Les nominés au Panama Award sont des héros pour la jeunesse

novembre 17, 2014

3 lecture min.

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Les nominés au Panama Award sont des héros pour la jeunesse

Par Jennifer Brookland

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Trois directeurs de centres de sensibilisation pour la jeunesse et un leader bénévole national ont été nominés pour le prix « Héros pour le Panama », que l'une des plus grandes chaînes de télévision du pays décerne chaque année.

Les Panaméens voteront en ligne pour déterminer si les candidats sont Carolina Freire, Eduardo Barcelone, Edelgar Macre et Frey Javier Garcia remporteront le prix ultime : une récompense en espèces qu'ils pourront consacrer à leur travail bénévole..

Le gagnant sera annoncé en novembre. 25.

Les quatre nominés étaient partenaires du projet Alcance Positivo de Creative Associates International., qui a continué à améliorer la vie des jeunes grâce au soutien profond du secteur privé et de la société civile. Le rôle de Creative a pris fin en octobre 2013.

Dans 24 de décembre, l'un des quartiers les plus pauvres de Panama City, Par exemple, Barsallo lutte contre les dysfonctionnements, familles incomplètes et taux élevés d'abandon scolaire et de criminalité avec tutorat, formation professionnelle et ligues sportives.

Son centre de sensibilisation pour la jeunesse a bénéficié à plus de 500 des jeunes âgés 12 à 29, qui apprennent à utiliser et à réparer des ordinateurs, gagner de l'argent grâce à une entreprise d'enseignes et de garderie, recevoir des conseils, étudiez l'anglais et pratiquez même vos talents de barbier sur une chaise du Père Noël.

Ne se contente pas du changement local, le Fondation Aider à Vivre Barsallo œuvre à l'échelle nationale pour unir les secteurs privé et à but non lucratif afin d'offrir des opportunités aux jeunes de tout le Panama..

«Je suis passionné par ce projet parce que je crois qu'il faut donner des opportunités aux jeunes, et surtout, à ceux qui courent un risque social," Barsallo dit.

Son centre de sensibilisation pour la jeunesse compte parmi plus de 20 créé ou soutenu par Creative pour lutter contre la criminalité et la violence croissantes chez les jeunes au Panama.

Le modèle de Creative a fait ses preuves dans toute l’Amérique centrale, où 201 Les centres de sensibilisation offrent désormais des opportunités de socialiser et de renforcer la confiance à travers des jeux et des sports., améliorer les résultats scolaires et les compétences de vie des jeunes grâce au tutorat et au mentorat, et acquérir des compétences professionnelles commercialisables.

"Et ainsi, ensemble, nous progressons petit à petit et créons une société beaucoup plus juste et inclusive,", déclare Garcia, nominé pour le prix., qui dirige un centre de sensibilisation pour les jeunes et une école paroissiale pour 650 étudiants à travers la ville dans la « zone rouge » d’El Chorillo.

Garcia dit que l'une de ses plus grandes joies est que quelqu'un vienne lui dire qu'un cours qu'il a suivi à l'école ou au centre lui a permis de gagner sa vie., et nourrir sa famille.

Ces efforts locaux commencent à se fédérer au Panama, comme fondations, les organisations à but non lucratif et les entreprises se réunissent au sein d'associations et de réseaux construits pour encourager et faciliter le volontariat et l'action sociale..

Freire a créé le centre national de volontariat au Panama et, avec le soutien de Creative,Pont à Algo, la première plateforme virtuelle qui connecte les gens avec 140 les organisations sociales qui pourraient avoir besoin de leur aide.

Elle estime que le volontariat est une mission personnelle et sociale et une condition nécessaire pour transformer la société.. Mais c'est quand même agréable d'être remarqué.

« Les bénévoles sont des gens qui n'attendent pas, ils passent à l'action, ils décident de transformer des vies et des communautés, et nous acceptons et nous sommes très heureux de cette nomination de Héros et la considérons vraiment comme une reconnaissance de ces personnes qui s'activent pour créer un Panama meilleur.," Freire dit.

Si vous demandez à ces héros, ces efforts font vraiment une différence.

« Nous avons réussi à changer la vie des enfants," dit Edelgar Macre, Directeur exécutif d'un centre de sensibilisation pour les jeunes à Colon.

Son message aux jeunes: Là sont opportunités.

Le centre Macre utilise le jujitsu comme outil pédagogique pour aider les jeunes à trouver la discipline, respect et paix intérieure. Entraîneur de l'équipe nationale de jujitsu du Panama, il a même amené plusieurs de ses élèves à des compétitions internationales, où ils ont remporté la médaille d'or..

"Je ne me sens pas comme un héros, parce que je ne suis pas seul dans ce combat," Macre dit de sa nomination au prix.

Il pourra néanmoins être reconnu à un moment, quand le vainqueur du Héros pour le Panama les prix sont annoncés en novembre. 25.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Étude: La prévention du crime en Amérique centrale fonctionne

novembre 5, 2014

5 lecture min.

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Étude: La prévention du crime en Amérique centrale fonctionne

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]

Les programmes communautaires de prévention de la criminalité et de la violence réussissent à améliorer la sécurité dans les quartiers à risque d'Amérique centrale, selon un nouveau étude par l'Université Vanderbilt Projet d'opinion publique latino-américaine.

L'étude de trois ans, qui a évalué les attitudes des citoyens, perceptions et comportements entourant la criminalité et la violence dans leurs communautés après des années d'activités intensives de prévention communautaire, trouvé que 51% moins de résidents ont déclaré être au courant des meurtres, extorsion ou chantage.

Commandé par les États-Unis. Agence pour le développement international, l'étude a rapporté que 35% moins de résidents ont déclaré éviter les zones dangereuses par peur de la criminalité, 25% moins de résidents ont déclaré être au courant de la vente de drogues illégales et 14% moins de résidents percevaient les jeunes membres de gangs comme un problème.

Endiguer la criminalité dans une région avec le taux de meurtres les plus élevés au monde et les quartiers en proie au nacro-trafic et à la violence des gangs sont une condition préalable à la réalisation d'une croissance durable à long terme.

« Nous ne pouvons pas réussir en tant qu’agence de développement si nous ne contribuons pas également à réduire la criminalité et la violence.," a déclaré Mark Feierstein, Administrateur associé pour l'USAID, parlant lors d'un mois d'octobre 30 événement au Wilson Center pour discuter des résultats de l’étude. « Qu'est-ce que c'est [étude] Le montre, c’est que la prévention fonctionne effectivement… Ce que nous devons faire maintenant, c’est intensifier et étendre cela.

Mise à l'échelle et à l'échelle, cependant, nécessite un soutien accru – politique et monétaire – de la part des États-Unis. gouvernement, autres donateurs et gouvernements d’Amérique centrale.

Guillermo Céspedes, Conseiller en prévention du crime et de la violence chez Creative Associates International, affirme que les résultats prometteurs de l’étude ne devraient servir qu’à renforcer le soutien aux programmes de prévention.

« Cette étude nous donne en fait des outils pour développer davantage de volonté politique," dit Céspedes, qui est le ancien maire adjoint de Los Angeles pour la prévention des gangs et de la violence. « Je ne suis pas sûr qu’il serait logique qu’un élu s’attaque à un problème auquel aucune solution n’est attachée.. Je pense donc que cette étude est extrêmement importante pour le dévoiler… en examinant réellement les ingrédients qui font le succès des programmes plutôt que l’étiquette d’un programme.

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Les jeunes et la communauté au cœur de la prévention

Sur la période d'étude, Les interventions communautaires financées par l'USAID ont déployé un ensemble complet d'activités de prévention du crime et de la violence..

« Ce n’était pas un seul médicament. Il s'agissait d'un modèle de santé publique reconnaissant que le problème de la criminalité et de la violence est complexe et nécessite un traitement à multiples facettes.,", a déclaré Mitch A.. Seligson, Fondateur et conseiller principal du projet Opinion publique d'Amérique latine.

Les initiatives de prévention dans les communautés touchées par la criminalité comprenaient la création de comités municipaux de prévention du crime, améliorer l'éclairage public et créer des centres de sensibilisation pour les jeunes qui offrent un lieu de loisirs sûr aux jeunes à risque, mentorat, et une formation professionnelle au lieu de s'engager dans des activités de gangs ou dans la violence dans les rues.

Le modèle de centre de proximité a été lancé par Creative en 2006 au Guatemala et a depuis fourni aux jeunes des communautés à risque partout dans le monde Le sauveur, Honduras, Guatemala et Panama avec des espaces sûrs et des programmes qui abordent les facteurs qui rendent les jeunes vulnérables à la violence. Creative a lancé 201 centres de sensibilisation dans la région.

Cité dans l'étude, un coordinateur de centre de sensibilisation pour Creative's Alliance de la jeunesse du Honduras Le programme a noté l'effet des centres de sensibilisation pour sortir les enfants de la rue., où se produit la violence, et, ce faisant, améliorer la perception de la sécurité des membres de la communauté..

« Dans les centres de sensibilisation… tous ces enfants, ils sont dans la rue depuis un bon moment, et dernièrement, à 2 après midi. quand nous ouvrons nos portes, ils attendent à la porte,» a déclaré le coordinateur. "….Avant, ils étaient dans la rue, et ils sautaient sur les voitures et faisaient des choses violentes… Maintenant, ils viennent ici, et c'est leur lieu de divertissement.

L'étude a révélé que la méthodologie des centres de proximité, ainsi que des activités de prévention secondaire centrées sur la famille qui visent à changer le comportement des jeunes à risque, et initiatives communautaires en partenariat avec les autorités religieuses, administrateurs scolaires et dirigeants communautaires, constituent des approches efficaces en matière de prévention du crime et des alternatives intelligentes au modèle « enfermez-les » des années précédentes..

« Nous pensons que la prévention du crime relève du système de justice pénale., et nous disposons de nombreux autres leviers," a déclaré Roseanna Ander, Directeur exécutif fondateur du Crime Lab de l'Université de Chicago, qui a parlé lors de l’événement sur les résultats de l’étude.

Le pouvoir des perceptions de sécurité

L'étude, qui a analysé les entretiens avec 44 groupes de discussion et plus de 29,000 répondants, y compris les enseignants, policiers, jeunes et dirigeants communautaires, comparé 65 communautés de traitement pour 62 communautés témoins dans un essai contrôlé randomisé à travers le Salvador, Guatemala, Honduras, et Panama.

En évaluant la perception et les comportements plutôt que de se fier uniquement aux rapports de police, les chercheurs ont pu recueillir une lecture plus précise des changements dans la vie quotidienne et du sentiment de sécurité des citoyens..

« Le signalement d'un crime est inversement proportionnel au nombre de crimes commis.," a expliqué Seligson.

Au Honduras, qui a le taux de meurtres le plus élevé au monde et des niveaux de criminalité violente en forte hausse, Par exemple, moins d'un cinquième des répondants à l'enquête étaient disposés à signaler un crime par crainte de représailles, entre autres raisons. Au Panama, d'autre part, les niveaux de criminalité sont plus faibles, mais les victimes étaient plus disposées à se manifester.

« Nous voulons plus que ce que la police peut nous donner," a déclaré Seligson. "C'est, l’enregistrement d’un cambriolage ou d’un vol ne nous dit pas tout ce que nous devons savoir. [Dans cette étude] nous avons beaucoup plus d’informations sur les craintes des gens à l’idée de se promener dans leur quartier. Nous ne pouvons pas extraire cela d’un rapport de police.

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Prévenir maintenant ou payer le prix plus tard

Investir aujourd’hui dans la prévention de la criminalité et de la violence constitue une alternative rentable au lieu de faire face aux conséquences de laisser les communautés d’Amérique centrale s’attaquer seules à ces problèmes., les auteurs de l’étude ont noté.

Au cours de l'exercice 2014, 68,541 enfants non accompagnés d'Amérique centrale ont immigré aux États-Unis. et ont été appréhendés à la frontière, selon les États-Unis. Douanes et protection des frontières.

Pour beaucoup de ces enfants, risquer seul le dangereux voyage vers les États-Unis. dans l'espoir d'un monde plus sûr, un avenir meilleur représentait leur seule chance d’échapper aux menaces ciblées de violence et de pauvreté dans leur pays.

Centres de sensibilisation des jeunes de Creative, ainsi qu’un ensemble complet d’activités de prévention communautaires, fait pencher la balance afin que les jeunes puissent rester dans leurs communautés tout en ayant des opportunités de croissance, apprendre et s'épanouir dans un environnement sûr.

La prévention a bien sûr un coût, Feierstein dit, mais il dit que ça coûte plus cher de ne pas le faire.

« Nous constatons l’impact sur les économies et simplement sur le tissu social en Amérique centrale.. Nous constatons l’impact de l’immigration…," il a dit. « Nous pouvons soit réaliser des investissements très relativement modestes dans ces régions, ou nous pouvons dépenser beaucoup plus d’argent de notre côté de la frontière pour nous occuper des enfants qui viennent ici.

Dans ses recommandations politiques finales, l’étude soutient l’évaluation de Feierstein. Sa première recommandation audacieuse se lit comme suit, « Faire des programmes communautaires de prévention de la violence une arme de première ligne pour réduire la criminalité et la violence. »[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Nouveaux centres pour les jeunes au Salvador

novembre 5, 2014

4 lecture min.

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Nouveaux centres pour les jeunes au Salvador

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Avec l'inauguration de 72 de nouveaux centres d'aide aux jeunes à 13 municipalités du Salvador, les jeunes vivant dans bon nombre des communautés les plus touchées par la criminalité auront désormais accès à un espace de loisirs sûr, ainsi que des opportunités de croissance personnelle et professionnelle.

Avec le soutien des États-Unis. Agence pour le développement international, Creative Associates International a ouvert les nouveaux centres au cours des trois derniers mois, ce qui porte le nombre total de centres de proximité au Salvador à 113 – et cinq autres devraient ouvrir d'ici la fin de l'année. 2014. Dans toute l'Amérique centrale, il y a 201 centres de proximité.

« Ces centres de proximité feront une différence," a déclaré Harold Sibaja, qui dirige Creative's Projet de prévention du crime et de la violence au Salvador, lors de l'ouverture du Centre de sensibilisation Estanzuela dans la municipalité de Quezaltepeque en septembre 8. «Plusieurs fois, nos jeunes sont perdus dans la violence à cause du manque d'opportunités, un manque d'endroit où être en sécurité ou un manque de direction. Le centre de sensibilisation est l’endroit où vous avez tout cela et bien plus encore.

Le modèle du centre de sensibilisation a été lancé par Creative en 2006 au Guatemala et a depuis fourni aux jeunes des communautés à risque partout au Salvador, Honduras, Le Guatemala et le Panama disposent d'espaces sûrs et de programmes qui s'attaquent aux facteurs qui rendent les jeunes vulnérables à la violence..

Le 72 nouveaux centres de sensibilisation, qui devraient bénéficier à plus de 25,000 jeunesse, font partie du programme financé par l'USAID Projet de prévention du crime et de la violence au Salvador. Le projet quinquennal vise à renforcer la capacité des communautés, municipalités et institutions nationales pour lutter contre les crimes violents.

Les organisateurs et les autorités locales signalent une baisse de la criminalité à proximité des centres de sensibilisation.[/vc_column_text][vc_column_text]

Niveaux épidémiques d'homicides

Avec un taux d'homicides de 41.2 par 100,000 habitants dans 2013, Le Salvador est l'un des pays les plus dangereux au monde, selon l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime.

Au cours des neuf premiers mois de 2014, le taux de meurtres moyenné 66.6 par 100,000 habitants, et le nombre total d'homicides pour 2014 devrait dépasser le total de l’année dernière de plus de 1,000. En mai de cette année, les taux de meurtres ont atteint plus du double tarifs en mai de l'année précédente.

Les jeunes sont à la fois victimes et auteurs de ces actes de violence.

NOUS. Mari Carmen Aponte, ambassadrice au Salvador, s'exprimant lors d'une inauguration dans la municipalité d'Usulután en septembre 5, reconnu le rôle vital des centres de proximité dans la communauté.

"Aujourd'hui’s les enfants et les jeunes disposent désormais d’un endroit sûr où ils peuvent étudier, amusez-vous, acquérir de nouvelles compétences et de nouvelles valeurs,« les États-Unis. L'ambassadeur a déclaré au Centre de sensibilisation El Calvario. « Les parents n’auront plus à se soucier de l’endroit où se trouvent leurs enfants, parce que maintenant ils seront dans les centres de proximité.

Pour assurer leur pérennité à long terme, Créatifs 72 de nouveaux centres ont été conçus et lancés en collaboration avec des organisations communautaires, organisations confessionnelles et gouvernements municipaux.

«J'ai toujours pensé que la porte du développement des municipalités était l'éducation, et aujourd'hui est le jour où nous ouvrons cette porte de l'apprentissage, parce que c'est notre responsabilité de maires : ouvrir la voie aux jeunes,» dit Jésus Médine, Maire de la commune de Conchagua, s'exprimant lors de l'ouverture du Centre de sensibilisation de Conchagua en août 28.

Aller au-delà de la jeunesse, les centres de proximité apporteront des opportunités positives et une réduction de la violence à la communauté dans son ensemble. La méthodologie des centres de sensibilisation de Creative place les coordinateurs communautaires et les bénévoles dans des rôles de leadership pour soutenir et maintenir les activités du centre..

« Le centre de sensibilisation est un cadeau pour cette communauté,» dit Edenilson Flores, Coordinateur du Centre de sensibilisation Azacualpa de la municipalité d'Ilobasco. "C'est un cadeau que nous devons tous garder, utiliser et entretenir.

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Soutien du secteur privé

Le secteur privé joue également un rôle de premier plan dans le développement et l'équipement des nouveaux centres..

Dans un $2.8 millions d'alliance avec le projet, Microsoft Corp.. a équipé des centres à travers le Salvador avec des applications logicielles éducatives, y compris le bureau 365, Mathématiques Microsoft 4.0 et Microsoft Worldwide Telescope pour 800 ordinateurs.

L'entreprise offrira également une formation à plus de 130 coordinateurs informatiques sur la plateforme et autres programmes accessibles aux bénéficiaires via le Cloud.

Pour les entreprises locales, le soutien aux centres de proximité fait partie d'une stratégie d'entreprise plus vaste visant à contribuer à l'effort national de lutte contre la violence.

La société de télécommunications Claro El Salvador fournira un service Internet à tous 72 de nouveaux centres de sensibilisation ainsi que 200 des emplois pour les jeunes des communautés vulnérables

Dans la municipalité d’Acajutla, la société d'entreposage Almacenadora del Pacífico (ALMAPAC) a contribué $40,000 acheter des ordinateurs dans deux centres de proximité, citant l’importance d’équiper les espaces pour offrir une alternative à la violence aux enfants et aux jeunes. Le personnel de l’entreprise est bénévole dans les centres.

Dans la municipalité de Soyapango, le groupe AGRISAL, à travers son World Plaza Mall, contribué $20,000 à un nouveau centre de proximité dans la communauté de Río Las Cañas pour acheter du matériel informatique et fournir du matériel de formation et des chemises aux bénéficiaires de plusieurs communautés pour les deux prochaines années.

Avec l'investissement du secteur privé, soutien des dirigeants municipaux et engagement des groupes de la société civile locale et des membres de la communauté, le 72 les nouveaux centres de sensibilisation sont construits sur des bases solides pour soutenir les jeunes salvadoriens des communautés à risque en leur offrant des opportunités positives de croissance et de développement..

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Alianza Joven Honduras kick it with professional U.S. soccer team

octobre 22, 2014

1 lecture min.

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Alianza Joven Honduras kick it with professional U.S. soccer team

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text][/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Un nouveau programme pour améliorer les moyens de subsistance des Tibétains de Chine

octobre 20, 2014

3 lecture min.

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Un nouveau programme pour améliorer les moyens de subsistance des Tibétains de Chine

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Octobre. 20, 2014 – Un nouveau programme soutiendra les efforts visant à améliorer les moyens de subsistance durables jusqu'à 18,000 Tibétains de souche dans la province chinoise du Sichuan, Creative Associates International a annoncé aujourd'hui. Se concentrer sur les communautés dans et autour de la capitale provinciale de Chengdu, le programme soutenu par les États-Unis perfectionnera les compétences entrepreneuriales des Tibétains de souche travaillant dans des domaines tels que l'écotourisme, ainsi que d'augmenter la productivité des éleveurs, artisans et chefs d'entreprise. Cela renforcera également la compétitivité des entreprises de souche tibétaine dans les marchés locaux., marchés régionaux et internationaux. Appelé « Projet de développement du marché du Sichuan » (auparavant Soutien aux Tibétains de souche en Chine),» le quinquennat, $7.5-programme d'un million de dollars financé par les États-Unis. L’Agence pour le développement international devrait atteindre 18,000 les Tibétains ethniques directement, tandis qu'indirectement plus de 70,000 verra des gains économiques. « Creative croit en une croissance économique inclusive qui élève tous les membres d'une communauté.,» dit M.. Charito Kruvant, PDG de Créatif. « Ce programme fournira aux Tibétains de souche les compétences et les connaissances nécessaires pour parvenir à des moyens de subsistance durables et récoltera également les bénéfices d’une économie de marché en évolution et en croissance. » Le développement économique de la région occidentale de la Chine ces dernières années a généré une croissance significative, mais a également présenté des défis aux pays traditionnels., Tibétains d'origine pastorale.

Combiner les connaissances locales avec l’expertise en matière de moyens de subsistance

L’équipe de mise en œuvre de Creative possède une vaste expérience en matière de croissance économique, moyens de subsistance et agriculture durables, ainsi que des relations solides avec le gouvernement chinois et la communauté ethnique tibétaine. L'équipe du programme comprend deux organisations partenaires locales: Machik, une organisation avec une expertise dans la promotion de l'entrepreneuriat en Chine occidentale; et SynTao Co., une société d'investissement chinoise qui met l'accent sur les investissements socialement responsables dans les entreprises appartenant à des Tibétains. Deux organisations internationales – Aide aux artisans et Plateau Perspectives – font partie de l’équipe de mise en œuvre de Creative. Enrichir l’expertise de ses partenaires, Creative a une expérience fiable dans la mise en œuvre de projets de subsistance dans des environnements difficiles, notamment au Yémen., Pakistan et Colombie. « La vaste expérience sur le terrain de Creative dans l’amélioration des chaînes de valeur dans les économies émergentes et les communautés touchées par la crise à l’échelle mondiale nous prépare bien à améliorer les moyens de subsistance des Tibétains de souche dans cette région.," dit Monty Palmer, Directeur du domaine de pratique Stabilisation économique et relance de Creative. « Nous sommes impatients de combiner notre expertise avec les connaissances et l’expérience locales de nos partenaires pour apporter des gains économiques aux communautés ethniques tibétaines traditionnelles. » Grâce à l'octroi de subventions et à la formation, le programme fournira une expertise technique et un renforcement des capacités à des organisations locales de confiance ayant une longue histoire de travail de subsistance dans les communautés ethniques tibétaines.

À propos de Creative Associates International

Creative Associates International travaille avec des communautés mal desservies en partageant son expertise et son expérience en matière d'éducation, croissance économique, gouvernance et transitions du conflit à la paix. Creative est la deuxième plus grande entreprise détenue par des femmes qui travaille avec les États-Unis.. gouvernement. Basé à Washington, D.C., Creative a des projets actifs dans plus de 15 pays. Depuis 1977, cela a fonctionné pendant presque 90 pays et sur presque tous les continents. Reconnu pour sa capacité à travailler rapidement, de manière flexible et efficace dans des environnements touchés par des conflits, Creative s'engage à générer des solutions durables à long terme à des problèmes de développement complexes.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

PANAMA: Outreach centers are oases for at-risk youth

septembre 27, 2014

2 lecture min.

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PANAMA:

Outreach Centers are an oasis for at-risk youth

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Despite Panama’s significant economic growth, pockets of poverty remain—and youth are the most vulnerable. Explore how communities have organized to provide at-risk youth with opportunities, while trying to stem the temptation of gang life, through Creative’s three-year Portée positive programme.

Among Alcance Positivo’s succès: It developed 22 youth Outreach Centers in five municipalities, which assisted nearly 10,000 âges de la jeunesse 12-29; and it provided direct funding to a 107 organizations benefitting more than 43,400 youth through violence prevention community projects, including training in life skills, entrepreneuriat, vocational training and other cultural activities to create a healthy alternative to engaging in criminal activity.[/vc_column_text][vc_séparateur][vc_row_inner][vc_column_inner largeur = »2/3″][vc_column_text]

PANAMA: WHAT’S GOOD FOR THE COMPANY IS GOOD FOR THE COMMUNITY

Panama City—There are two Panamas: the rich, and the poor. Most people here live parallel lives. But a growing number of companies are getting involved in their communities—and reaping the benefits as these worlds combine.

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PANAMA: YOUTH FIND SAFETY & OPPORTUNITY AT OUTREACH CENTERS

Kids in Panama don’t have it easy. Besides gangs, drugs and climbing violence they face a lack of opportunities for play and work. Creative’s Youth Outreach Centers provide a place where young people—even from opposing groups—can come to just be kids. They play games and sports, practice their computer and English skills, start small businesses and learn valuable skills for life. Watch how these centers are helping kids and communities in Panama City turn things around.

Regarder la vidéo[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_séparateur][vc_row_inner][vc_column_inner largeur = »2/3″][vc_column_text]

YOUTH FIGHT VIOLENCE CLOWNING AROUND IN PANAMA

Panama City – Dix étages plus haut, les enfants interrompent leur match de football pour jeter un coup d'œil par-dessus le toit sans balustrade d'un immeuble colossal bleu sarcelle. Un homme nu est visible depuis une fenêtre du quatrième étage. Derrière, une rivière sert de refuge aux toxicomanes, et un dépôt pour les membres des gangs d'armes qui sont jetés par les fenêtres lorsque la police arrive.

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[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner largeur = »2/3″][vc_column_text]

PANAMA’S “TWO WORLDS” COME TOGETHER FOR YOUTH

Panama City—The sleek executive offices of ENSA, one of Panama’s largest electric distribution companies, are a world apart from the seaside city of Colón, where rotting buildings and open sewage are the backdrop for joblessness, poverty and violent crime.

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FOR THE FIRST TIME, YOUTH IN PANAMA DREAM THEIR FUTURES

Panama City—Il y avait ici une ligne qu'on ne pouvait pas franchir, gardé par des hommes armés. Il séparait la zone du canal américain, avec sa verdure, de belles écoles et le YMCA – construits pour offrir aux travailleurs un « divertissement à caractère édifiant » – du reste de la ville de Panama.

Lire l'histoire complète[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner largeur = »1/3″][vc_column_text]

[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Pour la première fois, Les jeunes du Panama rêvent de leur avenir

septembre 27, 2014

7 lecture min.

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Pour la première fois, Les jeunes du Panama rêvent de leur avenir

Par Jennifer Brookland

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Panama City—Il y avait ici une ligne qu'on ne pouvait pas franchir, gardé par des hommes armés. Il séparait la zone du canal américain, avec sa verdure, de belles écoles et le YMCA – construits pour offrir aux travailleurs un « divertissement à caractère édifiant » – du reste de la ville de Panama.

La ligne est toujours là, même si personne ne le garde plus. Il sépare les rues chics où les « zonies » ont grandi en fréquentant des écoles de langue anglaise des quartiers sales et délabrés où il y a quelques années à peine, il était trop violent pour risquer de les traverser en voiture..

Le pasteur Ivan Richards a grandi dans ce quartier appelé Chorillo, dans une chambre individuelle qu'il partageait avec sa mère, grand-mère et sept frères. La majeure partie de la nourriture qu'il mangeait provenait des repas gratuits que la Croix-Rouge distribuait depuis son bâtiment de Rue E.

Appelez-la Calle E aujourd'hui et le pasteur Richards se mettra en colère. C'est "Avenida La Paz" maintenant, dit-il avec un sourire adoucissant des yeux complètement sérieux. Rue de la Paix. Si tout le monde l'appelle comme ça, il dit, il en sera ainsi.

Le pasteur Richards dirige le centre de sensibilisation des jeunes de Santa Ana dans cette rue., un endroit où les enfants du quartier peuvent venir jouer au football, faire leurs devoirs, utiliser les ordinateurs et aller aux services religieux. Il y a 22 de tels centres dans certaines des communautés les plus violentes du Panama, créé avec le soutien du programme Community Youth at Risk de Creative Associates International, connu localement sous le nom Portée positive.

13 facteurs qui augmentent la vulnérabilité

Le programme sur trois ans, financé par les États-Unis. Agence pour le développement international (USAID), est conçu pour réduire les facteurs de risque qui poussent les jeunes vers la criminalité et la violence en renforçant la participation communautaire et municipale à la prévention de la violence et en travaillant avec le gouvernement pour réduire les taux d'abandon scolaire et augmenter les possibilités de formation professionnelle et de placement..

Les centres combattent les crimes violents comme le 800 meurtres survenus à 2009, et la délinquance juvénile qui alimente les rangs affamés des gangs de trafiquants de drogue.

Les centres de sensibilisation comme Santa Ana offrent plus qu'une simple protection physique contre un monde extérieur difficile: Creative et l'USAID identifiés 13 facteurs qui augmentent la vulnérabilité des jeunes à s’impliquer dans des activités illicites, comme une faible estime de soi et des perspectives d'emploi limitées.

Le programme a créé un modèle qui renforce cinq facteurs de protection qui assurent leur sécurité, à la place, il est sain et productif – des facteurs tels que le fait de pouvoir utiliser son temps libre de manière créative, et un mentor adulte attentionné comme le pasteur Richards.

« Quand on regarde la prévention primaire de la violence, beaucoup de fois, c’est le même type d’activités que vous utiliseriez pour le développement positif des jeunes," déclare Michael McCabe, directeur de Reach Positive.. "C'est un espace sûr en dehors des heures de cours. Il s’intéresse aux mentors et au rôle des adultes bienveillants. C’est comment améliorer les opportunités d’éducation formelle et informelle et de compétences de vie, comment créer ces premières opportunités d'emploi pour les jeunes et leur donner un sentiment de participation civique. C’est ce que nous appelons le pouvoir des cinq.

Au lieu de trouver un sentiment d'appartenance à un gang, ils le trouvent parmi leurs pairs, coéquipiers et entraîneurs des centres de sensibilisation.

On leur dit pour la première fois de « rêver leur avenir » et d’élaborer un projet de vie, puis d’acquérir les compétences qui leur permettront d’en faire une réalité..

Une nouvelle approche, une nouvelle perspective

De l'endroit même où la Croix-Rouge distribuait de la nourriture au petit garçon qui allait devenir le pasteur Richards, le Santa Ana Outreach Centre trône désormais fièrement sous sa direction. Créatifs Alliance positive s'est associé à Richards pour agrandir et financer le centre, lui permettant de démarrer un programme de renforcement parascolaire avec des cours de mathématiques et d'anglais.

Enfants, les adolescents, même les petits enfants se promenaient seuls dehors à toute heure du jour et de la nuit, des évadés errants d'écoles offrant un enseignement de mauvaise qualité ou de foyers tout aussi dangereux que la rue.

Maintenant, des enfants vêtus de néons se glissent sur le terrain de football attenant, apprenez la batterie et la guitare et jouez au ping-pong avec des camarades qu'ils auraient pu auparavant considérer comme des ennemis. Presque 200 d'entre eux utilisent le Centre de sensibilisation; ça éclate le week-end.

La police visite le centre chaque semaine pour parler aux enfants. L'arrivée d'une policière en uniforme suscite des cris et des câlins.

"Tu n'avais jamais vu ça," dit Chris Martinez, qui a travaillé sur le projet. «Ils voyaient [police] comme leurs ennemis. Maintenant, ils sont leurs héros.

En plus de parler aux enfants du centre, les officiers les escortent là-bas depuis l'étroit, des immeubles de grande hauteur délabrés appelés « multis » pour s’assurer qu’ils sont protégés. Selon le quartier, les enfants ne sont pas assez en sécurité pour traverser la rue.

Le nouvel accent mis sur la police de proximité souligne leur mission positive, et semble changer les perceptions – rapidement. L'agent Silver Calles ne travaille dans le quartier que depuis quatre mois, mais il a déjà remarqué une différence.

"Quand je suis arrivé ici pour la première fois, les gens ne voulaient pas nous parler, les gens ne s'approcheront pas de nous," dit-il, tandis que les enfants autour de lui rangent leurs pilons et leurs maracas et filent bruyamment dans la pièce voisine.. « C’est l’approche que la nouvelle équipe a avec la communauté. Il ne s'agit pas seulement de patrouiller, nous interagissons.

Avec la nouvelle approche, Calles dit, les agents se rendent au domicile des gens et se contentent de s'asseoir et de discuter. Les gens ont commencé à laisser leurs portes ouvertes.

"Ça fait du bien, gagner la confiance des gens. Apprendre à interagir avec les gens et leur faire voir la police avec des yeux différents," Calles dit.

L'approche de la police de proximité contribue à réduire les crimes violents. Le taux d'homicides, qui a plus que doublé entre 2006 et 2009 – est passé de 23.4 meurtres par 100,000 habitants à 18 dans 2012.

« Notre objectif est que la population ne considère plus la police comme un agent répressif.,» dit Manuel Zambrano, Directeur du Bureau de Sécurité Intégrale du Ministère de la Sécurité Publique. « Nous voulons que les gens… considèrent le policier comme une personne qui peut les aider et les assister. »

Les plaintes pour violence domestique et les descentes de drogue dans les quartiers bénéficiant d'initiatives de police de proximité ont augmenté, démontrant une confiance accrue dans les autorités selon Zambrano.

Les programmes de son département, qui comprennent des visites à domicile du personnel du ministère pour mieux comprendre les problèmes auxquels sont confrontés les jeunes du Panama et une gigantesque ligue de football, atteindre jusqu'à 32,000 jeunes chaque année.

Des changements complexes

Les jeunes commencent à changer autant que les flics de leur quartier.

Quand le Dr. Eduardo Barsallo a ouvert pour la première fois le 24 de décembre Centre de sensibilisation du quartier de Monterrico, l'un des plus pauvres de la ville de Panama, il a visité les écoles locales et a demandé aux enseignants d'identifier les élèves en échec.. Ceux-là, il les a invités au centre; bénéficier d'un tutorat mais aussi apprendre des valeurs et gagner en estime de soi.

Au début, les enfants volaient tout ce qu'il laissait à la vue de tous.. Mais aujourd'hui, distant, les élèves désengagés et qui échouent se sont transformés en jeunes adultes responsables et respectueux.

Plus que 600 d'entre eux se sont présentés à un nettoyage de plage organisé par le centre, et 250 je viens régulièrement jouer au football. Ces enfants sont fiers du centre maintenant. Tout le monde participe à la cuisine et au ménage, y compris les garçons.

Les choses ne disparaissent plus.

« Changer le comportement d’une personne n’est pas facile, c'est très complexe," dit Barsallo. « Surtout quand ces enfants sont battus, maltraités à la maison et dans le quartier où ils vivent, des enfants qui ont faim et qui n’ont pas l’affection et l’amour de leur famille. Et ils viennent ici…parce qu'ils trouvent un endroit sain, endroit propre et convivial, un lieu doté de nombreuses ressources pour qu'ils puissent faire leurs devoirs et partager avec leurs pairs. C'est la chose la plus importante: qu'avant ça, ils étaient ennemis et maintenant ils sont amis.

À Barsallo, les petits changements sont déjà perceptibles: Un garçon qui se porte volontaire pour balayer le sol du centre de proximité. Une mère qui ne pleure plus en racontant le comportement de son fils à la maison.

Mais il a les yeux rivés sur des changements plus importants. « Croyez-moi sur parole," Barsallo dit. « Si les centres continuent, la violence diminuera ici dans notre pays.

Créer une coalition pour la durabilité

Barsallo, comme les autres directeurs de centres d'accueil des jeunes, introduit des activités pour les petites entreprises dans le centre dans le but de le faire évoluer vers la durabilité.

Grâce aux subventions d'Alcance Positivo, un équipement de sérigraphie récemment livré dans une arrière-salle permettra aux jeunes de concevoir et de vendre des t-shirts et des pancartes, tandis qu'un autre 50 les enfants ont appris à devenir coiffeur. Des rangées d'animaux en peluche et d'ensembles de jeu emballés dans du plastique divertiront les tout-petits déposés dans une garderie à faible coût. L'équipement de gym est en passe d'offrir des opportunités de mode de vie sain et des frais d'adhésion.

Bien que le centre bénéficie du soutien du secteur privé (l'avion peint flottant dans une mer de nuages doux au-dessus de la porte est un hommage au sponsor Copa Airlines), la génération de revenus est la voie à suivre.. En fait, Alcance Positivo n'a financé que les centres qui ont créé des plans d'affaires.

A la clôture du programme en septembre 2013, il y avait 22 Les entreprises panaméennes qui soutiennent le 23 centres de proximité. Docteur. Barsallo devrait assumer la présidence d'une toute jeune association de centres de sensibilisation afin que tous les établissements puissent mieux accéder au gouvernement et demander un financement continu.

Centraide du Panama, qui gère à elle seule deux centres, a également accepté d'intensifier la coordination des centres, aidez-les à trouver des partenaires du secteur privé et plaidez auprès du gouvernement pour un soutien continu.

« Il n’y avait jamais eu au Panama un endroit où les jeunes pouvaient aller, sans aucun frais, et j'ai tellement d'opportunités comme celles offertes dans les centres de sensibilisation," dit Rina Rodriguez, qui coordonne le centre parrainé par Centraide dans un quartier appelé Fondo Unido. "Nous ne voulons pas le laisser tomber."

"Pour nous," dit-elle, « Il est extrêmement important que les jeunes n’aient pas l’impression que les portes sont fermées après avoir suivi un programme aussi important dans leur vie. »[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Panama’s “Two Worlds” Come Together for Youth

septembre 27, 2014

7 lecture min.

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Panama’s “Two Worlds” Come Together for Youth

Par Jennifer Brookland

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Panama City—The sleek executive offices of ENSA, one of Panama’s largest electric distribution companies, are a world apart from the seaside city of Colón, where rotting buildings and open sewage are the backdrop for joblessness, poverty and violent crime.

Le 100 or so ENSA employees who live in Colón struggle with more than just the hour-long commute. They constantly worry about their safety: about their kids falling into gangs or getting recruited to sell drugs; about someone attacking them for being one of the guys who shuts off the power when the payment is late.

“They have trouble just living there,” says Lorena Fabrega, ENSA’s customer services director. When the company started a volunteer program in Colón a decade ago, she had to bus employees from Panama City. Even staff who lived in Colón did not want to participate.

But evolving ideas about how to run a business is making the way ENSA interacts with communities like Colón an important part of its corporate identity. For it, and many other private sector companies in Panama, giving back and getting involved have become key marketing and recruiting strategies.

“It used to be that what’s good for the company is good for society, and now we see it as the inverse,” Fabrega says. “It’s what’s good for society ends up being good for the company.”

ENSA succeeded in reaching out to young people in poor, crime-affected areas in the company’s service area by partnering with Creative Associates International’s Panama Youth at Risk program, connu localement sous le nom Portée positive.

Targeting the most-vulnerable neighborhoods

Le programme sur trois ans, financé par les États-Unis. Agence pour le développement international, cultivates violence prevention and positive youth development in Panama, especially through 23 youth outreach centers set up in some of its most vulnerable neighborhoods.

“The Outreach Centers really tie into Creative’s overall violence prevention strategy because they’re an anchor,” says Michael McCabe, who ran the project for the global development company.

In neighborhoods where families lived packed together, where gunshots rang out between rival gangs in the night, “you had this Outreach Center where kids knew they could come. They could suddenly let down their guard. They knew that there were adults who would listen to them that would care about what they’re doing.”

With some of the biggest names in business pledging support for these centers, these partnerships are benefitting both kids and corporations.

Panama is viewed as a success story in Central America, where it lives next to Colombia and down the street from internationally disturbing levels of homicide in Honduras and El Salvador.

Despite its double-digit economic growth, gleaming new skyscrapers and expanding Canal Zone, Panama has endemic pockets of poverty—one third of boys never go past the sixth grade, et a World Bank poverty analysis revealed Panama is one of the most unequal countries in the world.

“We have two Panamas: the rich Panama, and the poor Panama,” says Marcella Tejada, Corporate Social Responsibility Manager for the Morgan and Morgan Group—a major Panamanian law firm, which supports the Outreach Centers.

“Most people, we live parallel lives," dit-elle. “I had no idea how many young kids had abandoned school and had no dream for the future…They have no plans. How can that happen?»

According to Panama’s former President and Minister of Education Aristides Royo, who is also a senior partner at Morgan and Morgan, the problem stems in part from the country’s low-quality education and the lack of real skills it provides students.

Children leave school because they need to earn money for their families, which are often run by single moms, or because they don’t see the value in education when it comes to finding work.

“They see a future so long and so difficult,” says Royo, who blames poverty and the long stretches of non-constructive time when mothers are at work and kids must entertain and fend for themselves.

When these children are approached by drug dealers hawking a lifestyle that includes a lot less deprivation, it’s an easy sell.

Companies helping kids look forward

Alcance Positivo partnered with private sector companies and NGOs to make it just as easy for young people in Panama to look forward to a meaningful, productive adulthood.

Business like Microsoft, Dell and Copa Airlines provided funding and equipment for the Outreach Centers, while employee volunteers also provided job skills training, facilitated workshops on dating violence, and simply showed up to make it clear to kids that they cared.

“By having them work both as volunteers and providing resources, they built a relationship that we hope will last many years beyond just the initial two-year agreement period," dit McCabe.

ENSA employees, Par exemple, provided lighting that helped turn the Samaria Outreach Center in San Miguelito into an InfoPlaza, a science and technology center supported by the government. They teach young people at the centers how to use energy efficiently and mitigate risks.

Morgan and Morgan brought in a psychologist to train 20 of its employees on running domestic violence prevention workshops at the Outreach Centers.

They worked with 130 kids before Creative’s Alcance Positivo ended in September 2013, but Tejada has no intention of stopping just because the project did. She is already brainstorming how the firm can expand to reach all of the centers.

“We cannot think that the only scope as lawyers will be winning money,” says Royo. “We have to help society because society becomes better…It’s making better the future of Panama; making better citizens, making better boys. In this field I cannot think as a politician. I am thinking as a Panamanian citizen, as a father of three kids and grandfather of seven people. We have to think of our nation.”

“By having them work both as volunteers and providing resources, they built a relationship that we hope will last many years beyond just the initial two-year agreement period," dit McCabe.

Morgan and Morgan brought in a psychologist to train 20 of its employees on running domestic violence prevention workshops at the Outreach Centers.

Good for the company & jeunesse

Corporate social responsibility makes good business sense too: Employees with a sense of well-being are more productive at work and probably more likely to stay with the company—important in a country like Panama where unemployment is very low.

“We have measured the rotation of people that are volunteers versus the ones that are not volunteers and it’s proven that the ones that are volunteers have a better sense of belonging,” Tejada says.

Employees these days don’t just want a paycheck, she points out. They want to give back. And by developing their leadership skills and teamwork through volunteering, they become better employees overall.

Working with Alcance Positivo helped these companies develop potential future employees by providing at-risk students with job preparedness training, computer skills, and increased confidence.

Then there are the major benefits for companies that manage to build good relationships with communities.

“If you have a safer place to work, your employees are going to be motivated, ils’re going to work a lot better, and it’s going to be good for the company,” says ENSA’s Fabrega. “If you have a community that can relate to you, that appreciates you, it’s going to be a lot easier to do your job.”

And being visible in the community in such a positive way is some of the best publicity a company can get.

ENSA wants to work with all of the communities in its service area, et le 13 Outreach Centers in Colón, Panama City, San Miguelito and 24 Diciembre are an obvious access point.

By partnering with the centers, ENSA is able to reach precisely those young people it needs to: those in areas rife with delinquency and safety issues, whose families are most likely to use energy without paying and set up illegal connections that not only hurt ENSA’s bottom line but cause dangerous accidents.

“The main objective is to help the youth when they’re at a stage in their lives when you can still make a difference in their habits,” says Fάbrega.

A Profitable Future

The habits youth are forming at the Outreach Centers go well beyond being good energy consumers. They are starting to think of themselves as people who can make a difference in their communities. They are envisioning futures that don’t include drugs and guns but classes and jobs. They are envisioning futures, period.

And so are the companies that got involved with Alcance Positivo. In coordination with the United Way of Panama, ten of the major businesses have created a matching fund and are committed to sustaining the Outreach Centers for another two years beyond the project’s end.

In that time, they’ll be working to help the centers build up their own sustainability.

ENSA, par exemple, donated the $16,000 proceeds from their annual walkathon so that the Outreach Center in Colón could buy silk-screening equipment. Besides learning new skills and offering a service to the community, proceeds from the microenterprise will help the center stay open.

“Eventually, hopefully, they won’t need much more sponsorship from companies…but they’ll be able to sustain themselves,” says Fabrega. “And that’s, Je pense, everybody’s mission when they participate in corporate social responsibility programs.”[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Panama: Youth find safety & opportunity at outreach centers

septembre 26, 2014

1 lecture min.

Le président Obama félicite le champion hondurien contre la violence

septembre 26, 2014

3 lecture min.

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Le président Obama félicite le champion hondurien contre la violence

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Alors que les dignitaires et les cortèges diplomatiques remplissaient les hôtels et obstruaient les rues de Midtown Manhattan pour l'ONU. Assemblée générale, une autre personne très importante est arrivée à New York pour une reconnaissance spéciale de la part des États-Unis.. Le président Barack Obama.

S'exprimant lors de la 10e édition annuelle de la Clinton Global Initiative à New York en septembre. 23, Le président Obama loué et s'est engagé à continuer de soutenir les efforts des militants de la société civile du monde entier qui luttent pour un changement positif dans leurs communautés et leurs pays..

Dans une foule de près de 1,000 dirigeants et militants mondiaux, dont l'acteur Matt Damon, Le président de la Banque mondiale, Jim Kim, et la philanthrope Melinda Gates : une personne s'est démarquée pour lui: Miriam Canales, un coordinateur du Centre de sensibilisation des jeunes à San Pedro Sula et Choloma, Honduras, qui travaille avec Creative Associates International.

« Nous sommes aux côtés des humanitaires comme Miriam Canales," a déclaré Obama, soulignant le coordinateur hondurien. « Dans des communautés parfois déchirées par d’horribles violences, les enfants sont tellement terrifiés à l'idée de marcher dans les rues que beaucoup d'entre eux entament cette marche dangereuse et souvent mortelle vers le nord.. Et les centres de proximité de Miriam leur offrent un endroit sûr pour jouer, grandir et apprendre.. Et elle dit que son rêve est « que les Honduras puissent marcher librement » et que les jeunes aient « des opportunités dans leur propre pays ». Nous ne pourrions être plus fiers de vous., Myriam, et nous sommes à vos côtés.

À travers plus de 190 Centres de sensibilisation des jeunes à travers l'Amérique centrale, financé par les États-Unis. Agence de Développement International et gérée par des partenaires locaux, La création a atteint plus de 43,000 les jeunes des communautés à risque en s'attaquant aux facteurs qui les rendent vulnérables à la violence et en leur offrant une alternative aux activités des gangs qui font des ravages dans leurs communautés..

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Au Honduras, le pays de Canales, le taux de meurtres est 79 homicides par 100,000 personnes, le plus haut du monde en dehors d'une zone de guerre. À San Pedro Sula, une ville industrielle où elle travaille avec des jeunes à risque, le taux de meurtres est encore plus élevé. La violence que Canales et les jeunes avec lesquels elle travaille dans Alianza Joven Honduras (Alliance de la jeunesse Honduras) Les rencontres quotidiennes déchirent non seulement les communautés, mais poussent également de nombreux jeunes Honduriens à risquer seuls un voyage très dangereux vers les États-Unis.. pour une chance d'avoir une vie meilleure.

Même si l'auditorium de la Clinton Global Initiative était rempli de personnalités, Obama a clairement indiqué qu'il était là pour mettre en lumière et féliciter les acteurs du changement comme Canales qui travaillent sans relâche et, par moments, face à de graves menaces.

« En tant que dirigeants, nous ne sommes pas les personnes les plus importantes ici aujourd'hui," Le président Obama. « Le titre le plus important n’est pas président ou premier ministre; le titre le plus important est celui de citoyen…. des hommes et des femmes du monde entier qui consacrent leur vie et, par moments, risquer leur vie pour élever leurs communautés, et renforcer leurs nations, et revendiquer des droits universels au nom de leurs concitoyens.

Canales reviendra au Honduras pour faire exactement cela : lutter contre la violence et donner à la jeunesse de son pays une opportunité de grandir., apprendre et devenir des citoyens productifs qui pourraient eux-mêmes devenir un jour des agents de changement positif.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

La campagne « Je lis » promeut l'alphabétisation au Yémen

septembre 22, 2014

4 lecture min.

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La campagne « Je lis » promeut l'alphabétisation au Yémen

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Au Yémen, un pays où le taux d'analphabétisme est proche 35 pour cent et la télévision et la radio plutôt que les journaux sont les véhicules préférés pour l'information, le ministère de l'Éducation a lancé une campagne créative pour renforcer le soutien de la communauté à la lecture en bas âge.

La campagne « Je lis » d'un mois, dont la première a eu lieu en septembre. 7 alors que les élèves yéménites retournaient à l'école, sensibilise l'ensemble du pays par le biais de messages d'intérêt public sur 9 Chaînes de télévision et 14 des stations de radio sur les avantages de l'alphabétisation pour les individus et le pays.

« Sans éducation, nous ne pourrons jamais construire notre nouveau Yémen," a déclaré le ministre de l'Éducation, Dr. Abdul Razzaq al-Ashwal, qui est apparu dans l'une des annonces télévisées. “Active learning can only be achieved if our students master reading and writing skills.”

The campaign’s slogan—“Let’s read because we are a reading nation!”—flashes in Arabic at the end of each announcement.

In its first week, the campaign, which is supported by Creative Associates International’s Community Livelihoods Project, reached more than four million viewers and listeners per day. Last year, a similar media campaign that ran for four months reached 13.2 million Yemenis, roughly half of the population.

Following notable success in its pilot phase, the USAID-funded project’s flagship early grade literacy program, the Yemen Early Grade Reading Approach, expanded from 311 les écoles dans 2013 à 822 les écoles dans 10 governorates by the end of the academic year in May 2014 and reached approximately 236,000 les étudiants en première, deuxième et troisième années. Cette année scolaire, l'approche s'étendra à une autre 206 écoles, portant le total des écoles participantes à 1,028.

L’approche utilise une méthodologie basée sur la phonétique pour améliorer les compétences en lecture en réformant le programme de lecture des premières années et en renforçant la capacité des enseignants à enseigner la lecture et l’écriture..

Le ministère de l’Éducation a stratégiquement programmé la campagne médiatique de cette année pour s’aligner sur une nouvelle expansion de l’approche de lecture préscolaire au Yémen dans les écoles du pays. 23 gouvernorats dans le cadre de sa mise en œuvre à l’échelle nationale.

« Ce lancement coïncide avec le processus de mise à l'échelle de YEGRA, et nous voulons que tout le monde, surtout les parents, pour soutenir ce programme et en faire un succès,» dit al-Ashwal.

En plus de mobiliser le soutien de la communauté pour l'initiative de lecture, l'un des messages centraux de la campagne est que la maîtrise précoce de la lecture ouvre la voie à la réussite tout au long de la vie..

« La lecture est la voie du succès,", a déclaré le juge yéménite Afrah Badwellen, Directeur de l’Autorité anti-corruption du Yémen, réfléchissant à sa propre expérience d'apprentissage de la lecture à un jeune âge.

« Je lis » cherche à attirer et à inspirer une large partie de la population. La campagne présente des messages et des contributions de nombreux acteurs du secteur éducatif du Yémen et de personnalités respectées de la communauté, notamment des responsables du ministère de l'Éducation., imams, savants, poètes, journalistes et médias, dirigeants du secteur privé, éducateurs, étudiants et parents. Les émissions « Je lis » sont courtes et pertinentes sur le plan culturel.

Dans une vidéo, un jeune garçon est assis en cercle avec d’autres garçons dans une mosquée, réciter couramment des versets coraniques.

"Mohammed, tu lis si couramment!» s'exclame son professeur. "Où as-tu appris à lire?»

"Il l'a appris à l'école grâce au nouveau programme de lecture préscolaire introduit dans les écoles.,» répond son père.

Une autre vidéo présente Fatma, une élève de deuxième année d'un village reculé du Yémen dont l'aptitude à lire n'a pas seulement conduit à sa réussite scolaire malgré ses circonstances difficiles, mais a également fait d'elle un modèle pour la ville et une tutrice pour ses pairs.

«J'ai appris à lire en première année,» Fatma rayonne. «J'ai appris les sons des lettres et la fusion des sons en mots.»

Avec des clips de campagne diffusés stratégiquement sur les chaînes de télévision aux heures de pointe d'audience (matin, midi et soir), « Je lis » génère un buzz national autour de l'alphabétisation et de l'approche de lecture préscolaire au Yémen. L'approche de lecture de plus en plus populaire au Yémen dans les premières années d'études Page Facebook a plus de 3,000 abonnés de 24 pays. Les abonnés peuvent également accéder aux vidéos de la campagne à partir de cette page et à l'approche de lecture des jeunes niveaux du Yémen. Site YouTube.

Jouer un rôle consultatif auprès du ministère de l’Éducation en matière de stratégie et de mise en œuvre, Creative possède une riche expérience dans la direction de campagnes médiatiques de sensibilisation du public à l'échelle mondiale, notamment en Afghanistan., Haïti, Nicaragua, Serbie et Monténégro, la Cisjordanie et Libye. De la mobilisation des électeurs à l’éducation sur le VIH/SIDA en passant par l’engagement civique dans la gouvernance, Creative a aidé des organisations et des gouvernements locaux à développer et à déployer des messages efficaces à grande échelle.,

Après une campagne très réussie l'année dernière, which was primarily led by Creative, the Ministry of Education is spearheading “I Read” this year as part of a concerted effort to achieve long-term sustainability of the Yemen Early Grade Reading Approach under the ministry.

For their part, other ministries involved in the campaign are also thinking forward, placing literacy at the center of Yemen’s growth.

“Let’s teach our children and grandchildren to love reading,” says Nasr Taha Mustafa, Minster of Media. “Reading is food for thought and refinement for the soul and the key to development.”[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

It’s time to redefine manhood and stop violence in families and communities

septembre 19, 2014

4 lecture min.

Youth in Panama in Creative’s youth-at-risk project advocate nonviolence in their communities. Photo by Michael McCabe.

I am always fascinated at how cultural change occurs, sometimes more slowly than we hope (civil rights), and sometimes more quickly than we expect (recent advances in the acceptance of same sex marriage).

There are also usually key defining moments in the media that capture the struggle of many in the story of one. Such is the case recently around the willingness to take intra-familial violence from being a private issue for the family to being a topic of open public debate and, in many corners, outrage.

In our age of instant social media, two of the National Football League’s premier stars were revealed using violence, one knocking out his fiancé on video, and the other with a photo showing the effects of whipping his 4-year-old with a switch to supposedly discipline his child out of love like his parents had done to him. These two public images released a tide of debate about what is acceptable and unacceptable in terms of physical violence within the family and concepts of manhood in this day and age.

On the domestic violence front, calls to the U.S. National Domestic Violence Prevention Hotline soared 84 percent the week that the Ray Rice video was released. National and international media debated why men (and occasionally women) batter, why the partner stays and what can be done to help.

Major league sports franchises and federations started discussing what length of suspension should be mandated if a player is found to have beaten his wife or child. The fact that an industry would impose its own sanctions, on top of a legal system that often fails victims of intra-familial family violence, is indeed a game-changer that could set precedents nationally and internationally.

On the child abuse front, commentators and child care specialists highlighted the fact that acceptance of corporal punishment (hitting a child with an object or hand) is still practiced by 75 percent of Americans generally, et 89 percent of African Americans. It is hardly the exception but rather a norm that has been passed down through generations, despite significant research that show its long-term, negative psychological effects on the child and its propensity to actually increase children and youth’s violent behavior.

The rates of corporal punishment in the U.S. exceed that in many other countries. One reason given by some analysts is the fact that every country other than the U.S. and Somalia signed the UN Convention on the Rights of the Child in 1989 lequel, entre autres choses, protects children against violence including corporal punishment, et 38 countries have laws prohibiting such punishment.

All this violence has a cumulative impact on young people. While working on gang and youth violence issues in Panama and Central America, I always felt we had to “look upstream” for where these problems of violence were really coming from. The kids would often tell of the beatings that they or their mother endured by the “man of the house” or of abuse by their mother. De même, while visiting a project in a school in the Caribbean, the principal told how he and other teachers maintained discipline with a two-inch wide belt.

The research on Adverse Childhood Experiences (ACE) shows that four or more of these experiences, such as viewing or being the victim of intra-familial violence or being sexually abused, result in a multitude of health and social problems in the short- and long-term. En plus, in the U.S., 80 percent of incarcerated prisoners report having grown up in violent households.

Au Panama, Creative’s youth at-risk project decided to go “upstream”, and we trained youth to talk to other youth about intra-familial and dating violence to try to break the cycle. The youth and the adult allies were thirsting for techniques to improve communication, foster healthy relationships and learn nonviolent alternatives to how “they had learned discipline from their parents”. Many young men also struggled with concepts of what it was to be a man in terms of using force to establish respect.

If we want to truly make a dent on issues of violence in society in general, we need to be willing to go publically “upstream” to examine, challenge and ultimately replace old concepts of manhood and discipline based on histories of violence with new proven effective ways of communication, healthy relationships and positive discipline.

The eyes of many are on this important topic for the moment. It is up to us all to make a public statement rejecting violence in or outside the household, and to share training in new tools for communication, parenting and healthier concepts of masculinity.

Michael McCabe is an expert in training and capacity development at Creative Associates International.