[vc_row][largeur vc_column = »1/1″][vc_column_text]
[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]
M. Larry Hearn has joined Creative to launch and lead the Workforce Development Practice Area within Creative’s Economic Growth Group.
M. Hearn has over 17 années d'expérience en développement international, most of which was spent in senior management positions leading USAID-funded projects overseas. Plus récemment, M. Hearn served as the Deputy Program Director for Operations as well as the Managing Director for Workforce and Organizational Development at the American Institutes for Research.
He has also served as the Deputy Chief of Party and Director of Professional Services, USAID/Ukraine, Public-Private Partnership Development Program (P3DP); Chef de parti, USAID/Jordan, Aqaba Community and Economic Development Program; Chef de parti, USAID/Armenia, Residential Heating Project; Chef de parti, USAID/Egypt, Agricultural Exports and Rural Incomes (AERI); Chef de parti, USAID/Egypt, Partners for a Competitive Egypt (PfCE); and Chief of Party, USAID/Egypt, Management Development Initiative (MDI). The MDI project won the USAID Human Capacity Development Project of the Year Award in 2000.
M. Hearn has an MA in Education from the University of North Texas, and MBA from the University of Texas, and a BS in Engineering from Texas A&Université M.. He holds a Human Performance Improvement Certification.
Bienvenue à Creative, Larry![/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]
Le projet de moyens de subsistance de la communauté de l'USAID (CLP) est en tête de la participation d'une délégation du secteur du café yéménite de sept membres à la conférence internationale sur le café spécialisé à Boston, Massachusetts prévu en avril 10-14, 2013. L'événement est organisé par le Association du café spécialisé de l'Amérique (SCAA). Les parties prenantes et les experts du café du monde entier participeront à la conférence de Boston et discuteront des questions liées à la qualité du café et au marketing.
Dans ses efforts pour améliorer le café et l'agriculture au Yémen, Le projet communautaire des moyens de subsistance a développé un partenariat avec le Institut de qualité du café (CQI), Une organisation à but non lucratif travaillant à l'international pour améliorer la qualité du café et la vie des personnes qui la produisent par la formation et l'assistance technique pour augmenter la valeur, volume, et durabilité de la production de café de haute qualité.
Pour poursuivre la conversation sur l'introduction du café yéménite sur le marché international du café, Une réception aura lieu la semaine prochaine à Washington D.C. Pour discuter du secteur du café yéménite et des opportunités de croissance avec un public qui comprend des représentants du Congrès américain, Gouvernement yéménite, Usaid Washington, et le secteur privé.
Ingrid Graves (Washington, CC)
“There is one universal truth, applicable to all countries, cultures and communities: violence against women is never acceptable, never excusable, never tolerable.”United Nations Secretary-General Ban Ki-Moon chose these words to introduce “A promise is a promise: Time for action to end violence against women,” this year’s theme for International Women’s Day. His message to strengthen this commitment resonates universally because it connects women at the human level.
Linked by their common humanity, women across borders play a central role in their societies, especially those recovering from conflict. (suite…)
[vc_row][largeur vc_column = »1/1″][vc_column_text]
[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]
« Je suis particulièrement heureux de l’engagement du Maroc à s’attaquer au problème profondément préoccupant du mariage des enfants.. Nous savons que les épouses enfants ont moins de chances de recevoir une éducation, plus susceptible de faire face à des problèmes potentiellement mortels, en particulier autour de la naissance et de l'accouchement, ce qui non seulement les lése, mais peut même les priver, eux et leurs communautés, de leur vie et de leurs talents.. "
Avec ces mots prononcés lors de la séance plénière d'ouverture du dialogue stratégique États-Unis-Maroc, l'ancienne secrétaire d'État Hillary Clinton a reconnu au ministre des Affaires étrangères Saad-Eddine Al-Othmani les efforts de son pays pour lutter contre la pratique du mariage des enfants et y mettre fin. Dans son discours d'ouverture, La secrétaire d'État Clinton a fait référence à la longue histoire de partenariat qui existe entre les États-Unis et le Maroc., remontant à 1777, et l'intérêt mutuel que les deux pays doivent actuellement engager, éduquer, et donner l'opportunité aux jeunes.
L'histoire d'Aziza et de Fatima démontre de manière tangible le résultat positif de ces efforts mutuels des deux gouvernements.. Aziza et Fatima sont 15 ans et vit dans les villages de Douar Lkhmirate et Douar Ouled El Khadi dans la campagne marocaine, 15 km d'Ibn Baja, le collège qu'ils fréquentent. L'année dernière, les filles ont vécu une expérience très similaire et frappante: Leurs parents les ont forcés à quitter l'école pour des raisons essentiellement financières. Les parents ne croyaient pas pouvoir trouver les moyens de payer le logement l'année suivante., car les filles étaient affectées dans un lycée d'El Jadida, une distance trop longue pour parcourir quotidiennement.
La loi marocaine interdit très clairement le mariage aux personnes n'ayant pas atteint l'âge légal de 18. Cependant, dans les zones rurales, l’application s’avère parfois plus difficile. Parce qu'ils n'avaient pas prévu que leur fille poursuive ses études secondaires, Les parents d’Aziza se sont arrangés pour qu’elle épouse un travailleur qui vivait avec la famille. Dans le cas de Fatima, sa mère pensait qu'elle devrait travailler dans les champs pour aider la famille et élever sa petite sœur, puisque « de toute façon, elle n’a pas longtemps avant de se marier et d’avoir ses propres enfants.
Mais à l'école, Aziza et Fatima avaient participé à un club de compétences de vie/employabilité de l'USAID. Quand les pairs d’Aziza et Fatima constatent leur longue absence, ils ont vite compris qu'ils avaient besoin d'aide: « Nous avons appris à penser aux autres et à essayer de les aider. Ce sont des valeurs humaines que nous avons apprises grâce au club et qui nous ont rapprochés. »
Un jour, leurs pairs du club ont organisé leurs pensées, a choisi un porte-parole pour le groupe, et est allé voir le directeur du programme pour le sensibiliser à la situation d'Aziza et de Fatima.. Ensemble, ils ont rendu visite aux deux familles et convaincu les parents de laisser leurs filles terminer l'année scolaire et poursuivre leurs études.
Quand les filles revenaient après deux mois d'absence, leurs pairs ont partagé leurs notes de cours et les ont aidés à rattraper les travaux manquants, pour qu'ils puissent se préparer aux examens finaux. Aziza et Fatima ont toutes deux excellé et ont pu trouver un logement à proximité du lycée d'El Jadida.. Merci à ce programme, Aziza et Fatima peuvent poursuivre leurs études, choisir quand se marier, et finalement construire leur avenir.
—Mounya El Asri et Ingrid Graves, Communications[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]
[vc_row][largeur vc_column = »1/1″][vc_column_text]
[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]
My first experience in an active conflict was in Angola during the height of the war. Though I would later work in over a dozen countries recovering from armed conflict, those experiences would never equal the images I witnessed in Angola. Thirty years of warfare had destroyed the rural countryside and shattered the agricultural livelihoods of the majority of the population. Roads, bridges, écoles, stores, government buildings, and irrigation systems had been decimated, and the landscape was littered with bombed out military vehicles. The prolonged conflict displaced hundreds of thousands of people, shattered the social cohesion of rural communities, and undermined trust between neighbors. Landmines maimed adults and children alike, crippling them for life and destroying their livelihoods. In spite of massive oil revenues, extensive diamonds exports, and large scale humanitarian support, recovery of the agricultural sector has to this day been minimal. This baptism of fire into Africa’s longest war brutally introduced me to the exhausting challenges of post-conflict economic recovery.
Twenty years later, numerous other countries have suffered negative consequences from conflict and have struggled to rebuild their economies. In many affected areas, agriculture is the principal livelihood. As implementers, we should ask, what have we learned from the efforts of governments and international agencies to restart agriculture? Dans 2008, USAID published A Guide to Economic Growth in Post-Conflict Countries, which included a chapter on agriculture, identifying key elements to consider when promoting market-driven agricultural development in post-conflict settings and providing illustrious examples of successful programs. Cependant, depuis 2008, programming experience has expanded considerably, as has the capacity to monitor and evaluate interventions. We now have an opportunity to take stock of our collective experience, assess, and reflect on how new evidence compares and contrasts to the manual’s guidance.
À cette fin, Creative U’s Conflict Action Research Network (CARN) hosted a conference entitled “The Role of Agriculture in the Economic Growth of Post-Conflict Countries” on January 14, 2013. Case studies from Rwanda, Irak, Yémen, and West Bank/Gaza exemplified the diversity of experience as well as the commonality of challenges. Creative’s Community Livelihoods Project (CLP) in Yemen documented the need to adjust to fluctuating conditions, which requires rethinking and reprogramming. In spite of a shifting landscape and changing donor priorities, the CLP team developed and implemented highly effective program activities that directly benefitted large number of farmers and dramatically improved their livelihoods. The other case studies similarly illustrated the importance of being able to adapt quickly to the circumstances on the ground. The manual provides excellent guidelines, but projects must “have their ear close to the ground” in order to respond most effectively to the actual reality on the ground while maintaining a long-term, strategic view.
Future conferences and workshops to discuss further the role of agriculture in economic growth are planned. We hope these discussions will result in a final outcome of thoughtful, well-designed programming that plants seeds of hope for a prosperous and peaceful future.
— Thoric CederstrÖm, Directeur, Domaine de pratique des moyens de subsistance[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]
[vc_row][largeur vc_column = »1/1″][vc_column_text]
[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Au cours des deux dernières années, au cours de ce que l'on appelle le « printemps arabe »," l'effondrement de régimes en place de longue date dans des pays comme la Tunisie, Egypte, et la Libye a créé un espace de contestation politique que les citoyens de ces pays n'avaient jamais connu auparavant..
Ayant démontré leur force par des actions dans la rue, les citoyens du Printemps arabe considéraient les processus électoraux comme cruciaux pour légitimer le gouvernement, promouvoir la responsabilité et la bonne gouvernance, ainsi que de contribuer à la stabilité nationale. Même si les élections peuvent répondre à ces besoins si elles sont administrées de manière impartiale et dans un environnement pacifique, ils peuvent également déstabiliser les nations et délégitimer les gouvernements s’ils sont embourbés dans les conflits et la violence.. Qui plus est, le potentiel de violence peut éloigner les citoyens des urnes et dissuader les candidats de faire campagne ouvertement. Les événements récents en Libye et dans d’autres pays prouvent que, malgré des progrès et des gains remarquables dans le monde arabe, ces processus et transitions en cours restent fragiles. Cela a des implications particulières pour d’autres pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. (MENA) la région devrait organiser des élections dans les mois à venir – si les prochains scrutins devaient connaître des conflits et des violences, les transitions risquent de dérailler, et la légitimité des gouvernements remise en question.
Reconnaissant la menace que la violence fait peser sur l'intégrité des élections, au cours de la dernière année, Creative a travaillé avec l'État- et les acteurs non étatiques du monde entier pour élaborer des stratégies visant à prévenir, gérer, et arbitrer les conflits et la violence liés aux élections. Grâce à un programme financé par l'USAID pour aider l'État- et les acteurs non étatiques présents dans ces endroits gèrent les conflits potentiels entourant les prochaines élections., Jeff Fischer et Patrick W de Creative. Quirk a effectué des évaluations de la sécurité électorale en Afghanistan, Burundi, Guatemala, et les Philippines. Ce faisant, ils ont utilisé le cadre de sécurité électorale – Manuel d'orientation technique destiné aux responsables de la démocratie et de la gouvernance (Cadre), que Creative a développé pour l'USAID.
S'appuyant sur les conclusions de ces évaluations et d'entretiens approfondis avec des experts du monde entier, en janvier, l'USAID a publié le Guide des meilleures pratiques en matière de sécurité électorale – Un guide pour la programmation en matière de démocratie et de gouvernance. (Guide). Le Guide fournit aux professionnels du développement de l’USAID, ainsi que les décideurs et praticiens de l’assistance électorale et de la prévention des conflits, avec un aperçu global des meilleures pratiques en matière de programmation qu'ils peuvent utiliser pour concevoir des interventions visant à prévenir, gérer, ou arbitrer les conflits électoraux et la violence. Dans le contexte de la sécurité électorale, le Guide définit une « meilleure pratique » comme une politique, pratique, ou une intervention de programme qui a démontré des résultats mesurables dans la prévention des conflits électoraux, gestion, ou médiation. Le Guide présente les meilleures pratiques organisées par: 1) phase électorale; 2) domaine thématique; et 3) politique, pratique, ou activité de programme par partie prenante étatique et non étatique.
Le Guide est le volume complémentaire du Cadre, qui décrit une méthodologie d'évaluation pour développer un profil des menaces potentielles aux processus électoraux afin que les donateurs et les gouvernements partenaires puissent développer des réponses programmatiques pour prévenir, gérer, ou arbitrer de telles menaces. Dans son travail, Creative a utilisé le Framework pour effectuer des évaluations de la sécurité électorale en Afghanistan, Bangladesh, Burundi, Colombie, Guatemala, Haïti, les Philippines, Zambie, et le Zimbabwe.
Le Cadre et le Guide sont des outils que les acteurs de la région MENA et au-delà peuvent appliquer pour concevoir des stratégies et des interventions visant à prévenir, gérer, et arbitrer la violence et les conflits entourant les prochains scrutins et contribuer ainsi à garantir que les citoyens ont la possibilité d'exprimer leur opinion et d'avoir un impact concret sur l'avenir de leur société..
-Patrick W.. Bizarrerie, Gestion et atténuation des conflits
[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]
Catharine Corbin (Washington, CC)
Initialement conçu pour soutenir la mise en œuvre du 2005 Comprehensive Peace Agreement, le Health Education and Reconciliation (ENTENDRE) projet is currently in its seventh year of implementation and is building the capacity of community members, représentants du gouvernement, éducateurs, and health workers to foster sustainable access to quality education and health services. Although the English is the language of instruction in South Sudan, many teachers were originally trained in Arabic or other local languages. Through HEAR, teachers build their skills and confidence to teach effectively in English. HEAR has worked in the border regions between the North and South Sudan since 2006 and now implements programming in four northern states in South Sudan. Since South Sudan’s independence in July 2011, the HEAR project has shifted its focus to target internally displaced persons and returnees in the Republic of South Sudan zones of Agok, as well as the surrounding states bordering the North: Warrap, Bahr el Ghazal du Nord, Western Bahr el Ghazal, and Unity. (suite…)