Apoka, Le sauveur: Community-led violence intervention at work

juin 16, 2020

1 lecture min.

Two years ago, the municipality of Apopa ranked second for its homicide rates in El Salvador. Aujourd'hui, it has dropped to 31. While a host of factors and conditions have led to decreased levels of violence in “la ciudad mágica,» community-centered interventions are at the heart of a place-based strategy supported by the U.S. Agence pour le développement international (USAID).

Spotlight des partenaires: Prévention de la violence menée par la communauté

juin 10, 2020

2 lecture min.

In Tikal Norte, a community in Apopa, Le sauveur, once oppressed by gang violence, has not had a single homicide in more than a year.

A local organization, Comandos de Salvamento, has worked closely with the community and its leaders to transform Tikal Norte, bringing families back to abandoned homes, establishing a police presence and painting murals over bullet holes.

To help effect change in a community so plagued by violence, Comandos took a community-driven, holistic approach with support from the USAID Crime and Violence Prevention Project (CVPP).

Comandos had worked in the Apopa area primarily on emergency response – training school students on fire safety and evacuation procedures and operating private ambulances. The group was eager to work on longer-term violence prevention programming but lacked the tools and resources.

De gauche: Roberto Cruz, CVPP’s Glenda Marroquin and community intervention worker Noé del Cid. Photo par: Carlos Diaz

CVPP, which shared violence prevention best practices through study tours and other exchanges among practitioners in the United States and Latin America, introduced Comandos to successful approaches used in Los Angeles. Experts in community-level interventions for interrupting cycles of violence, namely from an L.A.-based organization called Progressive, traveled to El Salvador to work with Comandos and share their expertise.

“Before this project, we thought that we were doing everything perfectly, but we realized that we needed a lot [of support],” says Comandos Director Roberto Cruz. “The project has helped us to professionalize in that regard, to put everything we learned in practice, not only here in Apopa, but on a national level wherever we can work.”

During a year and a half, Comandos worked to empower the local leadership council to design and implement projects to benefit Tikal Norte’s residents, such as reclaiming public spaces, installing streetlights and painting murals. Central to this process was building trust with the community so that residents – including some gang-involved youth – would participate in the initiatives.

“Part of the focus of the violence interventions in Los Angeles is based on building relationships with the community … We realized that it was the right thing to do to work with the community and strengthen the people," Cruz dit. “We started to work a lot on activities of community cohesion.”

Comandos’ activities in Tikal Norte reestablished community ties and legitimized the local leadership council, so it can continue the progress that’s been made. For Cruz, their success is evident in the number of families that have returned to homes they had abandoned.

“There were 29 houses where [the gangs] said to the families, ‘You leave, or you die,’” he recalls. “Twenty-two families have returned to the community. So you see the confidence that now exists in the community.”

Cliquez ici to learn more about CVPP’s work to prevent violence in Apopa.

Sept prix dans deux concours pour le reportage multimédia de Creative en Amérique centrale

juin 3, 2020

5 lecture min.

Un dossier multimédia mettant en lumière les facteurs de migration en Amérique centrale gagné prestigieuxPrix Telly pour l'exceptionneltravaux non diffusés dans les catégories dedocumentaire série, questions sociales, vidéographie/cinématographie etédition, Creative Associates International annoncé.

Appelé « Prendre de l’avance »,« Le package gagnant est une vitrine de 17 vidéos, dont la plupart présentent des personnes ayant émigré du Honduras, El Salvador ou Guatemala, une région connue sous le nom de Triangle du Nord.

Du projet vidéo est également issu unsite web, imprimer des documentset unPensez créatif histoire de couverturecentré sur l'un des plus approfondis analyses à ce jour des facteurs locauxqui poussent la plupart des migrants deHonduras, El Salvador et Guatemala, également connu sous le nomle Triangle du Nord. L'étude, créalisé par Creative, c'estbasé sur une exploration approfondie des données, analyse statistique et enquête auprès de 2 400 personnes réalisées en février et mars 2019.

"Ceune sensibilisation ambitieuseLa campagne met des visages sur les statistiques révélatrices de l’étude,» ditPablo Maldonado, Directeur des opérations de Creative, qui a également dirigé leTriangle du Nordinitiative de recherche. "Je félicite l'équipe du siège et sur le terrain qui a travaillé sur cet ensemble multimédia majeur et impressionnant."

Le 2020 Prix de la télé sont tous issus de la catégorie non-diffusion et comprennent les éléments suivants: Argent, Documentaire: Série; Argent, Général: Questions sociales; Argent, Artisanat: Vidéographie/Cinématographie; et Bronze, Artisanat: Édition.

Migrant et enfant du Guatemala — Ervin Choc, un migrant de retour et l’une des personnes interrogées par l’équipe, se tient avec sa fille dans un champ de maïs que sa famille loue. Photos de Janey Fugate.

Dans un autre concours, "Prendre de l'avance» a gagné unPrix d'excellence du communicateur dans la catégorie deCampagne ou série Vidéo.

Pendanttrois semaines de la production sur le terrain, La créativité sillonne le Honduras, El Salvador et le Guatemala pour capturer les histoires de personnes qui avaient déjà émigré ou envisageaient de faire le voyage dans un autre pays, généralement aux États-Unis. Se concentrer sur lecommunautés quesont lesmigration des sources primaires, ta production intensive a amené les équipes dedes hautes terres rurales de l'ouest du Guatemala aux quartiers urbains denses de San Pedro Sula, Honduras.

CréatifsSeniorÉcrivain etLa monteuse Evelyn Rupert était la productrice principalepour le projet de la planification à la post-production et l'écriture de scénarios.Janey Fugate était laplombphotographe, vidéaste, monteur vidéo et scénariste secondaire, dont les compétences techniques en vidéographie et en montage ont valu au projet deux Telly Awards. Le couple a commencé à planifier le voyage enFévrier2019 et a terminé la production en juin.

CréatifsDirecteur principalMichael J.. Fraude supervisé le projet et voyagéavec Rupert et Fugateau Honduras pour soutenir la production sur le terrain. Marta Maldonado, responsable de la communication, a voyagéavec l'équipeau Salvador pour soutenir le tournage.Concepteur principalAmanda Smallwood a conçu le microsite et les supports imprimés, y comprisPensez créatif. Jillian Slutzker, àle chronométrer le gestionnaire de contenu stratégique, coordonné le projet.

Pendant la planification et le tournage, l'équipe de production a reçu l'aide de nombreux amis et collègues de la région, y compris: Au Honduras, Amalia San Martin; Kenny Castillo; Arnold Linares; au Guatemala, Dan Mooney, Steve Dudenhöfer et Carlos Quim; etau SalvadorGerson Lara, Rodrigo Moran et Harold Sibaja.

Dans le cadre du forfait, Créatifa également suivi l'histoire pour banlieue de Washington, D.C., dresser le profil d'une famille qui a émigré aux États-Unis pour fuir la violence au Salvador. Ils sont en train de demander l'asile. Appelé "L'histoire de Juan Carlos et Jessica," il a été produit et éditéparVeronica Balderas, contributrice du segment. Erick Gibson était le photographe etvidéaste.

En outre, Creative a envoyé une équipe à Tijuana pour dresser le portrait d'un migrant hondurien qui attendait à la frontière entre les États-Unis et le Mexique.. Appelé "L'histoire de José,« il a été filmé, écrit et édité par Lucas Williams.

Sans rapport avec"Prendre de l'avance,» Creative en a remporté deux 2020Prix de la télé pour son package appelé« Les familles à l'avant-garde de la prévention de la violence,» qui se concentre sur un programme de prévention du crime et de la violence au Honduras appeléProposer plus, ce qui est financé par les États-Unis. Agence pour le développement international.Les trois vidéos, tourné à Tegucigalpa et San Pedro Sula, Honduras, en août, gagnédeux prix de bronze pour le documentaire: Série et Artisanat:Vidéographie/Cinématographie, tous deux dans la catégorie non-diffusion.

Depuis 2016, La créativité a gagné 16 prestigieux Telly Awards. Chaque année, tLes Telly Awards présentent les meilleures œuvres créées à la télévision et en vidéo, pour tous les écrans. Réceptionplus que 12,000 entrées des 50NOUS.les États etcinq continents, Les lauréats des Telly Awards représentent le travail de certaines des agences de publicité les plus respectées, chaînes de télévision, sociétés de production et éditeurs du monde entier.

Président et chef de la direction de Creative, Leland Kruvant, a félicité l'équipe pour le 2020 récompenses.

« Nous pensons que la combinaison de recherches révolutionnaires et d’une excellente narration permettra aux communautés et aux décideurs politiques de mieux comprendre etrépondre aux facteurs de migration,» Kruvant dit.

Famille hondurienne — Dariana Zapata (centre gauche) pose pour un portrait avec sa famille au Honduras’ Côte Caraïbe. Dariana était l'un des nombreux parents qui ont exprimé son désir de soutenir son enfant pour motiver son émigration..

À propos de l'étude

En février 2019, Creative a commandé une étude ambitieuse qui s'est d'abord concentrée sur les municipalités qui ont les taux d'émigration les plus élevés du Honduras., El Salvador et Guatemala. Analyser les données de près 900 municipalités, La création a identifié le 60 cela représente ensemble plus de la moitié de toute l’émigration de la région.

Dans ceux 60 municipalités, Création ensuite réalisée 2,400 individu dans–enquêtes auprès des personnes pour recueillir des données sur les intentions de migrer, famille, la situation économique du ménage et l’exposition à la criminalité, entre autres points. Sur la base de ces enquêtes et d’une analyse approfondie des données, Creative a pu distinguer les différents déclencheurs de migration dans chaque commune, ainsi que dresser un portrait général des migrants potentiels.

Ces conclusions mettent en lumière le paysage migratoire complexe de la région et peuvent être utilisées pour éclairer des programmes très ciblés susceptibles d’atténuer la migration irrégulière et d’améliorer les conditions des Centraméricains.. L'étude a pris le nom de « Saliendo Adelante," empruntant une expression espagnole fréquemment entendue dans toute la région lorsque les gens décrivaient ce qui les poussait à migrer : leur résilience et leur désir d'avancer dans la vie..

«Les jeunes des quartiers dominés par les gangs ont besoin d'exemples positifs»: Enrique Roig

mai 27, 2020

Par Felipe Morales Sierra, Le spectateur

6 lecture min.

Ce Q&Un premier est apparu dans la publication colombienne El Espectador et a été traduit en anglais. Cliquez ici pour lire l'original.

En Colombie, Un tiers de la population carcérale du pays est composé de jeunes entre les jeunes 18 et 28 ans, et 68 de chaque 100,000 Les mineurs de la colobmie ont des restrictions sur leur liberté en raison de conflits avec la loi. Le recrutement de jeunes à des groupes criminels, Les gangs et autres types de crimes organisés sont un problème pour lequel le monde essaie de trouver des réponses, et une initiative de Creative Associates International et de l'Organisation internationale pour la migration (Iom) cherche à approfondir les raisons du recrutement pour offrir des solutions à partir de zéro.

Grâce à une étude lancée cette année en Colombie, Ils cherchent à déterminer ce qui amène les jeunes à s'impliquer dans le crime. Dans une interview avec El Espectador, Enrique Roig, Directeur du domaine de pratique de la sécurité des citoyens de Creative Associates International, Détails un diagnostic pilote qui a été fait avec les mineurs impliqués dans le système de justice pour mineurs (Système de responsabilité des adolescents criminels). Le diagnostic, Roig explique, découle d'une approche de santé publique, dans lequel la violence est comprise comme une maladie dont la transmission doit être arrêtée, et l'accent mis sur le renforcement des liens des jeunes avec les environnements qui les protègent, comme leurs familles et leurs écoles.

Comment cet outil pour diagnostiquer le niveau de risque des jeunes pour s'impliquer dans le crime développé?

L'instrument a été créé par l'Université de Californie du Sud pour comprendre les facteurs de risque individuels qui affectent la vulnérabilité d'un jeune à être recruté dans un gang ou à s'engager dans l'activité criminelle. Il est apparu pour la première fois dans un projet dans les communautés de Los Angeles avec une forte prévalence de ces problèmes.

Alors, Le modèle a été amené au Mexique et au Honduras, Et nous l'avons adapté à six pays. En Colombie, Nous avons formé une alliance avec l'OIM pour l'adapter au contexte colombien et observer quels facteurs affectent les jeunes ici.

Qu'implique cette adaptation?

Nous avons effectué un petit pilote avec OIM pour adapter les interviews que nous faisons avec les jeunes, les ajuster au contexte colombien et observer également les différentes échelles de l'instrument pour voir à quel point ces mesures sont pertinentes en Colombie. Le modèle a des facteurs de risque et des facteurs de protection liés à la communauté, famille, école, individu et pairs.

Sur quoi le pilote de Colombie a-t-il concentré?

Pour cet échantillon, Nous avons joué 164 enquêtes à Bogotá, Cali, Soacha (Cundinamarca), Caloto (Cauca) et ibagué. Nous devons étendre le diagnostic pour commencer à l'adapter à d'autres contextes en Colombie, Parce que nous voulons que cet instrument aide les interventions en cours et futures à être plus précises pour réduire ces risques. Les programmes qui travaillent avec des jeunes à risque d'être recrutés par les gangs criminels ont du mal à mesurer l'impact. Puisque les interventions incluent souvent un peu de tout, du football au théâtre en passant par le conseil familial et la thérapie, En fin de compte, il est difficile de conclure si le niveau de risque est réduit ou non.

Pourquoi, Malgré les efforts reconnus des États en Colombie, y a-t-il tant de jeunes impliqués dans le crime?

Ce que nous savons de la preuve, c'est qu'il existe une série de facteurs qui influencent l'implication d'un jeune dans le crime. Si les programmes avaient cette information et savaient exactement quels comportements doivent être modifiés et comment le faire grâce à des facteurs de protection, Ils auraient beaucoup plus d'impact. Le problème est que, Sans cette information, Le travail avec les jeunes est souvent réalisé sur la base d'un intuition ou d'anecdotes qu'il a fonctionné pour un certain jeune. Ce que fait ce diagnostic, c'est fournir des informations pour spécifier beaucoup plus et dire, Par exemple, Ce programme coûte un certain montant et l'impact que nous observons est que les jeunes ne portent plus d'armes à feu et qu'il y a une réduction des homicides.

Quels facteurs conduisent un jeune à s'impliquer dans le crime?

Ce que nous observons constamment de Los Angeles à Tegucigalpa, c'est le manque de supervision des parents, influence négative des pairs, Utilisation de médicaments et d'événements de vie critiques. Nous pouvons dire qu'un événement critique est basé sur la façon dont un jeune perçoit cet événement, Ça n'a pas besoin d'être la mort d'un être cher; Un événement critique peut également être un argument avec un petit ami ou une petite amie. Cette combinaison de facteurs, De ce que nous avons vu, est le plus influent. Certainement, Il y a aussi des contextes de la communauté où ils vivent, avec des facteurs tels que la dignité et la pauvreté. Ce n'est pas qu'un facteur de risque est plus important que l'autre; C'est une combinaison de plusieurs qui rendent quelqu'un plus sensible au recrutement.

Autrement dit, Ce que vous dites, c'est que, puisque les facteurs de risque présents ne peuvent pas toujours être évités, L'accent devrait être mis sur le travail pour renforcer les facteurs de protection.

Exactement. Par exemple, au sein de la famille, On peut faire beaucoup pour réduire les facteurs de risque. Notre travail se concentre beaucoup sur les familles et les écoles. Seules des choses comme l'amélioration de la communication ou des attentes peuvent vraiment influencer les relations entre les jeunes et les parents, qui à leur tour changent d'autres comportements, comme les parents sachant à quel point leur enfant sera en retard et avec qui.

Que recommandez-vous aux familles dont les jeunes sont les plus vulnérables à s'impliquer dans le crime?

Notre travail est axé sur l'établissement de meilleures relations, La flexibilité des règles, adaptation à certaines circonstances pour que la famille puisse mieux se connaître, Parce que parfois ils ne parlent pas. Une fois qu'il y a de meilleures relations, Non seulement avec les parents mais avec d'autres membres de la famille, Cela peut vraiment aider à construire une autre vision des jeunes et ce qu'il peut faire de sa vie. Parce que, dans les quartiers dominés par les gangs, Les jeunes ont besoin d'exemples de pairs positifs, Et cela se trouve au sein de la famille et dans certaines figures scolaires telles que les enseignants.

Que peut apprendre la Colombie des pays où vous avez déjà travaillé?

Beaucoup. Et la Colombie a également beaucoup d'expérience dans ce domaine. Ce qui est vraiment nécessaire pour que cela s'installe, c'est l'engagement et les ressources nécessaires pour faire un programme complet. Nous savons déjà que, à travers le monde, La tendance est que dans un quartier donné, 0.05 pour cent de jeunes s'engagent 75 pour cent des crimes. Si nous pouvons atteindre ce groupe, Savoir quels sont leurs risques et avec des programmes qui visent vraiment à changer ces comportements, Nous pouvons avoir un impact plus important.

Pourquoi utiliser une méthode de santé publique pour résoudre la question du crime des jeunes?

Nous voyons la violence comme si c'était une épidémie. Ce que nous essayons de faire, c'est arrêter sa transmission. Si nous savons que la violence se produit au sein d'un petit groupe dans un quartier spécifique, Nous devons les atteindre. Cela doit être la principale intervention. Mais le défi dans les pays d'Amérique latine est que l'on pense que le problème ne peut être résolu que par la police, Quand beaucoup peuvent être faits avec des programmes sociaux. Pour mettre en œuvre ces programmes, cependant, Nous devons être clairs sur où ils vont travailler, avec qui, et de quel type d'intervention ils ont besoin. Sans, Vous vous retrouvez avec un certain nombre de programmes qui essaient de faire mille choses, Mais ils n'empêchent pas le recrutement de jeunes ni ne réduisent la violence.

Lorsque les gens font pression pour l'incarcération ou les phrases plus longues, Comment plaider pour une approche de santé publique?

Cela se produit aux États-Unis, aussi, Parce que les mesures punitives sont la réponse la plus simple. Mais l'approche de santé publique nous permet de démontrer que, Quand nous pouvons penser aux gens et aux contextes dans lesquels ils se trouvent, Nous pouvons avoir une plus grande réduction de la violence. En outre, L'impact finit par être beaucoup plus durable que d'adopter une approche punitive.

L’appropriation locale crée un héritage durable au Honduras

avril 29, 2020

Par Evelyne Rupert

4 lecture min.

Il est tôt un samedi, mais quelques enfants et bénévoles sont déjà au Centre de sensibilisation, balayer le sol, réorganiser les chaises et commencer une partie de baby-foot. Ils saluent Arnold Linares alors qu'il déverrouille le gymnase, espaces de classe et de laboratoire informatique pour la journée.

Linares, un pasteur, et sa famille supervisent ce centre animé du quartier de Rivera Hernández, un secteur qui a fait des progrès lents mais réguliers pour réduire les niveaux élevés de violence des gangs qui le rendent notoire.

Le Centre de sensibilisation joue un rôle clé dans ces progrès depuis plus d'une décennie.. Là, les enfants et les jeunes trouvent un espace sûr pour développer des compétences telles que le leadership et l'établissement d'objectifs, apprendre un métier, suivre des cours d'informatique, jouer de la musique, faire de l'art ou participer à des sports.

Deux jeunes garçons jouent au baby-foot. — Deux garçons jouent au baby-foot sur une table du centre de sensibilisation Rivera Hernandez. Photos de Janey Fugate.

« C'est un grand privilège qu'ici, dans ce secteur autrefois très violent, ils ont créé ce qui fut le premier centre de sensibilisation," dit Linares, qui vit et travaille à Rivera Hernández depuis quelques temps 40 années. «Maintenant, nous avons plus de 60 Centres de sensibilisation à travers le Honduras.

Le Rivera Hernandez Outreach Center a été le premier centre de ce type créé au Honduras grâce à un programme de l'USAID mis en œuvre par Creative appelé Alianza Joven Honduras. (Alliance de la jeunesse du Honduras). Aujourd'hui, il y a 68 centres répartis dans les quartiers les plus vulnérables du Honduras.

Et tandis qu'Alianza Joven a aidé à faire décoller de nombreux centres de sensibilisation, ils ont continué à fonctionner et à croître en nombre depuis la clôture prévue du programme 2017. Aujourd'hui, le réseau des centres de sensibilisation est géré par la Fondation nationale pour le développement du Honduras, connu en espagnol sous le nom de FUNADEH.

« Dès 2012, nous avons reconnu le potentiel de FUNADEH en tant que partenaire solide avec l'expertise et la passion nécessaires pour reprendre les centres de sensibilisation.," dit Salvador Stadthagen, Directeur de la stratégie Amérique latine et Caraïbes de Creative et ancien chef du parti Alianza Joven. « Nous avons vu depuis qu’ils n’ont pas seulement entretenu les centres, mais a continué à évoluer, développer et répondre aux besoins de ces communautés.

FUNADEH, établi au Honduras en 1983, avait une longue histoire de développement social et économique dans les communautés vulnérables. Alianza Joven s'est associée à l'organisation pour développer un centre de sensibilisation à Chamelecón, une autre zone de haute violence à l'extérieur de San Pedro Sula. Par 2013, La FUNADEH a commencé à superviser sept centres dans la région de San Pedro Sula.

Le pasteur Arnold Linares et sa fille Sara posent pour une photo au centre de sensibilisation. — Arnold et Julia Linares ont transmis leur engagement envers le Centre de sensibilisation à leur fille Sara. (droite), qui en est le coordinateur.

De là, le partenariat s'est développé. Avec les encouragements d'Alianza Joven, La FUNADEH a présenté un concept à l'USAID et signé un accord de coopération. Connaissances et méthodologies créatives transférées, fourni un mentorat, a aidé la FUNADEH à construire ses réseaux, et fusionné certains membres du personnel. Avec ce soutien lors de la phase initiale de transfert, La FUNADEH a pu assumer l’entière responsabilité des Centres de sensibilisation.

Marco Matute de FUNADEH affirme que ce partenariat a aidé l'organisation à mieux servir les communautés et à renforcer l'appropriation parmi les gouvernements locaux et le secteur privé..

« FUNADEH a été renforcé par l'opportunité de travailler avec Creative en tant que partenaire, adopter des pratiques positives et efficaces en matière de développement social et de prévention de la violence avec une approche unique pour impliquer les communautés,» dit Matute, le chef de projet adjoint du projet Genesis de la FUNADEH, qui supervise les centres de sensibilisation.

Depuis la fin d'Alianza Joven, La FUNADEH a élargi l’offre des centres pour inclure des formations supplémentaires en leadership, développement de la main d'œuvre, activités de plein air et art.

« FUNADEH a été renforcé avec l'opportunité de travailler avec Creative en tant que partenaire »

Il a également développé un soutien important aux centres de sensibilisation de la part des gouvernements locaux et des entreprises., réduisant considérablement les contributions de l’USAID. La FUNADEH a mis à profit $2.7 millions d’investissements de plus de 50 entreprises du secteur privé. Un supplément $6.6 des millions de ressources ont été mobilisées auprès des agences gouvernementales locales et nationales, universités, et organisations non gouvernementales.

« Le modèle du Outreach Center est resté attrayant pour de nombreuses entreprises qui ont trouvé son infrastructure adaptée à leurs efforts de responsabilité sociale., tout en répondant aux besoins de durabilité des centres de sensibilisation,Matute dit. "Dans le passé, L'USAID couvrirait la majeure partie des coûts d'ouverture d'un centre de sensibilisation. Désormais, la collecte de fonds de la FUNADEH permet à l'USAID de fournir un soutien modeste aux opérations de démarrage.

Regarder vers l'avenir, La FUNADEH travaille à la création d'une association nationale de centres de sensibilisation avec des conseils d'administration nationaux et locaux pour consolider davantage la durabilité et l'appropriation locale des centres afin que les centres de sensibilisation comme celui de Rivera Hernandez puissent continuer à servir les populations vulnérables..

« Les centres de sensibilisation ont apporté des avantages incommensurables à la vie des enfants et des jeunes vivant dans les communautés.,Matute dit. "Et ils sont plus forts que jamais."

Tejiendo Paz aborde les questions environnementales, conflit et pandémie

avril 27, 2020

Par Janey Fugate

7 lecture min.

Totonicapan, Guatemala — Porter la jupe aux couleurs vives typique des femmes mayas des hautes terres occidentales, Nicolasa Grasiela Checlan a brandi un bâton avec un pompon noir suspendu au sommet. Le bâton signifie son statut de «alguasil,» une dirigeante du conseil élu des représentants autochtones de sa communauté, connu sous le nom de 48 cantons, qui existe depuis près de 200 années.

En tant que femme et leader autochtone, Checlan représente l'un des principaux groupes que Tejiendo Paz, ou le Projet de consolidation de la paix, s'est engagé dans ses efforts pour promouvoir la cohésion sociale dans les communautés guatémaltèques isolées. Ces communautés, comme une grande partie du Guatemala, avoir une riche identité autochtone avec des membres parlant l'espagnol comme deuxième langue.

Nicolas Checlan tient le relais chez elle, un symbole de son identité et de son leadership mayas. Photos de Janey Fugate.

Financé par le NOUS. Agence pour le développement international et mis en œuvre par Creative Associates International en consortium avec la Fondation ProPaz et PartenairesGlobal, le projet aborde la violence et les conflits liés à l'utilisation des terres, ressources naturelles, jeunesse, les questions de famille, de genre et de gouvernance en donnant aux communautés les outils nécessaires pour prévenir, atténuer et résoudre les conflits, et travailler à leur propre développement.

« Le projet est nécessaire pour que les gens puissent devenir autonomes non seulement en connaissant leurs droits., mais en ayant les outils nécessaires pour faire valoir leurs droits, et construire des ponts entre l'État, les entreprises privées et les communautés par le dialogue," dit Erwin Salazar de ProPaz, une organisation guatémaltèque avec plus de deux décennies d’initiatives de consolidation de la paix dans le pays et partenaire de mise en œuvre de Creative.

En mettant l’accent sur l’engagement des jeunes et l’autonomisation des femmes, le projet travaille avec les communautés pour développer des « visions communautaires »,» qui sont des plans d'action pour résoudre les problèmes de conflit, servir de feuilles de route pour accéder aux ressources et aux services et fixer des objectifs de développement.

« Trouver des solutions est important car si nous sommes constamment en conflit, nous perdons nos valeurs," a déclaré Neuton Barreno, un jeune de Totonicapán qui avait assisté à plusieurs réunions organisées par les animateurs communautaires du projet. « Nous voulons faire cela pour que les autres générations puissent vivre en paix. »

#Restez à la maison: Le projet répond au COVID-19

Alors que la pandémie de COVID-19 a paralysé le pays avec des couvre-feux à l'échelle nationale et une suspension des transports en commun, les connexions du projet et la maîtrise des langues autochtones de son équipe sont soudainement devenues encore plus essentielles pour continuer à atteindre ses publics cibles.. La crise de santé publique a exacerbé les tensions dans un environnement déjà propice aux conflits, donner à l'équipe de Tejiendo Paz un scénario inattendu pour appliquer ses stratégies de consolidation de la paix et renforcer les communautés même en situation de confinement.

Pendant la pandémie de COVID-19 comme en temps normal, le projet s'appuie sur des facilitateurs communautaires pour établir des relations dans les régions éloignées, zones rurales. Souvent originaires des mêmes lieux où ils travaillent, les animateurs parlent couramment les langues mayas locales et comprennent les niveaux de complexité que représentent des décennies d'instabilité., la discrimination systémique envers les peuples autochtones et la pauvreté ont amené les quatre municipalités couvertes actuellement par le projet.

S'appuyer sur ces relations, l'équipe a créé huit groupes WhatsApp pour les membres clés de la communauté, y compris pour les jeunes, femmes et dirigeants, partager des informations fiables sur la pandémie en espagnol et dans les langues locales Mam et K'iche. Les animateurs communautaires gèrent les discussions et les utilisent pour aborder bien plus qu'une bonne hygiène..

Le projet utilise les chats WhatsApp pour impliquer les communautés et partager des informations fiables sur le COVID-19..

Les expulsés et les migrants qui rentrent dans les communautés ont intensifié les tensions en raison des inquiétudes des membres de la communauté quant au risque d'être porteurs du virus.. Les pertes économiques dues à la fermeture d’entreprises non essentielles et à la diminution de l’accès à la nourriture frappent également durement les communautés.. Mais même si les animateurs répondent aux problèmes immédiats via les discussions de groupe, ils sont en mesure d'examiner comment la crise peut éclairer le développement communautaire à long terme.

« Grâce aux chats et au travail des animateurs communautaires, nous pouvons voir comment les crises mettent en lumière des facteurs déstabilisateurs, et cela nous donne l'occasion d'apprendre de la façon dont les communautés réagissent et comment nous pouvons intégrer ces leçons dans les plans d'action communautaires.," a déclaré Sara Barker, le chef de projet du projet.

Tejiendo Paz réagit également à l'augmentation signalée des taux de violence domestique depuis le confinement du pays.. Souvent exacerbé par la toxicomanie et l’absence de répercussions institutionnelles dans de tels cas, la violence familiale et basée sur le genre est un problème clé abordé par le projet. La pandémie ayant accru le risque pour les femmes et les enfants en particulier, le projet a intensifié une campagne sur les réseaux sociaux dédiée à la promotion de l'unité familiale et à la fourniture d'informations sur la manière de signaler ce type de crime.

« Les médias sociaux ont actuellement un rôle important à jouer dans la prévention de la violence intrafamiliale.. Nous voulons utiliser ces messages pour continuer à changer les attitudes des gens,» dit Maria León, un animateur communautaire.

L'eau et la propagation du COVID-19

La croissance démographique, aggravée par les sécheresses prolongées dans la région, a conduit à ce que beaucoup considèrent comme la plus grave menace pour les pauvres., communautés rurales au Guatemala: pénurie d'eau.

« Ce qui nous inquiète le plus, ce sont nos enfants, car ils sont l'avenir de notre communauté., et tant qu’il n’y a pas assez d’eau, comment pouvons-nous espérer qu’ils seront mieux lotis que nous?" dit Violeta Gabriel, une mère vivant à Comitancillo.

La moitié des personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté au Guatemala n’ont pas accès aux services d’assainissement. Le manque d’assainissement et d’eau potable est exacerbé dans les zones rurales, où une distribution adéquate de l’eau n’a pas été une priorité de l’État. Dans les réunions communautaires, les animateurs disent que l’accès à l’eau est l’une des plus grandes préoccupations auxquelles les gens veulent répondre.

« L’eau que nous recevons n’est pas suffisante pour tout le monde, et cela devient un conflit,» dit Camilo Marroquín, un professeur d’école à Comitancillo et membre du groupe local qui supervise la distribution d’eau de son village.

La pénurie d'eau et le fardeau qu'elle fait déjà peser sur les individus et sur le système de santé rendent les efforts de communication menés par Tejiendo Paz autour du COVID-19 encore plus critiques.. Le manque d’eau disponible pour le nettoyage augmente le risque de propagation du COVID-19, Ainsi, renforcer les messages concernant le respect des mesures de confinement et la pratique d’une bonne hygiène sera le meilleur moyen d’empêcher les cas de se propager dans les zones où il est déjà difficile d’obtenir des soins médicaux.

Cette publication Facebook est écrite en Mam, une langue autochtone couramment parlée dans plusieurs municipalités couvertes par le projet.

« Dans les communautés où nous travaillons, families are big and often include elderly grandparents who are more vulnerable to the virus, and many don’t have reliable access to clean water,” says Eva Pinzón, the community facilitators’ lead coordinator for Tejiendo Paz. “Through our communications we want to make sure they know the risks and understand the prevention methods because a lot of information doesn’t reach them, or it doesn’t reach them in their language.”

Addressing environmental conflict

Before COVID-19 interrupted in-person meetings, Tejiendo Paz was in the middle of implementing conflict and resilience analyses with community members, which involves relationship building and gathering critical information on the kinds of issues communities are experiencing.

Les membres de la communauté citent à plusieurs reprises les problèmes environnementaux comme sources majeures de conflit et d’insécurité dans la région.. Ces problèmes vont de la protection des terres contre les industries extractives aux conflits d’utilisation des terres entre voisins.. Mais Nicolasa Checlan a expliqué que l'un des problèmes les plus répandus et les plus frustrants pour beaucoup est l'élimination des déchets..

« La rivière n’est plus ce qu’elle était, courir avec des eaux noires et des déchets," dit-elle, expliquant que les déchets générés par une communauté s'écoulent en aval pour contaminer le village voisin, conduisant à un conflit.

Alors que les populations ont augmenté au cours des dernières décennies, la quantité de déchets aussi. Et la prévalence des plastiques à usage unique et autres biens de consommation jetables n'a pas correspondu à une augmentation des installations de recyclage ou de gestion des déchets dans la plupart des zones où le projet travaille..

« Notre population a augmenté, mais l’éducation sur la façon de prendre soin de l’environnement n’a pas," dit Adan Rosales Velasco, un alguasil à Totonicapan.

Avant la pandémie, les animateurs communautaires rencontrent des jeunes et des dirigeants locaux lors d'une réunion typique.

Le problème des déchets peut paraître anodin, mais ce n'est pas le cas. Par exemple, l'animatrice Maria León a cité que lorsque les déchets sont jetés dans les pâturages, il y a un risque que le bétail en mange et tombe malade, entraînant une perte économique pour le propriétaire. Parce que les membres de la communauté ont différents niveaux de sensibilisation à l'élimination appropriée des déchets., ces différences d’attentes ont accru les tensions entre les communautés et les voisins.

Alors que Tejiendo Paz entre dans la phase de développement de visions communautaires, le projet travaillera avec les communautés pour concevoir des solutions pour résoudre des problèmes tels que la pollution par les déchets et la gestion des déchets., que ce soit en aidant les jeunes à mener des campagnes de sensibilisation ou en mobilisant les dirigeants communautaires pour amener les services gouvernementaux à lutter contre les déchets dans leurs villes..

Regarder vers l'avenir

Au-delà de la réponse à l’épidémie de coronavirus, l'objectif plus large du projet est d'aider les communautés autochtones à renforcer leurs structures organisationnelles pour s'adresser au gouvernement pour obtenir des services et des ressources., et pour résoudre les problèmes entre eux. De cette façon, les activités de consolidation de la paix et les plans d'engagement communautaire visent à aider les communautés à résoudre les conflits et à promouvoir des environnements sains où les communautés ont des objectifs collectifs et des moyens pour les atteindre..

« Parce que nous ne sommes pas là seulement pour résoudre les conflits mais pour restaurer le tissu social et reconstruire la paix., et c'est pourquoi les animateurs insistent sur l'identité et qu'ils comprennent en pratique le concept de paix,» dit Carlos Sartí, un membre fondateur de ProPaz. "Ce n'est pas une colombe, ni un lieu idéal, ni un paradis où tout est parfait.. Plutôt, ça veut dire demander: aujourd'hui, que pouvons-nous faire pour établir de bonnes relations?»

Spotlight des partenaires: Conseils pour soutenir les jeunes impliqués de la justice

mars 31, 2020

2 lecture min.

Dans les centres de détention pour mineurs et communautés vulnérables, Les aides orphelins s'efforcent de soutenir l'abandon, Jeunes à risque et incarcéré avec une formation et un mentorat afin qu'ils puissent fixer et atteindre leurs objectifs pour l'avenir. Au Honduras, Le programme de prévention de la violence de l'USAID plus, mis en œuvre par Creative, en partenariat avec des aides orphelins sur un programme pilote innovant pour atteindre les jeunes en conflit avec la loi.

Par le biais d'une subvention, Les aides orphelins ont appliqué le modèle de conseil familial du promonte Más à un groupe de 64 jeunes sous 18 qui était entré en conflit avec la loi. Le counseling travaille avec toute la famille pendant des mois pour renforcer les relations et la communication et renforcer la résilience des jeunes à s'engager avec les gangs ou la violence. Dans le cas des jeunes à un niveau de risque «tertiaire» - ceux qui avaient déjà été en conflit avec la loi - le conseil visait également à empêcher la récidive.

La conseillère des aides orphelins Regina Luna s'entretient avec une jeune famille à domicile. — Regina Luna des aides orphelins rendra visite au domicile d'un jeune homme qui a été libéré de la détention pour mineurs avec des mesures alternatives. Photo par: Janey Fugate

Morales Nahun Morales, qui dirige les opérations du Honduras des aides orphelins, a déclaré que la subvention était la première expérience de l'organisation en partenariat avec l'USAID et a été l'occasion de s'appuyer sur le travail qu'ils faisaient déjà avec les jeunes vulnérables.

«L'amélioration de nos interventions était une partie fondamentale de ce que nous recherchions, Et ProPonte Más était le partenaire qui nous a guidés et nous a aidés à grandir dans tous les domaines de l'organisation,"Morales a dit. «Le promonte Más a ouvert la porte pour nous et a travaillé avec nous tout au long du processus.»

« ProPonte Más était le partenaire qui nous a guidés et nous a aidés à grandir dans tous les domaines de l'organisation »
–Noh Morales

Des jeunes qui ont participé au programme pilote, 80 Pourcentage n'a pas refusé. Et avec le soutien des aides orphelins, Plusieurs jeunes ont réussi à laisser des gangs avec lesquels ils étaient impliqués, Créer un nouveau début pour eux-mêmes et leurs familles.

En outre, Le travail de ProBonte Más a positionné les aides orphelins en tant qu'organisation de référence pour les jeunes qui sortant de la détention. Avec le soutien des juges, défenseurs publics et autres qui travaillent avec les jeunes, Le programme a plaidé pour réduire le nombre de jeunes en détention et l'utilisation de «mesures alternatives» - similaire à la probation.

Les juges considèrent désormais les mineurs délinquants aux aides orphelins comme une alternative à la détention ou un chemin vers la libération anticipée.

«Nous avons conclu cette expérience de succès dans tous les sens. Nous nous sentons enrichis techniquement et opérationnellement,"Nahun a dit. «Le promonte Más a offert une intervention beaucoup plus pointue et nous a positionnés comme une organisation de référence pour la population avec laquelle nous travaillons.»

Autonomiser les femmes dans l’agriculture dans les zones rurales du Honduras

mars 9, 2020

4 lecture min.

Reine Fonseca, Couloir sec — Reina Fonseca du Corridor sec tient ses produits pendant la saison des récoltes. Photo de Gabriel Rodriguez. Photo par: Gabriel Rodríguez

Les femmes rurales du Honduras sont souvent un pilier invisible dans leur propre foyer, soutenir les moyens de subsistance de leurs familles sans reconnaissance ni voix dans les processus de prise de décision. Une partie de mon travail consiste à soutenir la participation accrue des femmes aux activités agricoles., ce qui peut apporter de nombreux avantages aux communautés.

Mais mon expérience m'a montré que nous ne pouvons pas nous attendre à ce qu'une femme soit autonome si elle n'a aucune estime d'elle-même sur laquelle s'appuyer.. Nous devons travailler de l'intérieur vers l'extérieur.

Les femmes rurales gravement désavantagées

À propos un quart de la population du Honduras 2 millions de femmes rurales travailler dans l'agriculture. Mais le Honduras a l’un des taux d’inégalités les plus élevés en matière d’accès et de contrôle des ressources productives comme la terre., outils, propriété et crédit. Les hommes sont considérés comme les propriétaires de ces ressources et comme contrôlant les processus agricoles..

Les femmes des zones rurales du Honduras devraient s'occuper du travail domestique, préparer à manger et élever des enfants. Mais ils constituent également un élément crucial – et souvent méconnu – de l’agriculture et de la génération de revenus.. Ils aident à entretenir les petits jardins, sélectionner des graines, élever du bétail, transport de l'eau, récolter et transformer les cultures. Les femmes sont également fréquemment impliquées dans la vente de marchandises sur les marchés informels..

Malgré leur contribution aux moyens de subsistance de leur foyer, les femmes sont exclues de la prise de décisions sur ce qu’elles doivent produire, les détails de la récolte ou comment dépenser de l'argent. Ils perçoivent rarement eux-mêmes un revenu.

Comme l'a déclaré le ONU., Il est essentiel de remédier à ces inégalités entre les sexes dans l’agriculture pour accroître la production agricole., réduire la malnutrition et améliorer les moyens de subsistance.

Reconnaître la dynamique du pouvoir au sein des foyers des producteurs agricoles et des petits exploitants agricoles, le Alliance des corridors secs (ACS)-PROSASUR met une perspective sensible au genre sur toutes les composantes du projet, de la planification et de la mise en œuvre au suivi et à l’évaluation.

Le programme vise à atteindre 6,000 familles pauvres et extrêmement pauvres dans la région climatiquement fragile du corridor sec du sud du Honduras, réduire la malnutrition infantile chronique et augmenter les revenus des petits exploitants agricoles. Pour atteindre ces objectifs, nous devons également remédier au manque de valeur accordée aux rôles traditionnellement attribués aux femmes et soutenir les femmes en tant que contributeurs clés aux économies locales..

L'effet d'entraînement: les femmes aident les femmes

Au niveau des ménages et de la communauté, nous sensibilisons au rôle des femmes dans le processus de production, l'économie locale et dans la prise de décision. Grâce à des ateliers conçus pour enseigner la prise de décision conjointe au sein du ménage, ACS-PROSASUR aide les femmes à établir une coresponsabilité avec leur partenaire afin qu'elles aient plus de temps, mobilité et espace pour réaliser des activités agricoles sans être surchargé par leurs autres tâches quotidiennes.

Nous avons constaté que les femmes formées grâce à nos programmes partagent ensuite leurs connaissances avec leurs filles., voisins et amis, multipliant ainsi le message à travers leurs communautés. Les femmes deviennent les meilleures motivatrices pour les autres femmes qui cherchent à changer la dynamique de l’inégalité entre les sexes dans l’agriculture..

women's health meeting in Honduras — Les femmes se réunissent pour une réunion de santé communautaire dirigée par un membre du personnel de l'ACS-PROSASUR. Photo de Janey Fugate.

Soutenir les femmes en tant que chefs de famille

ACS-PROSASUR se concentre également sur les femmes chefs de famille, renforcer leurs capacités et leur appropriation en matière de génération de revenus et de production agricole et changer les perceptions des femmes en tant que leaders dans les communautés rurales.

Depuis le début du projet, nous avons soutenu 1,100 les femmes chefs de famille créent des plans de sécurité alimentaire et de nutrition pour leur foyer. Ces plans comprennent une assistance technique, installation de systèmes d'irrigation, et les fournitures et outils nécessaires pour établir des parcelles qui produisent des céréales de base et des produits à haute valeur nutritionnelle et commerciale.. Le projet a également soutenu les femmes qui ne possèdent pas leurs propres parcelles mais ont accès à des terres appartenant à un autre membre de la famille ou à la belle-famille pour leur donner une autonomie de production..

Des plans d'affaires agricoles ont été créés pour 1,750 maisons, 35 pour cent d’entre eux ayant des femmes comme chefs de famille. Ces plans ont contribué à établir 350 hectares d'irrigation.

De la même manière, nous élaborons des plans d’affaires non agricoles pour les ménages qui n’ont pas accès à la terre. Plus que 250 les foyers ont participé, et 50 pour cent d’entre eux sont dirigés par des femmes impliquées dans la production et dans des microentreprises qui rompent avec les rôles traditionnels.

Changer le récit

Dans mon 10 années de travail avec les femmes rurales, J'ai vu comment des facteurs tels que l'estime de soi et l'autonomie et des problèmes tels que la violence domestique alimentent les inégalités sociales et économiques.. Il est difficile de demander à une femme d’être une leader dans sa communauté quand sa voix est éclipsée à la maison..

Mais donner aux femmes et à leurs familles des outils pour améliorer leurs moyens de subsistance peut à la fois changer le discours sur le rôle des femmes dans la société et conduire à des familles et des communautés plus saines.. Quand le sens du but d’une femme s’éveille, nous commençons à voir un réel changement.

couple dans le couloir sec — Aider les ménages à atteindre la sécurité alimentaire est un objectif majeur pour ACS-PROSASUR’s travaux dans le corridor sec. Photo de Gabriel Rodriguez.

Yajaira Hernández est la conseillère en genre pour le projet Dry Corridor Alliance au Honduras.

San Salvador inaugure un centre de sensibilisation pour servir les jeunes vulnérables de la ville

novembre 7, 2019

Par Evelyne Rupert

3 lecture min.

Un nouveau centre de sensibilisation a ouvert ses portes au cœur du centre-ville de San Salvador, créer un espace sûr et une « résidence secondaire » pour les enfants et les jeunes de la ville.

Le Centre de sensibilisation Libertad, nommé pour son emplacement près de la Libertad Plaza du quartier historique de San Salvador, est le premier centre à ouvrir dans la capitale et le 169e à travers le pays créé avec le soutien du NOUS. Agence pour le développement international.

Représentants de l'USAID, le NOUS. Ambassade au Salvador, le ville de San Salvador et d'autres municipalités, avec les jeunes et leurs familles, couper le ruban du nouveau centre fin octobre, célébrer avec des spectacles de musique et de danse.

Le maire de San Salvador, Directeur de mission de l'USAID au Salvador, et aux États-Unis. l'ambassadeur visite le laboratoire informatique du Outreach Centre. — Ernesto Muyshondt, maire de San Salvador, David Gosney, directeur de la mission de l'USAID au Salvador, et le. L'ambassadeur Ronald Johnson visite le laboratoire informatique du Outreach Centre.

« Grâce au Centre de sensibilisation Libertad, nous contribuons à la prévention de la violence et influençons positivement la vie des nombreux jeunes qui bénéficieront de cet espace," a déclaré le maire de San Salvador, Ernesto Muyshondt, lors de l'inauguration..

Les centres de sensibilisation servent d'espace sûr permettant aux jeunes de passer du temps libre de manière productive et offrent un soutien et des opportunités, notamment du tutorat., cours d'informatique, ateliers d'établissement d'objectifs, cours de musique, bénévolat et bien plus encore. Le Centre de sensibilisation Libertad devrait servir 2,000 jeunes chaque mois.

« Nous savons que de nombreuses familles salvadoriennes sont confrontées à des difficultés économiques et à l'insécurité.,", ont déclaré les États-Unis. L'ambassadeur au Salvador Ronald Johnson lors de l'inauguration. « Nous devons offrir aux jeunes des alternatives concrètes et apporter une réponse aux besoins des communautés., offrir un meilleur accès à l’éducation, emplois, activités culturelles, des sports et des espaces publics plus sûrs.

Les centres de sensibilisation ont joué un rôle majeur dans les programmes financés par l'USAID. Projet de prévention du crime et de la violence, qui a travaillé avec 55 municipalités du Salvador sur des solutions pour renforcer la résilience dans les communautés vulnérables. Le Centre de sensibilisation Libertad devrait être le dernier centre ouvert dans le cadre du projet, qui a commencé en 2013.

Le centre de sensibilisation Libertad de trois étages comprend un laboratoire informatique, studio d'enregistrement et salle de musique, aire de jeux et salles de classe. Le centre a été développé avec $88,000 du Projet de prévention du crime et de la violence et un $70,000 investissement de la municipalité de San Salvador.

Tous les services destinés aux enfants et aux jeunes sont fournis gratuitement, mais le centre financera ses opérations et sa programmation en partie grâce à un café attenant ouvert au public et grâce à des alliances avec le secteur privé et les institutions gouvernementales..

Un réseau d'espaces sécurisés

Le modèle du Outreach Center a débuté dans le cadre d'un précédent projet de l'USAID., Alliance régionale de la jeunesse, qui s'est déroulé au Salvador depuis 2008 à 2013 et a établi le premier 41 Centres de sensibilisation. Le reste 128 Des centres de sensibilisation ont été créés dans le cadre du projet de prévention du crime et de la violence et ont bénéficié à plus de 39,500 personnes à ce jour.

L’inauguration du premier centre de sensibilisation de San Salvador constitue également une autre étape importante dans un effort de collaboration plus vaste visant à revitaliser et restaurer le centre historique de San Salvador., qui a été en proie à des niveaux élevés de criminalité et de violence. Le Projet de prévention du crime et de la violence a soutenu le restauration des espaces publics et travaillé pour faire en sorte que les résidents se sentent plus en sécurité dans leurs propres communautés.

Un groupe de garçons joue à un jeu vidéo de football au nouveau centre de sensibilisation. — Les enfants profitent d'un coin jeux au Libertad Outreach Centre avec l'un des centres’les coordinateurs.

Le projet de prévention du crime et de la violence fait évoluer le fonctionnement des centres de sensibilisation, ainsi que d'autres outils de prévention de la violence, à leurs municipalités respectives pour assurer la durabilité.

Les centres de sensibilisation sont dotés de coordinateurs mais s'appuient fortement sur de jeunes bénévoles pour soutenir le large éventail d'activités et servir de modèles aux jeunes enfants..

Esther Ramírez, l'un des quatre coordinateurs du Centre de sensibilisation Libertad, a dit qu'en raison de sa propre éducation dans le centre de San Salvador, elle reconnaît les défis et les opportunités dont les jeunes ont besoin pour apprendre et développer des compétences qui leur seront utiles tout au long de leur vie..

« Le Centre de sensibilisation Libertad sera un lieu d'espoir pour tous les enfants et jeunes afin qu'ils puissent grandir, apprendre à servir, fixer des objectifs pour leur vie, et donner et recevoir de l'amour," dit-elle.

Healthy homes and harvests for families in Honduras’ Dry Corridor

octobre 8, 2019

5 lecture min.

Par Jillian Slutzker

The yuca plants are nearly ready to harvest in José Belberto Varela’s small garden outside his home in the San José community of Concepción de María in southern Honduras. It’s a simple but important milestone for Varela’s family of six and just one of many changes they’re seeing this season.

Nestled in Honduras’ Dry Corridor, a region known for severe droughts and resulting food insecurity, the Varela family has struggled to access clean water and to grow crops. And like many in this region where more than 90 percent of people live below the poverty line, the Varelas’ home lacked some of the basic amenities needed to keep their four children, all under age 11, en bonne santé.

Jose Valera displays his new clean cook stove, which the family received through ACS-PROSASUR support. Photos by Amalia San Martin.

But that was before the family started growing new crops for consumption and sale, raising chickens for eggs and meat and benefiting from household improvements. En bref, it was before the Varela family began participating in the ACS-PROSASUR project, qui fonctionne dans 12 municipalities in the southern departments of Choluteca and El Paraíso to improve livelihoods and build resiliency for 6,000 poor and extreme poor families.

“I feel grateful because thank God I now have better conditions for my children. I never imagined that one day I would get help, that I would benefit from ACS-PROSASUR and that one day my house would change completely,” says José Belberto Varela.

The project has two main components: Food Production and Income Generation to boost resiliency for smallholder farmers; and Nutrition Education and Household Hygiene to combat chronic malnutrition in children under 2 and in pregnant women.

The Varelas are one of 1,000 families in the region benefiting from both. Families qualify for both components if they fall below the poverty or extreme poverty line, as well as having children younger than age 2 or a pregnant woman in the household. Aussi, they must own a plot of land at least 500 mètres carrés.

ACS-PROSASUR is implemented byAssociés créatifs internationaux en partenariat avec le Honduras Strategic Investment Office, INVESTIR-H, et reçoit des fonds de la Banque mondiale par le biais duProgramme mondial pour l'agriculture et la sécurité alimentaire. C'est un morceau du plus grandAlliance des corridors secs, which aims to lift 50,000 families out of extreme poverty and reduce under-nutrition by 20 percent in target communities.

A healthier home inside

A couple hours’ drive away from the Varela home, in the rural community of Chagüiton, Namasigüe, Nuris Amparo Pastrana details just a few of the improvements she’s received through the project from the floor she stands on to the air she breathes.

Nuris Amparo Pastrana stands in her home in Chagüiton, Namasigüe. À travers le projet, her home received a clean stove, new cement floors, a filter for clean water, and a latrine.

“There," dit-elle, pointing a finger above her new clean cookstove. “You can see how the smoke from the old stove stained the wall.”

In addition to the new clean stove, Pastrana, her husband and their daughters ages 7 et 1 received a latrine, an eco-filter for their water and a cement floor to replace their dirt one. By breathing cleaner air when they cook, using the latrine and no longer sitting and walking on dirt, the family is far less vulnerable to stomach diseases and diarrhea, major causes of childhood malnutrition in the region.

À travers le projet, the Varela family also received an eco-filter, a clean stove, a latrine and cement floor.

In addition to these improvements, each participating family works with project counselors to develop health and hygiene plans and nutrition plans for diversifying their diets with nutritious foods and keeping family members, especially young children, disease-free and healthy.

Growing for nutrition and resilience outside

For qualifying families, ACS-PROSASUR provides support not only inside homes but also outside in gardens and fields. Through assistance establishing small garden plots, accessing seeds to grow a variety of hearty, nutritious crops, and constructing water harvesting systems to weather drought, these families build resilience to food insecurity and expand their opportunities for income.

Carlos Ruiz, Chief of Party for ACS-PROSASUR, explains that this two-pronged approach provides families with wraparound support that can substantially change health and economic outcomes.

“A place that has the benefits provided by both components is guaranteed holistic wellbeing, greater productivity of food for the family because of appropriate agricultural techniques and will live in healthier environments," dit-il.

Families work with project counselors to establish food security and nutrition plans as well as agricultural or non-agricultural business plans and gain the skills and knowledge to grow nutritious crops in garden plots.

The Pastrana family planted new crops this season with support from ACS-PROSASUR.

In Field Schools set up by the project in each community, participants learn and practice agriculture techniques they can use at home, and families can access healthy plants from a community garden. These are also used as sites for community health monitors to track children’s growth for signs of malnutrition.

« First of all, they gave me technical assistance to plant the garden, where I now have yuca and from which I harvested corn and sweet potato,” says Varela, who also received a rooster, six hens and a chicken coop.

The Pastrana family has established a small, raised vegetable garden where they grow corn, beans and sweet potato that will help them boost their nutrition. With a new rainwater harvesting system provided by the project, they can ensure their plants are watered and growing, even in the dry season.

Une transformation durable

As the Varela and Pastrana families begin to see the results of all these changes – yuca plants, eau propre, healthier kids, income from crops – the project is working to ensure that participants and other families in the region have access to information to live healthier lives and achieve more economic stability.

A new radio program called “Vivir en el Campo» (“Living in the Countryside”) is dispatched every Saturday morning with segments on nutrition, healthy habits and farming techniques. And in Field Schools, community members can learn from their neighbors who have had hands-on training, and project field technicians who visit families can gain a better understanding of the context.

When ACS-PROSASUR comes to an end in 2021, the project aims to leave families with the tools, skills and knowledge to continue to thrive. The project is working with local governments to incorporate health and economic support activities into municipal development plans and to link vulnerable families to other municipal and international programs.

“First and foremost, it is important that families achieve nutritional and economic stability that allows for sustainable livelihoods where they currently live,” says Ruiz. “I truly believe that these sustainable strategies will ensure the continuation of the project’s achievements.”

With reporting by Amalia San Martin

Portable parks promote community in El Salvador

septembre 16, 2019

3 lecture min.

Par Ashley Williams

What is the size of two parking spots, can seat a group of friends and has the power to prevent crime and violence?

"P.arklets» — knownlocallycommeCuscatlánitos after the San Salvador park Cuscatlán — are vibrant public spaces that provide communities a meeting point. Though they are simple, cessmall parks are poised to make a powerful impact on strengthening vulnerable communities au Salvador.

In their most basic form, they are slightly raised platforms with three low walls, but each one can be customized to meet the needs of the community. Some become classrooms, some are places for entrepreneurs to sell their goods and others become places to make art.

Cesnew public spaces are supported by the USAID-funded Projet de prévention du crime et de la violence, lequelImproviseres the ability of communities, municipalities and national institutions toprévenirviolent crime. El Salvador has one of the highest homicide rates in the world and has seen an uptick in reported robberies, assaults, rapes and missing persons cases in recent years.

A group of kids drawing on pieces of paper. — A group of kids turn a parklet into their own art studio. Photo de Gerson Lara.

The new parklets will live in the Tutunichapa, Atonal, La Asuncion and Santa Fe/La Paz communities, lequel surround Cuscatlán Park in the historic center of San Salvador. The parkletsare part of a larger effort to makecommunity members feel safe in and around their communities.

TOTEM, unNew York–based urban development and design firm, designed theparklets as a system of interconnected spaces between Cuscatlán Park and surrounding communities by creating hyper-local and modular public spaces to foster community cohesion through entrepreneurship and participatory"place making.»

TOTEMPrincipal J. Manuel Mansylla says that while some of these communities are stigmatized and alienated, ilsare entrepreneurial and can thrive with the right support and platform, such as these parklets.

“During the dry season, when the demand to spend time outdoors increases, parklets may temporarily replace a few parking spots with neighborhood gathering places perfect for eating, en lisant, fonctionnement, meeting a friend or taking a rest,» dit-il."In San Salvador we added a new twist by using them as platforms to promote community members’ creative talents and ideas.»

TOTEM inaugurated thenew public spaces with a pop-up market, called Festitlsurn, in the parking lot of the Cuscatlán Market. The design firm coordinated with localNGOs and government to develop this urban festival, which promoted the idea of building a city of “beautiful things” and showcased ways the city could be transformed through safe, dynamic public spaces.

Activities included workshops on urban gardening, dance and music shows by local artists, a participative mural, a community culinary market and more. For community members, these parks provide a renewed energy and a much-needed safe space to hang out.

"Thank you very much for taking us into account to be part of the Cuscatlánitos, said 19-year-old Nubia Velasco, from La Asunción, while enjoying her newCuscatlanito. "Nous think it is a very cool way to spend time outside our homes, doing activities like these, celebrating and having fun.«

Les données sur les facteurs qui motivent la migration en Amérique centrale 5 faits rapides

septembre 9, 2019

3 lecture min.

Par Jillian Slutzker

Qu’est-ce qui pousse les habitants du Triangle du Nord de l’Amérique centrale à entreprendre le voyage risqué vers les États-Unis et ailleurs ??

Basé sur une exploration approfondie des données et 2,400 entretiens en personne, Étude récemment publiée par Creative, "Prendre de l'avance: Pourquoi les migrants risquent tout,» fournit un aperçu nuancé des facteurs localisés qui influencent la décision de migrer.. Il se concentre sur le 60 municipalités du Salvador, Le Honduras et le Guatemala représentent plus de la moitié de la migration irrégulière de la région.

Le nom de l’étude, "Prendre de l'avance,» inspiré d'une phrase espagnole qui évoque un sentiment de résilience et un désir d'avancer dans la vie, était un sentiment partagé par de nombreux 2,400 personnes interrogées dans le cadre de cette recherche.

Avec ces données au niveau local, les programmes de développement peuvent s’attaquer plus efficacement aux déterminants spécifiques qui déterminent la décision d’une personne de prendre des risques., même dangereux, voyage vers le nord.

Obtenez cinq faits rapides de l’étude ci-dessous! Pour en savoir plus, visite https://www.saliendo-adelante.com/.

1. Qui a l'intention de migrer?

Au niveau national, L’étude de Creative a révélé que 33 pour cent des Honduriens ont l’intention de migrer, tandis que 24 pour cent des Salvadoriens ont l'intention de, suivi par 18 pour cent des Guatémaltèques. La majorité de ces migrants viennent seulement de 60 communes du Triangle du Nord.

2. L’économie est le principal moteur

Dans l'ensemble, les préoccupations économiques sont de loin le facteur déterminant le plus important pour les migrants du Triangle du Nord. L'étude a montré que les préoccupations économiques, notamment le chômage, revenus du ménage inférieurs à $400 par mois et être incapable de joindre les deux bouts, et des perspectives économiques pessimistes – sont les principaux déterminants statistiquement significatifs pour 71 pourcentage de Guatémaltèques qui ont l'intention d'émigrer, 67 pour cent des Honduriens qui ont l’intention de le faire et 50 pour cent des Salvadoriens qui le font.

Ceux dont les ménages gagnent moins de $400 par mois et qui n'arrive pas à joindre les deux bouts sont 1.25 fois plus susceptibles d’envisager de migrer. Plus d'un tiers des répondants à l'enquête ont déclaré les revenus de leur ménage dans le cadre de la $400 ligne et ont dit qu'ils ne pouvaient pas joindre les deux bouts.

3. Être victime vous rend 1.5 plus susceptible de migrer

Au niveau régional, avoir été victime d'un crime ou avoir un membre de votre famille ou un proche qui a été victime d'un crime constitue un individu 1.5 fois plus susceptibles d’envisager de migrer.

Près d'un tiers des personnes interrogées ayant envisagé de migrer du Honduras ont vu un membre de leur famille ou un ami proche assassiné.. Les jeunes ont tendance à être encore plus touchés par la victimisation dans leur décision de migrer. Au Salvador, 1 dans 4 jeunes femmes âgées 18 à 29 qui a l'intention de migrer a vu un membre de sa famille ou un ami proche assassiné. Au Honduras, 65 pour cent des jeunes hommes qui ont l'intention d'émigrer ont été volés dans la rue.

4. Plus que 1/3 des jeunes du Triangle du Nord envisagent de migrer

Dans les trois pays, en moyenne 36.7 pour cent des jeunes ont l’intention de migrer.

En fait, répondants 18 à 29 ans sont deux fois plus susceptibles d'envisager de migrer que les adultes âgés 30 et plus vieux. Les données du Honduras sont particulièrement frappantes: 46 pourcentage de jeunes des municipalités interrogées ont l'intention d'émigrer, par rapport à 28 pourcentage de personnes âgées.

Les jeunes sont exposés à des facteurs à des rythmes différents de ceux des adultes, et dans certains cas, réagir différemment à ces facteurs. Selon l'enquête, Les jeunes femmes honduriennes ont davantage l’intention d’émigrer que les jeunes hommes. Ce n’est pas le cas dans les autres pays où les jeunes hommes ont de plus grandes intentions de migrer..

5. Les retrouvailles avec des proches ne sont pas un grand attrait

Liens transnationaux – définis ici comme l’existence d’une famille aux États-Unis., réception des fonds, et migration antérieure vers les États-Unis. – est un facteur d’attraction dans l’équation migratoire, mais cela a beaucoup moins d'impact que l'économie et la victimisation. Seulement 3 pour cent des personnes interrogées ont cité le fait de retrouver des proches comme principale raison de vouloir émigrer.

Cependant, dans le contexte régional plus large, une culture de la migration a été et continue d’être solidifiée au fil des générations. Près des deux tiers des personnes interrogées ont un parent vivant à l'étranger, avec 75 pour cent de ces proches ont vécu aux États-Unis. pour 10 années ou plus.

Pourtant, une analyse statistique montre que le simple fait d'avoir un membre de sa famille aux États-Unis. n’est pas un facteur de différenciation entre ceux qui ont l’intention de migrer et ceux qui ne le font pas, malgré le grand nombre de personnes ayant déclaré des liens familiaux.

Pour en savoir plus sur l'étude, explorez les données et écoutez les histoires des migrants, visite: https://www.saliendo-adelante.com/