La technologie des données mobiles déployée pour lutter contre le travail des enfants au Maroc

mars 24, 2015

5 lecture min.

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La technologie des données mobiles déployée pour lutter contre le travail des enfants au Maroc

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Avec des tablettes mobiles à la main, 22 des chercheurs de l'Université Cadi Ayyad de Marrakech feront du porte-à-porte en mars dans la région de Marrakech-Tensift-Al Haouz, arpentage 1,200 ménages sur les attitudes, comportements et informations démographiques autour de la question du travail des enfants.

L'étude fait partie du programme de quatre ans Programme Promesse Parcours qui vise à réduire le travail des enfants dans la zone de Marrakech-Tensift-Al Haouz et à atteindre plus de 5,500 la jeunesse et 1,000 membres de la famille. Financé par les États-Unis. Département du travail, Creative Associates International met en œuvre le programme avec plusieurs partenaires locaux.

Une estimation 92,000 âges des enfants 7 14 à 14 ans travaillent – parfois dans des métiers dangereux et pénibles comme l’agriculture, travail domestique ou secteurs artisanaux – selon le Haut Commissariat au Plan du Maroc.

« Nous avons un accès instantané aux informations collectées et nous pouvons surveiller la qualité des données collectées.,« Seddik Ouboulahcen dit, le spécialiste local en suivi et évaluation du projet, parler des avantages d'une étude et d'une base de données mobiles.

Les informations saisies par les chercheurs dans les tablettes seront immédiatement synchronisées en temps réel dans un système de données Web Android conçu par la société marocaine de technologie de développement. MTDS cataloguer et analyser les facteurs de risque et les informations critiques sur le travail des enfants dans la région.

« La lutte contre le travail des enfants dépend des personnes et non de la technologie.," dit Sandy Wark, chef du département ICT4D chez MTDS. "Mais j'espère que la technologie pourra faciliter le travail des personnes qui tentent de faire la différence."

Déployer la technologie dans la lutte contre le travail des enfants, Wark explique, peut inclure l’utilisation de données pour déclencher des signaux d’alarme lorsqu’un enfant montre des signes avant-coureurs d’abandon scolaire. Ces systèmes d'alerte précoce permettraient aux enseignants et aux administrateurs scolaires d'agir.

Wark ajoute que les bases de données et la cartographie des données peuvent être utilisées pour rendre plus facilement accessibles les informations sur les services sociaux existants afin qu'un assistant social puisse mettre en contact un enfant ou sa famille avec des organisations qui peuvent l'aider..

« Dans ces deux exemples, tu vois que la composante humaine est toujours la plus importante, mais de bons systèmes d'information peuvent aussi aider," dit Wark.

Déployer les données au départ et au-delà

Les chercheurs interrogent les parents sur leurs attitudes et leurs comportements concernant le travail des enfants.

L’enquête randomisée auprès des ménages, ainsi que des données cartographiées sur les services disponibles, une enquête sur le climat scolaire et une évaluation participative du marché du travail rural, comprendre l'ensemble de données de référence pour le projet.

Les données de référence seront intégrées dans un système de données plus vaste auquel l'équipe du projet accédera tout au long de la vie du projet pour suivre les progrès des enfants qui travaillent et de leurs familles., créer des plans d'action personnalisés et mettre en relation les personnes menacées par le travail des enfants avec le soutien nécessaire des organisations locales.

« L'utilisation d'appareils mobiles pour collecter des données nous permet de créer une base de données que nous utiliserons plus tard pour la prestation de services afin de travailler avec nos bénéficiaires.,» explique Ouboulahcen.

L'enquête auprès des ménages interroge les enfants sur leur scolarité, situation professionnelle et antécédents professionnels, y compris les types de travail qu’ils ont accomplis, heures travaillées, salaires, travail non formel, accidents ou maladies liés au travail et dangers liés à leurs tâches.

Bien que les principaux bénéficiaires de Promise Pathways soient ceux qui sont sous 18 en danger de travailler ou déjà engagé dans un travail, la famille et l'environnement familial sont des éléments essentiels dans la prévention du travail des enfants, car la pauvreté en est souvent la principale cause.

Les chercheurs interrogeront les adultes du ménage sur des indicateurs économiques, notamment le nombre de biens du ménage et l'accès à des services tels que les soins de santé., éducation, transferts d'argent, transport scolaire, microcrédit et prêts bancaires. L'étude de référence recueillera également les attitudes des membres adultes du ménage à l'égard du travail des enfants..

« Nous leur demandons d'énumérer ce qu'ils considèrent comme les dangers du travail des enfants et d'énumérer les risques qu'ils perçoivent en cas d'abandon scolaire d'un enfant.,» dit Susan Rogers, Associé principal pour le suivi et l'évaluation chez Creative. « Si les gens ne voient pas beaucoup de danger ou de risque, alors nous avons beaucoup de travail à faire… La partie perceptions est très importante.

Bâtir une coalition bien coordonnée

Les chercheurs utilisent des tablettes pour saisir les informations des membres du ménage dans une base de données sur les facteurs de risque liés au travail des enfants..

La lutte contre un phénomène socio-économique aussi complexe que le travail des enfants nécessite une coalition bien coordonnée de partenaires de la société civile et du gouvernement.. Tous les membres de l'équipe Promise Pathways ont été impliqués dans la conception de la base de référence et seront des acteurs clés dans la mise en œuvre au cours des quatre prochaines années..

Trois ministères font partie de l’équipe : la Direction de l’éducation non formelle du ministère de l’Éducation., the Ministry of Employment’s Directorate of Labor and its Marrakech Regional Directorate and the Ministry of Social Development.

The team also includes Moroccan civil society organizations and three international partners—Aide aux artisans, Kuder et le International Initiative to End Child Labor.

Research to end child labor

The mobile database will help the project track the progress of child laborers and their families.

Beyond conducting the mobile baseline survey, Cadi Ayyad University and its research laboratory will play a key role in sustaining efforts to combat child labor in the region as the project progresses.

“It is our intention to mobilize the university in terms of action research on child labor in the Marrakech region. What we want them to do is work on case studies on child labor,» explique Ouboulahcen.

With the aim of growing local capacity to combat child labor, Ouboulahcen says that the Promise Pathways team could provide the university students and researchers with access to data collected throughout the project and its mobile tools, connections with local partners and beneficiaries and technical support on research design and methodology.

“We are hoping by the end of the project we’ll have a number of studies concentrating on the theme of child labor," dit-il. “These will help us mainstream practices and raise awareness about child labor in the Marrakech region and have a critical mass of people interested in child labor and working on different methodologies and approaches to reduce and eliminate child labor.”

La technologie sera certainement au cœur de bon nombre de ces études et efforts., déployé de manière créative et innovante en tant qu’allié puissant dans la lutte contre le travail des enfants.

Le financement de ce projet a été fourni par le Département du Travail des États-Unis.. Ce matériel ne reflète pas nécessairement les opinions ou les politiques du Département du Travail des États-Unis., ni la mention des noms commerciaux, produits commerciaux, ou des organisations impliquent l’approbation du gouvernement des États-Unis.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Tempérez vos attentes en matière de lecture après 2015

mars 24, 2015

4 lecture min.

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Tempérez vos attentes en matière de lecture après 2015

Par Jennifer Brookland

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Les succès des programmes de lecture en bas âge ont suscité chez certains un sentiment d'enthousiasme débridé selon lequel un changement rapide et significatif n'est pas seulement possible., mais attendu.

Les experts mondiaux de l’éducation plaident désormais pour que les indicateurs de lecture et les résultats d’apprentissage soient inclus dans la prochaine série d’objectifs de développement mondiaux.. Mais l’accord sur la nécessité d’inclure ces objectifs n’élimine pas la controverse sur ce qui peut être raisonnablement réalisé..

Des experts au 2015 Conférence sur les systèmes éducatifs comparés et internationaux reminded that while some early grade reading pilots have shown impressive success, these “hothouse” experiments have no guarantee of achieving similar results once taken to scale.

The environment matters

Parental enthusiasm, educational policies that support reading instruction and practice time and even the pace at which printers can create new materials are all factors that shape the success of pilot projects that grow up.

Not to mention circumstances that affect education systems in drastic ways, such as conflict, corruption and systemic weaknesses like poor supervision, teacher absences, and poor teacher preparation.

Karen Tietjen, Directeur technique de Creative Associates International Division de l'éducation pour le développement, pointed out that no matter how promising a pilot, results may be harder to achieve when faced with the realities of weak institutions, classes de grande taille, inefficient inspectorates and chronic underfunding.

She added a surprising factor that should be considered in setting expectations for the pace of change: Ministry of Education support. While government ownership is critical for scaling-up reading programs, it can have unanticipated consequences if turnover is high or budgets constrict.

“MOE ownership is essential to progress but it also may slow it," dit Tietjen. “As more people own it, there are more voices, more stakeholders, the political stakes get higher, and we need to factor that into our scheduling for the development and rollout of these programs.”

An honest look at reading gains

A girl in Chipata, Zambia practices reading with her mother. The impressive results of some pilot reading projects might be replicable at scale, but are not guaranteed.

L'USAID a fait de la lecture une priorité 2011 lorsqu'il améliore les compétences en lecture des 100 millions d'enfants dans les classes primaires d'ici 2015 comme objectif un dans son stratégie éducative, et oles résultats de certains programmes de lecture en première année ont été impressionnants.

Les jeunes étudiants égyptiens qui ont participé à des programmes de lecture ont pu lire de manière significative plus de mots par minute, selon un autre panéliste à la conférence du CIES.

« Nous avons réussi à transformer des élèves de deuxième année en élèves de troisième année.," a déclaré Amber Gove, Directeur de recherche chez RTI, qui a mis en œuvre le projet égyptien. « Pour le Libéria, c’était environ le double. Nous avons transformé les élèves de deuxième année en élèves de quatrième année.

Tietjen a présenté les résultats des projets de lecture en maternelle de Creative financés par l'USAID en Yémen et Zambie-des projets dont elle a dit qu'ils étaient « très élevés » tailles d'effet in children’s listening comprehension and ability to identify sounds and letters.

Au Yémen, Par exemple, after four months of instruction under Creative’s early grade reading program, first and second graders could read 16.3 mots corrects par minute, compared to students in control schools who managed just six.

Cependant, Tietjen pointed out that positive changes dropped off at more advanced skills such as word decoding, reading fluency and reading comprehension.

“We’ve had really huge increases, we’re proud of ourselves for being able to move them from where we were at baseline,” said Tietjen of the first cohort of second grade students evaluated in Yemen. “But nonetheless we’re woefully under what we could consider acceptable.”

Lower your expectations?

Taking interventions to scale is key to USAID’s efforts to achieve Goal One. It’s Tous les enfants lisent: Un grand défi pour le développement partnership continues to work toward creating cost-effective reading interventions that can be grown from classrooms to countries.

But panelists agreed from experience that promising results in small-scale projects should not lead to assumptions about anticipated success when those initiatives are scaled up.

“We’ve not really looked across all these projects to see what it would take to really move the needle on reading, said Audrey-Marie Schuh Moore, Director of Monitoring, Evaluation and Research at FHI360.

“Each project has targets, but we need a more comprehensive cross-donor look on what actually works and what really influences education outcomes.”

As more evidence is collected from reading pilots, practitioners will be able to better understand why gains that were high in a pilot may not play out in the same way when taken to scale. The duration of the project, the “dosage” students and teachers received, and the context in which the project takes place are critical variables that development organizations must tease apart when evaluating what works.

Until then, expectation management is key.

“Maybe expecting half as you move from 60 schools to several thousand might be reasonable, maybe it’s a third,” said RTI’s Gove. “I think we’ll have to let that play out and see.”[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Au milieu d'un conflit, Le programme de lecture au Yémen réussit

mars 17, 2015

5 lecture min.

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Au milieu d'un conflit, Le programme de lecture au Yémen réussit

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]La routine quotidienne d'aller à l'école apporte un sentiment de stabilité aux enfants, en particulier ceux qui vivent dans des environnements pauvres et touchés par des crises.

Pour les enfants au Yémen, cette sécurité est en jeu alors que le conflit fait rage parmi les rebelles Houthis, Al-Qaïda dans la péninsule arabique et les forces gouvernementales. Garder les écoles ouvertes et dispenser une éducation de qualité est désormais plus essentiel que jamais.

Lorsque cela est possible, maintenir les enfants en classe et les programmes éducatifs en cours pendant la crise « donne en fait aux gens de l'espoir car ils voient la normalité à l'école se poursuivre.,» dit Joy du Plessis, L'éducation en temps de conflit expert chez Creative Associates International.

Surmonter les obstacles tels que l'absence d'état de droit dans de nombreux endroits, restrictions de circulation dans tout le pays, manifestations de rue fréquentes et départ de responsables gouvernementaux clés, le Approche de lecture en début de année au Yémen le programme s'est poursuivi et a réussi, déclare Atia Moor, responsable du programme. Le programme est financé par les États-Unis. Agence pour le Développement International et mis en œuvre par Creative.

Le programme reste sur la bonne voie pour offrir une formation et un encadrement à l'échelle nationale aux éducateurs sur ses méthodologie de lecture réussie basée sur la phonétique dans le cadre du mise à l'échelle nationale du programme de lecture.

Les niveaux de lecture des élèves se sont améliorés grâce à un apprentissage actif et à une approche basée sur la phonétique.

«Je crois que ces programmes sont plus que jamais nécessaires," dit Maure, notant que certaines agences gouvernementales qui fournissent des services ont réduit leurs capacités en période d'instabilité politique. « Le besoin de services sociaux doit être satisfait," dit-il.

Après que les rebelles Houthis ont pris le contrôle total de la capitale Sanaa en janvier, Le président Abdu Rabbo Mansour Hadi a démissionné de son poste. Fin février, il a fui la capitale et a rétracté sa démission.

Encore, alors que le gouvernement central est à bien des égards au bord du gouffre, le ministère de l’Éducation du pays reste opérationnel, dit Maure, jouer un rôle de premier plan dans la mise en œuvre et l'intensification de l'approche de lecture préscolaire au Yémen.

Dans un contexte d’incertitude qui règne à Sanaa et de conflits persistants dans tout le pays, Moor dit que des programmes comme celui-ci « donnent l’espoir aux gens que la prochaine génération pourrait avoir un avenir meilleur ».

Les enseignants du primaire se tournent vers l’avenir et s’attendent à des gains d’alphabétisation de la part de leurs élèves à mesure que le programme progresse..

« Je suis sûr que le système d'enseignement primaire au Yémen peut compter sur [Approche de lecture en début de année au Yémen],", a déclaré un enseignant lors d'une récente formation de recyclage à l'école Saba de Sanaa.. « J’ai hâte de voir les résultats dans trois ans!»

À l'échelle mondiale, les Nations Unies rapports qu'une estimation 30 des millions d’enfants vivant dans des zones d’urgence ou touchées par un conflit ne sont pas scolarisés en raison des attaques contre les écoles par des groupes armés, déplacement ou insécurité. Dans le passé, sur plusieurs années de conflit interne, Yéménite les écoles ont été ciblées par des groupes armés.

Le succès par l'instabilité

Même dans les pays les plus stables, accroître la capacité des gouvernements nationaux à pérenniser les programmes – et à tirer parti de leurs acquis – constitue un défi, et ces difficultés peuvent être aggravées par des conflits, quand les ministères changent de mains et que les progrès sont interrompus.

Cependant, la crise actuelle dans le pays n’a pas fait dérailler la mise en œuvre de l’approche de lecture préscolaire au Yémen ni fait reculer les progrès réalisés au cours des années et des mois précédant la crise actuelle..

Grâce à des partenariats étroits avec les responsables du ministère de l'Éducation au niveau du gouvernorat, l’approche de lecture préscolaire au Yémen a continué à renforcer les capacités nationales et à garantir que les niveaux locaux formations et coaching pour maîtres formateurs, les parents et les enseignants restent sur la bonne voie.

«Pendant les troubles actuels, la formation des coachs en alphabétisation est en cours, les enfants vont à l'école, les enseignants enseignent et notre personnel yéménite ainsi que les responsables du ministère de l'Éducation vont toujours travailler,» dit du Plessis.

Plus que 5,000 des éducateurs ont reçu des visites de coaching du ministère de l'Éducation sur l'approche de lecture préscolaire au Yémen.

À ce jour, plus que 5,000 les éducateurs utilisant l'approche de lecture préscolaire du Yémen ont reçu des visites de coaching par l'intermédiaire du ministère à Aden, Amant Al-Asimah Taiz, Amran, Abyan, Dhamar, Gouvernorats de Lah et Ibb. Ces visites apportent aux enseignants un soutien essentiel, même au milieu du conflit, et veiller à ce que les élèves acquièrent les compétences d'alphabétisation dont ils ont besoin pour réussir à l'avenir..

Utiliser l’approche de lecture au Yémen en début de année, les éducateurs font état d’un regain d’énergie en classe et de progrès positifs dans les niveaux d’alphabétisation des élèves.

«J'ai été professeur pendant 18 années et je peux dire avec confiance que [ce programme] est un outil révolutionnaire pour les étudiants de ce pays," a déclaré un maître formateur lors d'une formation de recyclage à l'école de Tokyo à Sana'a.. «Maintenant, je suis professeur principal et j'ai entendu de nombreuses histoires de réussite sur cette nouvelle approche de la lecture. Cette formation nous a donné le pouvoir de maintenir l'élan. »

Assurer le coaching des enseignants se poursuit même après la vie du programme, Le ministère de l'Éducation a accrédité le manuel de formation de supervision et de coaching du programme comme l'outil à utiliser pour le soutien et la supervision des enseignants dans toutes les matières à l'échelle nationale.

Ceci est le résultat de «l'excellente approche du programme, simplicité de la mise en œuvre et grand impact,»Dit Abdullah Othman, Directeur de la renforcement des capacités des enseignants dans le secteur de la formation au ministère de l'Éducation.

Avec le soutien du programme d'approche de lecture au Yémen Early Grade, le ministère a, pour la première fois, implémenté un Campagne nationale de sensibilisation sur l’importance de l’alphabétisation dès les premières années d’école et a informé les responsables du ministère du plan et de la mise à l’échelle du programme..

Le ministère a également pris l'initiative d'imprimer et de distribuer des livres et des manuels pour les élèves et les manuels de l'enseignant sur l'approche de lecture précoce au Yémen pour les enseignants et les élèves de première année dans tout le pays..

L’aide est plus que jamais nécessaire

Avec l’escalade du conflit au Yémen, notamment dans la capitale, de nombreuses ambassades, dont la France, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont fermé leurs portes. Cela a fait craindre que l’aide internationale au pays ne diminue également., à une époque où les enfants yéménites sont de plus en plus vulnérables, les rapports de l'ONU.

Il existe de nombreux obstacles opérationnels pour les programmes de développement travaillant dans cet environnement, dit Maure, "En plus de l'effet psychologique que la situation actuelle peut avoir sur nos collègues locaux."

Les responsables de la mise en œuvre doivent élaborer des plans d'urgence et, à l'occasion, déplacer les lieux pour les formations ou réévaluer les horaires.

Moor affirme que les donateurs devraient poursuivre leur travail malgré ou, peut-être à cause de, le conflit.

« Je pense que les donateurs devraient poursuivre leur travail dans cet environnement car la vie doit continuer et la plupart des bénéficiaires de ces programmes n'ont rien à voir avec le conflit actuel.," dit Maure.

Quand les tensions sont fortes, la continuité du programme redonne un sentiment de normalité à la vie des gens et, dans un environnement post-conflit, un pays doté d’institutions fonctionnelles et de la capacité de mettre en œuvre des programmes dans le domaine de l’éducation et d’autres secteurs sera mieux préparé à orienter le pays vers la reprise.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

A personal journey for social change from Monrovia to D.C.

mars 10, 2015

3 lecture min.

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I can still remember the night of Dec. 21 when I boarded the Air Maroc flight to Dakar, Sénégal. My mom traveled seven hours from rural Liberia to see me off. I had just celebrated my daughter’s second birthday the day before, and Ebola was still in full swing throughout the country.

As I boarded the flight, I kept asking myself, “Is the Atlas Corps Fellowship worth my entire 2015? Will my daughter remember me when I get back? How easy will it be to reintegrate into Liberian society when I return?»

I was painfully aware of how big this decision was, and just how much it could have an effect my own life—as well as the lives of the people I was leaving behind.

But this journey was about more than just living in another country, far away from the people and places I know and love. This journey would help me get the tools, knowledge and experience I needed to ramp up the technology for development and social change revolution back home in Liberia.

Arriving in D.C. was a total culture shock– the cold weather, the always available electricity, the people and the simple things like transportation systems.

Liberia has endured 14 years of on and off civil war, during which the country experienced one of the largest recorded economic collapses with national Gross Domestic Product falling by more than 90 pour cent de 1987 à 1995. Although the war ended in 2003, it left a legacy of extreme hardship—with almost two-thirds of Liberians living below the poverty line—severe capacity constraints, significant under-employment and a vast infrastructure deficit.

En fait, the first elected post-war government of President Ellen Johnson Sirleaf had to begin from scratch because all banking institutions, including the Central Bank of Liberia, were completely looted during the war. Even hospitals were looted, sometimes resulting in the destruction of doors and windows.

Lors de la dernière 10 années, the World Bank has consistently ranked Liberia as one of the world’s poorest countries. There is no round-the-clock electricity and good governance, quality health delivery systems, access to education and employment opportunities still remain huge challenges.

Growing up as a Liberian in the last two decades hasn’t been a smooth road at all. I have had to listen to gun shots as though they were music. I have tasted hunger and hardship, living part of my life in refugee camps in the Ivory Coast and Ghana.

And now, far from the refugee camps of West Africa, I am here as one of 17 Atlas Corps Fellow in Washington, D.C., where I’ll be supporting the Technology for Development team at Creative Associates International. Précédemment, I was Training Director at iLab Liberia.

Since my arrival in February, the most interesting part of this journey has been getting to know my fellow Fellows from different countries and continents, listening to their stories and learning about their cultures while sharing mine.

Living in the United States, joining the Creative team and being part of this fellowship is awesome, but even though everything is going well I am also constantly reminding myself that there will be challenges ahead. As exciting and promising as fellowships or studying abroad can seem (and usually are), the experience doesn’t come without its obstacles.

I am now facing the reality that I am in a foreign place, a new environment and a different culture. I am trying to enjoy every bit of it and to make my experience at my host organization, Créatif, worth remembering.

I am certain that there are and will be obstacles.

Cependant, the mission for which I came to the U.S. remains constant—learn, partager, network and return to Liberia to support my country by using new and old technologies to inspire social change.

À la fin, my personal journey will be one that not only brings about change in my life, but also changes the lives of hundreds and even thousands of my fellow citizens back home.

Femmes internationales’le jour de la Saint-Valentin 2015

mars 8, 2015

1 lecture min.

When Charito Kruvant and three other women founded Creative in 1977, they knew women could be part of positive change no matter what country they lived in. On International Women’s Day 2015, Charito talks about how Creative has never given up on its quest to empower women as active participants in their schools, communities and economies.

A Window of Economic Opportunity for Afghan Women

As the Afghan economy reels from a reduction in international funding and the withdrawal of international forces, female wage earners are becomingly increasingly critical to the economic development of the country. Many private sector employers are recognizing and capitalizing on the contribution of Afghan women.

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Women make an impact around the world.

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Is Non-Inclusive Economic Growth Sufficient for Stability and Competitiveness?

février 25, 2015

4 lecture min.

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In Egypt’s case, the short answer is no! Although it was the top reformer in 2008 and among the top ten reformers in 2009-10 as listed in the World Bank’s Doing Business reports, Egypt’s economic, social and political conditions were not ripe during the late 2000’s for spurring real economic stability and competitiveness.

Egypt’s potentially large market size, proximity to key global markets, emplacement, ressources naturelles, human capital and potential markets can significantly contribute to higher level of inclusive economic growth rates.

So why, despite these factors and its membership in many trade and investment organizations such as the Common Market for Eastern and Southern Asia (COMESA) and the Arab League, has Egypt not realized its economic growth potential?

Exclusion does not breed competitiveness

Prior to 2011, Egypt’s economy was not inclusive, despite enjoying relatively high growth. The non-inclusive nature of economic growth rates of above 5 percent was insufficient to both reduce poverty and create enough decent jobs. It also didn’t reach women, youth or disadvantaged groups.

During past decades, women and youth have suffered high rates of unemployment and less participation in the labor force. De plus, disadvantaged groups in rural areas and Upper Egypt have even higher poverty levels. The national poverty rate in 2011 (25.2 pour cent) was actually higher than it was more than 10 years ago in 2000 (16.7 pour cent).

Dans 2012, official estimates of the unemployment rates for youth ages 15 à 24 were around 25 percent and rising, and higher among females—over 35 pour cent. The informal sector is a huge part of Egypt’s economy, constituting nearly 82 percent of the total number of firms and employing nearly 40 percent of the labor force.

Prolonged unemployment, marginalization of youth and women, huge informal economies, extreme poverty and an uncompetitive private sector, among other factors, were drivers of instability.

The Egyptian economy today

In the recent 2014-15 World Economic Forum ranking, Egypt dropped to a rank of 119 de 144 countries in a competitiveness ranking. This reduced competitiveness has negatively impacted trade and investment in goods and services, and hence slowed economic growth even further.

Political and social transitions in 2011 et 2013 deeply impacted Egypt’s economy. Actuellement, Egypt faces substantial new challenges related to investment outflows, falling tourist arrivals, an unstable macroeconomic environment, an increasing informal sector and pervasive job loss.

These issues are compounded by pre-2011 economic challenges, many of which had been the driving forces behind major political shifts, including the ousting of the Muslim Brotherhood, a newly elected government, and a planned parliamentarian election in 2015 after a long-lasting non-democratic regime.

The country’s microeconomic policies, including the over-regulated and costly business regulatory environment, are binding constraints to private sector domestic and foreign trade and investment.

Trade and customs barriers, ease of doing business, tax policy, labor laws and regulations are current challenges. The higher the level of trade and investment in goods, the more opportunities emerge to help create jobs for the almost 800,000 new labor force entrants every year.

The macroeconomic environment has worsened over recent years because of a widening fiscal deficit, growing public indebtedness and continuing inflationary pressures. But Egypt’s macroeconomic policies seem to have had less of an impact on long-term political stability than typically attributed.

Though good macro-economic policies may be important for stimulating development, socioeconomic equality and inclusive growth are more influential long-term contributors to long-term stability.

How can Egypt change its course?

Egypt should focus on the inclusiveness of economic growth strategies by addressing employment issues of youth and women, supporting the informal sector and micro, small and medium enterprises and alleviating poverty, particularly in disadvantaged areas of rural and Upper Egypt.

It needs to put special focus on youth and women because they not only represent disadvantaged groups in terms of unemployment, but also represent largely untapped human resource potential. Supporting rural areas, Upper Egypt and other geographically disadvantaged areas will be a real challenge, but is critical for success.

The country also needs to foster a low-risk and low-cost business regulatory environment for both the formal and informal sectors in order to increase trade and investments, both of which will lead to the creation of new jobs.

Egypt will have to make it easier for businesses to operate, get permits and licenses, comply with laws and regulations and exit the market when they opt to—key factors to increasing productive economic engagement.

If Egypt can capitalize on its many advantages, accompanied by inclusive economic growth with a focus on improving labor skills and productivity, advancing micro, small and medium enterprises and entrepreneurship development, streamlining business processes, eliminating barriers to trade and investment and endorsing the formalization of the informal sector, the country will be able to create more jobs and provide for its continual flow of new entrants into the labor market with enhanced opportunities.[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row]

Programme d'amélioration de la compréhension écrite dans les collèges marocains

février 12, 2015

4 lecture min.

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Programme d'amélioration de la compréhension écrite dans les collèges marocains

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Fév. 12, 2015 -Les élèves des collèges marocains qui ont des difficultés à comprendre la lecture bénéficieront d'un nouveau programme, Creative Associates International annoncé. (www.CreativeAssociatesInternational.com)

Financé par les États-Unis. Agence pour le Développement International et mis en œuvre par Creative, le nouveau programme offre aux enseignants, et les coachs qui les accompagnent, avec de nouveaux matériels et méthodes pour renforcer les compétences critiques de compréhension en lecture et les intégrer dans les leçons quotidiennes du programme, y compris l'arabe, Français, cours de sciences et de mathématiques.

« La lecture ouvre un tout nouveau monde aux enfants," dit Charito Kruvant, PDG de Creative. « En atteignant les étudiants à une étape de transition aussi critique, ce nouveau programme aidera les adolescents à développer les compétences en lecture dont ils ont besoin pour réellement réaliser leur potentiel.

Au Maroc, les tests internationaux de lecture ont montré des performances en lecture constamment faibles chez les collégiens. L’évaluation nationale du Maroc a révélé que seul 25 pour cent des élèves de huitième année étaient capables de distinguer l'idée principale d'un texte de base, et seulement 4 pour cent pourrait résumer son contenu.

Les enseignants du collège manquent généralement des compétences et des ressources nécessaires pour amener les élèves en difficulté au niveau de performance en lecture., et ils présument souvent que les élèves maîtrisent déjà les compétences de compréhension écrite dès la septième année.. Cela signifie que les élèves en difficulté prennent encore plus de retard et risquent finalement d’abandonner leurs études..

Les huit mois et demi, $1.3 million "Lecture pour les compétences académiques et le développement individuel dans les collèges» (RASIDE) travaillera avec le ministère marocain de l'Éducation et de la Formation professionnelle pour former une cohorte de maîtres formateurs, notamment des inspecteurs scolaires et des instructeurs des écoles normales, sur les meilleures pratiques afin d'intégrer un enseignement efficace de la compréhension en lecture dans le programme scolaire existant du collège..

Les maîtres formateurs définiront des plans d'action qu'ils utiliseront pour former les éducateurs à l'échelle nationale, puis, en amplifiant l'effet des formations, fourniront un soutien continu en tant qu'entraîneur tandis que les enseignants donneront vie aux stratégies de compréhension en lecture dans les classes de septième à neuvième année..

« Travailler avec le ministère pour responsabiliser un groupe d'experts composé de maîtres formateurs, qui fera ensuite avancer le programme, est l'une des composantes qui aideront le gouvernement marocain à atteindre son objectif consistant à offrir un enseignement de lecture de qualité et des compétences critiques en lecture à des milliers d'élèves du collège.," dit Jerrold Keilson, Vice-président de Creative qui supervise la division Éducation.

Le programme financé par l'USAID soutiendra également les éducateurs avec un kit complet de programme de lecture améliorée en langue arabe destiné aux formateurs., entraîneurs et professeurs. Le kit comprend un guide du formateur, guide des entraîneurs, guide de l’enseignant et document de liens, qui explique comment les stratégies d'enseignement de la lecture peuvent être intégrées dans des leçons spécifiques du programme scolaire existant du collège.

Réussite scolaire antérieure au Maroc

L’équipe de mise en œuvre de Creative pour le Lecture pour les compétences académiques et le développement individuel dans les collèges Le projet a trois décennies d’expérience de collaboration avec le ministère marocain de l’Éducation et de la Formation professionnelle pour améliorer l’alphabétisation., renforcer les systèmes pédagogiques et améliorer les compétences des enseignants en classe.

Sous le Améliorer la formation pour l’avancement de la qualité dans l’éducation nationale projet (2009-2014), L'équipe de Creative a conçu et piloté le programme de lecture au collège, travailler avec le ministère de l'Éducation et de la Formation professionnelle et les centres éducatifs régionaux pour développer des kits de lecture pour les enseignants de matières, former un groupe de base de maîtres formateurs et évaluer les résultats d’apprentissage des étudiants.

Le projet pilote a été mené en 35 écoles dans huit districts de trois régions. Il comprenait 79 les enseignants et 503 étudiants, et a été suivi de la formation de 200 inspecteurs et formateurs d'enseignants.

Les tests de suivi ont montré des gains dans les compétences en lecture des élèves après l'expérience de huit semaines, et les enseignants ont déclaré que le programme développait leurs compétences pédagogiques et proposait des activités facilement adaptées qui les aidaient à répondre aux divers besoins d'apprentissage de leurs élèves..

« Notre équipe a la passion d'améliorer la qualité de l'éducation et de veiller à ce que chaque enfant ait accès aux compétences dont il a besoin pour réussir.," dit Keilson. «Mais nous avons aussi un palmarès au Maroc, créer des programmes éducatifs qui fonctionnent, s’adaptent au contexte et sont durables.

À propos de Creative Associates International

Creative Associates International travaille avec des communautés mal desservies en partageant son expertise et son expérience en matière d'éducation, croissance économique, gouvernance et transitions du conflit à la paix.

Basé à Washington, D.C., Creative a des projets actifs dans plus de 15 pays. Depuis 1977, cela a fonctionné pendant presque 90 pays et sur presque tous les continents. Reconnu pour sa capacité à travailler rapidement, de manière flexible et efficace dans des environnements touchés par des conflits, Creative s'engage à générer des solutions durables à long terme à des problèmes de développement complexes.

Créée par quatre femmes entreprenantes issues d’horizons divers, Creative est devenu l'un des leaders aux États-Unis. acteurs du secteur privé chargés de la mise en œuvre de projets de développement mondiaux. Creative est détenu et exploité par une minorité.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Maroc – Lecture pour les compétences académiques et le développement individuel dans les collèges

Programme

1 lecture min.

Creative worked with the Moroccan Ministry of Education and Vocational Training to boost reading comprehension in middle schools through the Reading for Academic Skills and Individual Development in Middle Schools (RASIDE). Le projet a été financé par les États-Unis. Agence pour le développement international.

The eight-and-a-half month project strengthened reading comprehension in middle schools by training master trainers—including school inspectors and teacher training college instructors—on best practices to integrate effective reading comprehension instruction into existing middle school curriculum.

By implementing action plans, these master trainers trained educators nationwide and provide ongoing coaching support as teachers bring reading comprehension strategies to life in seventh to ninth grade classes.

The program ensured the instructional techniques were readily mastered by teachers and easy to implement in the classroom. Trainers, coaches and teachers received a comprehensive Arabic-language Enhanced Reading Program kit with guidebooks and materials, containing sets of activities and explicit guidance for incorporating reading instruction into the middle school curriculum, assessing student learning and creating a “reading-conducive” environment.

Le nouveau cadre de sécurité électorale est essentiel lors d’élections à risque

février 5, 2015

4 lecture min.

[vc_row][largeur vc_column = »1/1″][vc_column_text]

Le nouveau cadre de sécurité électorale est essentiel lors d’élections à risque

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Cette année, les experts internationaux en démocratie traquent près de deux douzaines de personnalités, Des élections à risque du Yémen au Myanmar. Les politiques et pratiques visant à garantir la sécurité des élections sont désormais plus essentielles que jamais.

« La démocratie exige la participation pour tirer sa légitimité. Cette participation exige de la compétition, et cette compétition peut devenir violente,» dit Jeff Fischer, Conseiller électoral principal chez Creative Associates International et co-auteur de deux manuels sur Meilleures pratiques en matière de sécurité électorale et un Cadre de sécurité électorale, tous deux publiés par les États-Unis. Agence pour le développement international.

Ces manuels présentent des approches pour identifier les facteurs de risque de violence électorale, et concevoir et mettre en œuvre des stratégies pour prévenir, l'atténuer et y remédier lorsqu'il se produit. L’amélioration de la sécurité électorale est une composante indispensable du travail en matière de démocratie et de gouvernance au sens large., dit Fischer.

Les effets néfastes de la violence liée aux élections vont au-delà du cycle électoral lui-même et peuvent entraver le progrès démocratique longtemps après la clôture des bureaux de vote et la diminution de la violence..

La violence électorale « peut réduire la concurrence politique, diminuer l’accès à l’information sur les candidats et supprimer la participation électorale d’une manière qui diminue la légitimité des institutions gouvernementales élues,» explique Jeffrey Carlson, Directeur de l’intégrité électorale et de l’éducation chez Creative.

Mois dernier, Par exemple, à l’occasion du premier anniversaire des élections les plus violentes jamais enregistrées au Bangladesh, partisans des partis au pouvoir et de l’opposition s'est heurté violemment sur les questions non résolues sur la légitimité de ceux qui sont au pouvoir et les allégations persistantes de fraude électorale de l'année dernière.

Carlson dit que le Cadre de sécurité électorale et Meilleures pratiques en matière de sécurité électorale guide, développé et utilisé par Creative, sont des mesures pour lutter contre la violence électorale, « un obstacle largement reconnu à des processus électoraux crédibles et inclusifs ».

Alors que l’USAID et d’autres agences donatrices adoptent de plus en plus cet outil, il dit, les responsables de la mise en œuvre « peuvent appliquer une plus grande expérience comparative sur ce qui fonctionne dans ce domaine ».

Partiellement gratuit, très à risque

Pays les plus exposés au risque de violence électorale, et où les efforts de sécurité électorale devraient être concentrés, sont ceux classés comme «en partie gratuit» sur les indicateurs politiques et des droits civiques, dit Fischer.

Dans les États autoritaires, l’opposition politique est souvent bloquée avant d’avoir une chance de faire surface. Les élections n'existent pas non plus, ou c'est une imposture où le gagnant est prédéterminé, dit Fischer.

Dans les États libres, il dit, des élections pacifiques et équitables sont monnaie courante et les conflits sont non-violents et maintenus dans l'espace politique.

Toutes les régions du monde, Fischer souligne, ont été victimes de violences électorales et ses implications peuvent s'étendre et s'étendent effectivement au-delà des frontières nationales, affectant les communautés de la diaspora et la stabilité et le développement régionaux.

Multisectoriel & multipartite

Bien que la violence électorale soit centrée sur un conflit politique, un cadre global pour la sécurité électorale doit examiner la manière dont la violence électorale interagit avec d'autres questions importantes et souvent controversées, dit Fischer.

Les rivaux politiques exploitent-ils les jeunes sans moyens de subsistance ?, les incitant à prendre les armes pour un candidat? Les lois et pratiques interdisent-elles aux femmes de voter? Les auteurs de violences électorales sont-ils en liberté? Les médias diffusent-ils des incitations?

La sécurité électorale « n’est pas seulement une question électorale," dit Fischer. « C’est une question d’État de droit en raison de la culture de l’impunité.. C'est une question de femmes. C'est une question de société civile. C’est une question médiatique.

En raison de la nature multidimensionnelle de la violence électorale, Fischer décrit, les stratégies de sécurité électorale doivent être tout aussi multiformes et globales.

Léora Addison, Associé de direction en intégrité électorale et éducation chez Creative et contributeur au Meilleures pratiques en matière de sécurité électorale guide, dit: « Les solutions et approches en matière de sécurité électorale doivent inclure, s'engager et obtenir l'adhésion de plusieurs parties prenantes et secteurs, y compris politiques, État de droit, équité entre les sexes, les moyens de subsistance des jeunes et la réforme du secteur de la sécurité.

Des responsables de l’organisme électoral aux agents électoraux, tous les niveaux d'acteurs devraient participer aux efforts visant à soutenir la sécurité électorale afin que des problèmes aussi importants que la fraude électorale orchestrée et aussi localisés que les différends dans un bureau de vote soient gérés et désamorcés.. Impliquer les bonnes parties prenantes garantira également que les solutions sont spécifiques au contexte et durables..

« Une approche universelle de la sécurité électorale serait inefficace.," dit Addison. "C'est ce qui rend le Creative-authored, USAID Cadre et Meilleures pratiques guide tellement utile. Ce sont des outils permettant aux praticiens d’analyser les profils et les facteurs atténuants potentiels des conflits électoraux spécifiques à chaque endroit.

Violences orchestrées & tactique

Les éruptions d’affrontements de rue le jour des élections attirent souvent l’attention des médias, mais la violence liée aux élections est rarement un phénomène véritablement spontané, dit Fischer.

Lors de l’application d’un cadre de sécurité électorale à n’importe quel contexte, les praticiens doivent garder à l’esprit que la plupart des violences électorales sont organisées. «Il a un leadership et des forces de l'ordre," Fischer dit.

Ces orchestrateurs de violence peuvent utiliser des tactiques à n'importe quelle étape du cycle électoral, depuis l'intimidation lors de l'inscription des électeurs., à la violence dans les urnes, et menaces contre les candidats et les partis lors du décompte ou de l'annonce des résultats.. Les tactiques peuvent inclure la violence sexuelle, agression physique, déplacement stratégique des populations, destruction de biens ou intimidation personnelle.

En Afghanistan, Par exemple, Fischer affirme que les talibans ont empêché la participation des électeurs en publiant des « lettres nocturnes » dans les quartiers., menaçant de mutiler ceux trouvés avec de l'encre de vote sur les doigts le jour du scrutin.

"Combien de personnes s'auto-privent de leurs droits parce qu'elles sont intimidées par les lettres nocturnes, nous ne le saurons jamais," dit Fischer.

Le Cadre de sécurité électorale aide les responsables de la mise en œuvre à examiner les types de violence possibles à différentes étapes du cycle électoral, identifier les cibles et les auteurs de ces actes, puis concevoir des approches pour prévenir et atténuer l’impact de la violence.

Dans des contextes où les auteurs de violences disposent si souvent d’une vaste « boîte à outils » de tactiques pour inciter à la violence., les agences donatrices et les responsables de la mise en œuvre disposent désormais d'un cadre et d'outils qui leur sont propres pour restaurer et garantir la sécurité électorale alors que les pays s'efforcent d'obtenir des élections libres., équitable, des élections sûres et crédibles.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Drafting new constitution, Libyan civil society speaks

janvier 26, 2015

4 lecture min.

[vc_row][largeur vc_column = »1/1″][vc_column_text]

Drafting new constitution, Libyan civil society speaks

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Democracies are founded on the will of the people. But in al-Bayda, Libya—where members of the Constitutional Drafting Assembly have been working since April 2014 to create the framework for a democratic Libya—the voice of the people had been largely absent.

This changed in Dec. 2014, quand 10 representatives from 4 civil society groups took to the podium in the assembly’s chambers, speaking to assembly President Ali Tarhouni and 16 members from the body’s 8 committees.

Revealing their findings from focus groups held across the country, the speakers voiced the views of thousands of Libyans on key constitutional issues, including national reconciliation, local governance, extractive industries, the role of the army and police, transparence, youth and women’s rights.

“The role of civil society is vital to ensure Libyan citizens are engaged in the ongoing transitional efforts in Libya….Civil society organizations not only inform the public about transitional issues but, importantly, they gather public opinion in a certain geographical area or on a certain issue and are able to feed public opinion back to policy makers and lawmakers ensuring greater public participation in key transitional matters,” says Mansoor Mirza, Chef du parti pour le Libyan Engagement and Governance through Applied Learning program.

The program works to boost organizations’ ability to build consensus and influence the constitutional drafting process. Il est financé par les États-Unis. State Department’s Initiative de partenariat au Moyen-Orient et mis en œuvre par Creative Associates International.

“Civil society has a unique opportunity to play a meaningful role in Libya’s transition. But this may be hard won, given the current tensions in country,” says Kourtney Pompi, a civil society trainer for the program.

Libya has been plagued by political tensions and militia fighting since the fall of Muammar Gaddafi. Gaps in citizen knowledge about the new political process and a lack of technical experience have also prevented civil society from playing an active role in dialogue and advocacy around the new constitution.

The ABCs of advocacy

Photo par: Women and Youth Empowerment Forum

During an intensive four-day workshop in Djerba, Tunisie, the program’s grantees gained skills in in building consensus, spearheading advocacy, formulating policy and reaching out to media.

“Prior to the trainings, le [organisations de la société civile] lacked focus and specificity in their messaging,” says Michael Wasco, a constitutional attorney and a trainer for the program. “The trainings and discussions helped the groups distill their positions and data into succinct and clear recommendations.”

Participants in the training represented the Libyan Public Policy Forum (LPPF), Women and Youth Empowerment Forum (WYEF), National Caucus Fazzan (NCF) et H2O, a youth organization.

During the past several months, the groups have held public forums around the country, collecting citizens’ opinions and concerns on key constitutional issues and turning those into policy points to deliver to the Constitutional Drafting Assembly.

Wasco says that through role play scenarios, mock presentations and consensus-building and communication exercises, participants sharpened their oral presentation skills and messaging.

Pompi adds that the trainings also helped groups crystallize their policy positions and understand “the value of being direct about what they wanted from the [Constitutional Drafting Assembly] members.”

In a heated and divisive political environment, Pompi says, the civil society trainees are now better prepared to discuss priority issues with officials and other groups with dissenting perspectives or priorities.

“Remaining politically impartial in a highly polarized and uncertain political environment is vital in establishing and maintaining trust with the [Constitutional Drafting Assembly],” says Mirza.

Through their trainings, the civil society organizations learned how to present their findings so that they were not seen as “pushing a particular political agenda but were providing objective information gathered from nationwide citizen public forums that is important for constitution drafters in ensuring the constitution reflects public opinion,” Mirza says.

Connections for democratic engagement

At the groups’ presentation in al-Bayda, President Tarhouni said he hoped that there would be a greater level of coordination between civil society and the assembly in the upcoming public consultation phase of the constitutional drafting process.

In bilateral conversations following the meeting, individual civil society representatives and assembly members established personal connections for ongoing communication. This engagement with individual assembly members on an individual constituency basis is key, says Mirza.

À ce jour, the four organizations trained through the Libyan Engagement in Governance through Applied Learning program are the only civil society groups that have met with assembly members directly in al-Bayda to discuss the constitution.

This government-civil society relationship will be critical to a successful constitution-drafting process. Although program grantees, and other civil society groups, can hone their organizing and advocacy skills through training, their efforts will be ineffective if they are met with closed doors and deaf ears, say program trainers.

“Civil society has an opportunity to contribute to consensus building within the country, as they have the trust of their communities, if government is willing to engage them meaningfully in the transition process,” says Pompi.

These meetings are an important step toward this successful democratic transition.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Holding out Hope for Children and Youth

janvier 20, 2015

3 lecture min.

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As I safely tuck my 6-year-old son and 1-year-old daughter into bed, I am still thinking about the 2015 UNICEF report on the State of the World’s Children that I read this morning. As a youth development professional and advocate, and as a parent, it is difficult to read the remarks of Anthony Lake, UNICEF Executive Director, declaring 2014 a dire year for the 15 million children that fell victims of major conflict and crisis globally.

“This has been a devastating year for millions of children,” Lake wrote in the report. “Children have been killed while studying in the classroom and while sleeping in their beds; they have been orphaned, kidnapped, tortured, recruté, raped and even sold as slaves. Never in recent memory have so many children been subjected to such unspeakable brutality.”

The situation is especially heartbreaking given that 2014 marks the 25th anniversary of one of the most important declarations for children globally: the Convention on the Rights of the Child.

The results of the Convention have been tremendous, from lowering infant mortality to raising school enrollment. Cependant, the UNICEF report serves as a reminder and a call to action, imploring us to not rest on our laurels.

A more helpful way to address youth issues

There is still so much to be done, especially for the children and youth in conflict and crisis environments where the violation of their rights often has irreversible outcomes as they transition through adolescence to adulthood.

In Central African Republic, où 2.3 million children are affected by the conflict, armed groups are believed to have recruited up to 10,000 children with close to 500 décès. In South Sudan, une estimation 235,000 children age 5 and younger are suffering from severe acute malnutrition with close to 750,000 children displaced and more than 320,000 living as refugees, according to the report.

Encore, in spite the terrible figures revealed in the report and the challenges for youth in so many countries, there remains hope for millions of children and youth effected by conflict and crisis.

If we assume all children, especially those who are marginalized, should and can have the same opportunities as those in safer or more developed countries—and we build community support to make those opportunities real for them—we can still give children and youth pathways to positive futures as we enter the Post Millennium Development Goals era.

Creating more asset-based youth initiatives, which build on assets instead of honing in on risks and challenges, can enable young people to change their life’s trajectory and become responsible contributors to their communities. It’s a much more positive, and we think effective way of addressing issues affecting youth.

Par exemple, at-risk youth living in violent, crime-affected communities in Honduras have explored viable life alternatives through Jeune Alliance Honduras (Youth Alliance) programme, qui est financé par l'USAID et mis en œuvre par Creative.

Ici, where violent crime and gangs rule the lives of families and neighborhoods, this program countered the risk factors by providing more than 20,000 children and youth with computer literacy, formation professionnelle, tutorat, life skills and leadership opportunities—first and second chances to build resilience and engage in something positive.

Créatifs Northern Nigeria Education Initiative fostered enabling environments for orphans and vulnerable children and youth, particularly adolescent girls and boys in informal Qur’anic schools. In these environments, vulnerable youth learned core academic concepts, received job and life skills training and accessed critical psychosocial support in one of today’s most confusing and violent environments for children.

Making new statistics

These two initiatives show us that, although children and youth around the world are too often victimized, they don’t always have to be victims.

Young people who find opportunities to engage their minds, learn new skills and involve themselves in their communities can form the ranks of another kind of statistic—the numbers of youth who are successfully using their own assets and resources to withstand so much negativity and create a positive future for themselves.

As the UNICEF report suggests, 2015 is a pivotal year for the field of children and youth development, and we must renew our commitment to the protection of their rights and creation of hope and opportunity.

Experts: Mideast youth radicalism is “public health crisis”

janvier 16, 2015

5 lecture min.

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Experts: Mideast youth radicalism is “public health crisis”

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]In refugee camps across Jordan, Liban, Turkey and other countries, plus que 3 million Syrians live in limbo. Especially for those in their teens and twenties, their life plans—education, careers, marriages and families—are suspended while a violent civil war at home rages into its fourth year.

“If you go into a refugee camp, every day is Ground Hog’s day. There is no tomorrow and there is no yesterday. Every day is frozen," dit Curt Rhodes, Founder and Director of Questscope, which works across the Middle East to create social, educational and entrepreneurial opportunities for marginalized youth.

Rhodes joined other experts in youth, development and stabilization on a panel entitled “Youth Programming in Jordan and Syria,” hosted by Creative Associates International on Jan. 6.

With the spread of EIIL and other extremist groups in an already unstable region, preventing marginalized young people from joining violent extremist groups is becoming a development and security priority.

Outside of the Middle East’s conflict hotspots, many youth in transitioning countries like Egypt and divided ones like Lebanon are also adrift. Avec plus de 100 million jeunesse âgée 15-29 in the region and a youth unemployment rate of 28 pour cent, economic opportunities are slim.

Authoritarian governments and nascent, backsliding democracies leave youth with the “inability to feel like they had any say not only in their governments but even in their communities," dit Richard Jaskot, Director of Stabilization and Development at Creative.

Criminal treatment breeds criminal youth

To stem radicalization among youth, Rhodes said, governments and practitioners first need to adjust the lens through which they view the problem.

In the Zaatari refugee camp in Jordan and other communities where Questscopoe works, Rhodes said youth in juvenile detention centers often report being mistreated and abused by authorities. This abuse within a system meant to reform at-risk youth can in fact lead to even more alienation and violent behavior.

“The fact that you treat them in a criminal way helps them become better criminals," il a dit.

Rhodes said that rather than labeling at-risk, marginalized youth as criminals to be tracked and punished, we should view radicalization among youth as a public health crisis, looking at its causes and symptoms and striving to reduce its spread.

Countering radicalization with connection

While headlines speak of new “recruits” to groups like ISIL and “recruitment” campaigns via social media, experts say that those who join these violent groups are largely seeking out membership, “auditioning” in the words of Guillermo Céspedes, Crime and Violence Prevention Advisor at Creative who has developed youth gang and violence prevention efforts in Las Angeles and throughout Central America.

Rhodes agreed that young people who join radical, violent groups are searching for them, largely pushed by marginalization and other risk factors.

“Terrorists are looking for a place to hire them," il a dit. “They don’t get recruited.”

What they are often also seeking, said Rhodes, is connection and a sense of purpose.

Many young Syrians living in camps, have lost all their relationships to death or separation and do not know where loved ones have ended up outside of the country, il a dit, leading to a kind of “mental health crisis.”

Adolescence and early adulthood is a time when people seek meaning and define their social identities.

But deprived of connections, living in chaos and with a world of radicalism at their fingertips, Rhodes said, “I can be searching for my social identity in Aleppo, Syria and a guy in Brighton, England who is searching for his social identity—we can find each other and we can talk. We can be economically marginalized but we are no longer politically marginalized.”

Reestablishing relationships, particularly with adults but also with peers in a supportive environment, Rhodes said, can recreate a lost sense of family, identity and relationships and can prevent youth from seeking out connections and meaning in a radical movement.

Restoring agency & opening pathways

In seemingly dead-end situations from refugee camps to authoritarian societies where young people feel they have no legitimate means to affect change, said Creative’s Jaskot, youth may reason that “if [extrémisme violent] is the only way you can make a difference then maybe try it.”

Giving youth avenues to regain a sense of purpose and personal agency, Rhodes said, is key to combatting extremism among youth.

“Everyone wants to know that I can do something and the thing that I am doing actually matters,” said Rhodes.

Where few opportunities for education, revenu, political participation and social status exist, governments and program implementers need to step in with viable opportunities for youth as alternatives to radicalism, les panélistes ont dit.

Often when programs to reach marginalized youth do exist, they are ill-fitting and ineffectual having been designed by adults outside of the Middle East, dit Éric Rusten, Education for Development expert at Creative and co-author of the Les jeunes parlent méthodologie et boîte à outils, a youth-led process of investigating an issue that affects them and mobilizing community action to address it.

Rusten said that programming geared towards vulnerable youth must put youth at the center so that those doing the bulk of the talking, thinking, idea-generating and implementing are the same young people who are supposed to benefit from the program.

This leadership is empowering for young people, agreed Rhodes.

“Out of your situation, if you feel like you can tell your story and it is told in such a way that people listen to you, you feel like you are on a different trajectory,” said Rhodes.

By the thousands

Violent extremism among youth is a problem that transcends borders. Marginalized young people from the camps of Jordan to the hearts of major cities around the Middle East and in the West are susceptible to this epidemic.

To be successful, initiatives to combat violence and extremism can’t just “go after the low hanging fruit,” said Creative’s Cespedes. Programs must engage those who are most on the brink of violence and radicalization and even those who are already involved in radical groups.

Rhodes said that although many youth in the Middle East perceive that the Western model for political and economic prosperity and security has failed, this does mean those youth are unreachable.

“We have to figure out how to get in dialogue with people who don’t particularly like us and people we don’t particularly like," il a dit.

Effective efforts to counter youth radicalism in the region will also require scaling up programs like Questscope and Youth Speak that have been successful at generating positive relationships, restoring personal agency and opening opportunities for marginalized youth

“You can’t do it on a hundred kids, you’ve got to think in terms of thousands,” said Rhodes.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]