas passer tout leur temps à jouer.. Nous avons également pu leur proposer des activités d'apprentissage socio-émotionnel qui les maintiennent en pleine conscience et qui contribuent à leur bien-être psychologique général..

Une salle de classe du centre d'apprentissage non formel — Un enseignant dirige une classe dans un centre d'apprentissage non formel avec de nouveaux protocoles COVID-19 en place, y compris des masques et moins d'étudiants.

Je pense que l'une des plus grandes leçons apprises est aussi qu'à partir de maintenant, quand nous prévoyons d'avoir du contenu d'apprentissage à distance et du contenu en présentiel, faire de l'apprentissage mixte une norme pour les activités éducatives à l'avenir.

Je pense aussi qu'en termes d'apprentissage, nous devons aider les gouvernements à garantir qu'ils disposent d'un cadre d'apprentissage à distance. Nous devons comprendre que lorsque nous programmons, nous devons programmer le soutien parental à l'apprentissage. Cela pourrait combler une lacune importante dans les programmes d'apprentissage à distance. Le projet dépendait du matériel de sensibilisation communautaire, par lequel les parents s'engageaient à réellement soutenir leurs enfants. Le programme radiophonique et les autres approches mixtes pourraient avoir beaucoup plus de succès si le soutien parental à l'apprentissage était davantage mis en avant.. Nous devons trouver des approches grâce auxquelles les parents peuvent, dans une certaine mesure, créer un environnement favorable en termes de discussion avec l'enfant de ce qu'ils ont appris., jouer à des jeux ou faire des activités ensemble, fournir des radios à la maison pour les enfants ou mettre un téléphone à disposition pour des messages pédagogiques aux enfants.

Une autre leçon est de savoir tout ce que nous pouvons réellement réaliser en travaillant en ligne.. Nous voyons que nous pouvons impliquer nos partenaires locaux en ligne dans la mesure du possible. Nous avons également vu tout ce que nous pouvons réaliser en travaillant à domicile. Nous avons pu faire tellement de choses, et je vois cela comme la voie à suivre à l'avenir.

USAID’Le Trade Hub annonce son premier partenariat de co-investissement avec une entreprise rizicole nigériane

décembre 14, 2020

5 lecture min.

Le Centre de commerce et d'investissement de l'USAID en Afrique de l'Ouest s'associe à la société nigériane WACOT Rice Ltd.. pour élargir sa base de riziculteurs, en mettant l'accent sur la création de programmes qui élèvent les jeunes et les femmes dans son réseau de producteurs.

La subvention de co-investissement du Trade Hub de $1.5 millions soutiendront directement les projets de WACOT $8.6 millions d'investissements dans son projet d'expansion du producteur Argungu, qui vise à embarquer plus de 5,000 nouveaux riziculteurs, leur fournir des fournitures et des formations pour cultiver leurs terres. WACOT s'attend à ce que l'investissement conduise à un 50 pourcentage d'augmentation du rendement pour les agriculteurs, leur permettant de réinvestir leurs bénéfices dans des domaines critiques pour accroître leur production et améliorer leurs moyens de subsistance.

« L’impact global est d’améliorer le rendement par hectare et d’aider les agriculteurs à améliorer leurs moyens de subsistance.,dit Habiba Suleiman, Responsable stratégie et développement commercial chez WACOT, qui est une filiale de Groupe d'investissements généraux tropicaux. "Je suis tellement convaincu que c'est un pas dans la bonne direction."

Financé par les États-Unis. Agence pour le développement international, le Centre du commerce est en train de forger des partenariats public-privé uniques pour débloquer des capitaux, créer des emplois, et catalyser une croissance économique durable dans la région. Avec pour priorité majeure d’accroître la sécurité alimentaire au milieu d’une population ouest-africaine en croissance rapide., le partenariat avec WACOT Rice répond à un pilier essentiel du Trade Hub’la mission de l'USAID’les objectifs de la région.

« Les États-Unis. Le gouvernement est heureux de s'associer au secteur privé nigérian pour développer des solutions axées sur le marché et améliorer durablement la sécurité alimentaire en soutenant la production locale de riz.,» déclare Anne E, directrice de mission de l'USAID.. Patterson. « Avec ce nouveau partenariat de co-investissement, Les petits exploitants agricoles de l’État de Kebbi peuvent augmenter leurs rendements et améliorer les moyens de subsistance de leurs familles.

Moulin à riz WACOT — WACOT Rice possède la plus grande rizerie d'Afrique. Photo par: WACOT Riz Ltd

Répondre à la demande locale, améliorer la sécurité alimentaire

Le riz est un aliment de base pour les familles nigérianes, qui consomment plus de 7 millions de tonnes par an. Dans ce que l’on appelle aujourd’hui la « révolution du riz » au Nigeria,« Au cours des dernières années, le Nigeria est passé de l'importation de la majorité de son riz d'Asie à la production de la majeure partie dans les rizières locales..

Même si la demande locale est loin d’être satisfaite, des entreprises comme WACOT s'efforcent de transformer les terres arables en opportunités permettant aux communautés d'entrer dans la chaîne de valeur du riz. Maintenir la production alimentaire locale pour des produits de base comme le riz renforce les économies, réduit sa dépendance à l’égard des importations et atténue l’impact environnemental d’un système d’approvisionnement alimentaire mondial défaillant.

Cette subvention de co-investissement est directement liée à l’un des objectifs majeurs du Trade Hub: renforcer la sécurité alimentaire et l’autonomie du Nigeria. Nourrir l'avenir, les États-Unis. initiative du gouvernement pour réduire la faim dans le monde, finance l’accord du Trade Hub avec WACOT. Feed the Future vise à accroître l’accès des pauvres à des aliments nutritifs et à transformer le secteur agricole.

« La sécurité alimentaire est essentielle en raison de la très grave pauvreté dans ces communautés," dit Soliman. « Ce cycle continue de se répéter. Les petits exploitants sont généralement propriétaires d’un demi-hectare de terre dont ils ont hérité, et le travail agricole, ce sont les femmes et les enfants, sans mécanisation, ce qui entraîne des pertes de récoltes.

Les pertes de récolte constituent un point de pression critique pour la chaîne de valeur du riz dans l’État de Kebbi. Selon WACOT, les riziculteurs perdent des quantités importantes de riz à chaque cycle de culture en raison du manque de connaissances techniques, accès aux routes, aux installations de broyage et de stockage et aux intrants de qualité. Son projet d'expansion des planteurs Argungu prévoit d'endiguer les pertes inutiles de riz en fournissant des intrants agricoles de haute qualité tels que des semences hybrides et des engrais., formation et accès direct au marché.

Surtout, WACOT garantit également le « prélèvement » en fin de récolte, ce qui signifie que les agriculteurs ne seront pas lésés s’ils ne peuvent pas vendre leur riz au juste prix du marché si la demande fluctue.

L’innovation technologique est une autre pièce du puzzle pour accroître la sécurité alimentaire tout en garantissant que les producteurs ne sont pas laissés pour compte et qu’ils sont pleinement intégrés dans le système de production rizicole.. Maintenir la transparence et une bonne communication entre les agriculteurs et l’entreprise, WACOT offre un accès aux applications de culture du riz et utilise son système de gestion agricole pour suivre l'activité des petits exploitants agricoles., offrir des orientations opportunes sur les pratiques agricoles et surveiller la production.

« En termes de revenus, [ce projet] les aide à envoyer leurs enfants à l'école, pour accéder à de meilleurs moyens de subsistance, avoir accès à de meilleurs soins de santé et à une meilleure alimentation," dit Soliman.

Riz WACOT Afrique — L'investissement dans le projet d'expansion des petits producteurs d'Argungu entraînera une augmentation 20,000 tonnes de paddy récolté produites.

Investir dans les femmes et les jeunes

En raison des barrières culturelles et d'autres contraintes, les femmes et les jeunes sont souvent exclus des activités d’expansion économique dans les zones rurales. Dans son projet d’expansion des petits producteurs d’Argungu, WACOT met fortement l'accent sur l'amélioration de ces populations vulnérables.

Parmi les nouveaux agriculteurs que le projet intégrera, 50 pour cent seront des femmes et 70 pour cent seront des jeunes. Dans les communautés de l’État de Kebbi, les jeunes n’ont généralement pas accès à la terre car la propriété est généralement déterminée par héritage. WACOT travaillera avec les jeunes pour leur offrir un meilleur accès aux emplois et aux opportunités agricoles dans leur réseau., visant à réduire le chômage des jeunes dans la région.

« Nous descendons à la base [niveau] et veiller à ce que ces personnes soient autonomes pour la vie," dit Soliman, faisant référence au développement des compétences que WACOT propose à ses producteurs.

L’un des objectifs du Trade Hub est de consacrer 50 pour cent des emplois créés grâce à ses subventions et partenariats avec des femmes, réduire l’écart entre les sexes sur le marché du travail dans la région.

« Avoir une forte composante d'inclusion de genre dans la première subvention que nous annonçons est une grande étape pour nous.,» dit Chioma Adiele-Okpara, spécialiste du genre au Trade Hub, qui développe des stratégies pour inclure des éléments d’inclusion des femmes dans toutes les subventions de co-investissement du Trade Hub.

Regarder vers l'avenir

Avec sa première subvention destinée à impacter les agriculteurs d'un État sous-financé au Nigeria, le Trade Hub donne le ton pour les futurs investissements et partenariats. Main dans la main avec l’initiative de WACOT, la mission du Trade Hub est de catalyser une croissance économique durable qui atteint ceux qui se trouvent au bas des chaînes de valeur ainsi que les entreprises compétitives..

« Nous sommes heureux de nous associer à une entreprise qui a fait ses preuves en matière d'impact sur des milliers de riziculteurs.," dit Michael Clements, le chef du groupe du Trade Hub.

NEI Plus and Nigerian government launch « Big Books »

novembre 19, 2020

Engaging the private sector for stronger, more dynamic education

novembre 2, 2020

5 lecture min.

A teacher stands in a class full of students in Nigeria. — Increasing coordination with the private sector could help reduce strain on the public education system. Photos par Erick Gibson.

Education is a social investment aimed at shaping the present and the future. Like other investments, it should abide by the rules of a market that demands quality, relevance, durability and reasonableness of price in order to be attractive and appealing to its users.

In low-income economies, the public sector often struggles to meet its mandate for delivering quality education. Weak systems and opaque operations (and sometimes corruption) contribute to this situation.

Engaging the private sector and private schools and leveraging their strengths in the delivery of education — while adhering to government-set standards — could help bridge this gap, strengthen education and ultimately lead to better learning outcomes for students.

In many places, it is clear where the public sector isn’t living up to expectations for education, as the private sector takes on an increasing share of education delivery. Au Nigéria, Par exemple, le 2015 National Education Data Survey showed that private schools account for 28 percent of primary school enrollment in the Southeast and 40 percent in the Southwest. Selon Development and Cooperation, 33 percent of Kenya’s primary schools are private, and so are 15 percent of all secondary schools. Dans ces cas, private schools’ prevalence can be attributed to several factors, including struggling ministries, unmotivated teachers and teaching professionals, crumbling infrastructure, lack of teaching learning materials, limited funding and loose relationships between the government and communities.

These are compounded by the fact that ministries do not have a clear policy on how to engage with other education providers. The result is obvious: the rapid deterioration in the quality of education provided by the public sector, creating opportunity for the private sector to fill the gap.

When properly implemented, the private sector’s engagement in education boasts dynamism. It is incentive-driven. It is agile and creative. It can easily adapt to changing market demands or circumstances. Et, surtout, it has the potential and frequently the means to deliver education as a social commodity to society.

Cependant, there are risks to allowing private schools to operate and expand without regulation. Private schools without sufficient oversight can operate at sub-standard level or even be unsafe. Classroom instructors may not have the requisite qualifications to teach, may not follow the national curriculum or administer standardized tests. They might suffer from scarcity of textbooks, teachers’ guides, supplementary reading materials and teaching aid materials.

Et, if solely driven by profit, private schools can promote inequity and marginalize lower-income students. En Somalie, selon UNICEF, the majority of education services are run privately and operate on a fee system under a weak government structure. Without regulation, the result is predictable: poor quality of education.

A man and woman review printed education materials. — Facilitating partnerships with printers is one potential route to increased private sector engagement.

Engaging the private sector

How can public education systems work with the private sector in a meaningful way without losing their important oversight responsibilities? This calls for a new approach.

Governments should create space for all education stakeholders including the private sector to become involved, including in the formulation of education policies, normes, strategic plans and regulatory framework from the outset and on a continuing basis. Surtout, governments should be supported by putting in place strong regulatory mechanisms and quality assurance systems for education, not just for the benefit of public schools but private schools as well.

Bilateral and multilateral funding agencies could support governments to understand the benefits of public-private partnerships and assist in the development of tools and mechanisms for how to better engage the private sector. They can also encourage the private sector to invest in education while holding governments accountable for creating better-regulated education systems.

Higher education is where private sector engagement is highly sought after. Investing in higher education can be an expensive venture, and running or managing higher education also requires a greater degree of sophistication. The private sector should be encouraged to take partial ownership of the sub-sector to facilitate access to higher education for students who want to continue their studies. Continuing education through non-residential means such as online learning is also a space in which the private sector has great potential. En plus, privately owned institutions for higher learning could be sources of innovation driven by cutting-edge research.

Strengthening private schools

As governments create space for the private sector to get involved in public education, the public sector can also work to strengthen private education.

Governments can offer a variety of support to establish and advance high-quality private education, such as simplifying and facilitating licensing for private entities, religious organizations and other interested parties that want to offer education while adhering to government-set regulations.

The government could provide land or other facilities for education delivery. It can encourage the private sector to set up training institutes to train teachers and other education professionals who have the desire to work in private or public schools.

Governments should also provide supervisory oversight to private schools to ensure quality.

Encouraging investment and partnerships

Encouraging outside investment and partnerships with other private sector companies can also strengthen the quality of education.

Governments can facilitate dialogue between private schools and banks to increase access to financing and microcredit to support school improvements and encourage easy access to loans for private school operators or other businesses interested in investing in education. Governments could also partner with and incentivize private publishing houses to make teaching and learning materials available to a wider audience at an affordable price.

By supporting the establishment of private and community school associations, governments can help them bargain collectively with banks, publishing houses, and even the government itself.

It is in the interest of making this social service available to the widest possible segment of society, especially children and youth, that the public sector has to engage or provide space to the private sector to take part in it.

This will first create an opportunity to allow more resources to be allocated to education as well as ease the financial burden the government will have to shoulder in delivering education to a wider segment of the society. Deuxième, it will encourage creativity or innovation, enabling education to be more responsive to the evolving skilled labor needs of the market and society in general. Et troisième, more competition will promote improved quality of education services in the future.

Semere Salomon est directeur principal du Centre Afrique de Creative Associates International.

Nigeria: 18 et apprendre à lire

octobre 22, 2020

1 lecture min.

Aisha s'est mariée lorsqu'elle était adolescente avant d'aller à l'école. Maintenant, après son divorce, elle apprend à lire pour la première fois dans un centre d'apprentissage pour adolescentes soutenu par la Northern Education Initiative Plus, financée par l'USAID, à Bauchi., Nigeria.