Afrique de l’Ouest – Commerce & Centre d'investissement

Programme

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Le commerce de l’Afrique de l’Ouest & L’activité du pôle d’investissement a catalysé la croissance économique de la région en attirant les investissements privés, renforcer les réseaux d’affaires et dynamiser les secteurs agricole et commercial au Nigeria, Sénégal, Côte d’Ivoire, Ghana et autres pays d'Afrique de l'Ouest.

Afrique de l'Ouest’son potentiel économique, avec une population de plus 360 million, fait face à des obstacles tels que l’instabilité politique, investissements limités et réseaux d’affaires faibles, entraver la croissance économique et le développement dans toute la région. Ces défis ont particulièrement touché les petits exploitants agricoles, limiter leur production et leurs profits et exacerber l’insécurité alimentaire et la pauvreté.

Le Trade Hub a utilisé une approche basée sur le marché pour relever les défis économiques en Afrique de l'Ouest.. Le programme a élargi le secteur agricole et amélioré la production et les bénéfices des petits exploitants agricoles grâce à des pratiques agricoles innovantes et à l'adoption de technologies en renforçant les liens entre les producteurs et les marchés à travers diverses chaînes de valeur., y compris le maïs, riz, soja, niébé, et l'aquaculture. Dans le cadre de Nourrir l'avenir, les États-Unis. Initiative du gouvernement contre la faim et la sécurité alimentaire dans le monde, les activités du Trade Hub ont amélioré la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles et augmenté les revenus des ménages.

En plus, le programme a renforcé le niveau national, marchés régionaux et internationaux pour des biens comme les vêtements, anacardier, et du cacao, faciliter le commerce avec les États-Unis. en tirant parti de Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique. Le Trade Hub a également donné la priorité à l’inclusion du genre, donner aux femmes les moyens d’augmenter les revenus des ménages, acquérir de nouvelles compétences, et créer des petites entreprises. Grâce à des fonds de co-investissement totalisant $60 millions sur cinq ans, le programme vise à attirer $300 millions d'investissements du secteur privé, améliorer les opérations commerciales, et accroître l’accès au financement pour les exportateurs, à terme, moteur de la croissance économique et du développement en Afrique de l’Ouest.

Le Trade Hub rassemble un consortium expérimenté de responsables de la mise en œuvre et un vaste réseau de partenaires du secteur privé.. Le projet est financé par le NOUS. Agence pour le développement international et mis en œuvre par Creative Associates International. Les partenaires de Creative incluent Dalberg, Pragma, Cultiver de nouvelles frontières en agriculture, Connectus Corp.. et Fraym.

Réalisations du programme

Augmentation des investissements du secteur privé

Le Trade Hub administré $60 millions de dollars en fonds de co-investissement pour attirer $300 millions d'investissements du secteur privé, stimuler la croissance économique et le développement en Afrique de l’Ouest grâce à des investissements accrus dans l’agriculture, commerce, et d'autres secteurs.

Amélioration de la productivité agricole et des bénéfices pour les petits exploitants agricoles

En employant des pratiques agricoles innovantes et l’adoption de technologies, le programme a amélioré la productivité agricole et les bénéfices des petits exploitants agricoles au Nigeria et dans d'autres pays d'Afrique de l'Ouest, conduisant à une augmentation des niveaux de production et à une croissance des revenus des agriculteurs.

Réseaux d’affaires et liens avec le marché renforcés

Le Trade Hub a travaillé pour renforcer les réseaux d’affaires et les liens avec les marchés en Afrique de l’Ouest, en témoigne l’augmentation des volumes d’échanges et des partenariats entre entreprises, tant au niveau local qu'international, faciliter la croissance économique et l’expansion du commerce dans la région.

Autonomisation des femmes et des jeunes grâce à un accès accru aux opportunités économiques

Le programme a donné la priorité à l’inclusion du genre et à l’autonomisation des jeunes., accroître l’accès aux opportunités économiques pour les femmes et les jeunes en Afrique de l’Ouest, conduisant à une croissance des revenus des ménages, développement des compétences, et la création de petites entreprises, contribuer à terme à la réduction de la pauvreté et au développement durable.

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Afrique de l'Ouest

Feed the Future Trade and Investment Hub launches in West Africa

octobre 29, 2019

3 lecture min.

WASHINGTON — A hub for international investment and trade aims to improve the competitiveness of the private sector, generate $300 millions d'investissements du secteur privé, and catalyze economic growth in West Africa.

Le Nourrir l’avenir du Centre de Commerce et d’Investissement en Afrique de l’Ouest, financé par le NOUS. Agence pour le développement international, travaillera dans toute la région de l’Afrique de l’Ouest pour attirer des financements et des investissements, établir des liens entre les entreprises et les institutions de soutien, et renforcer les secteurs agricole et commercial au Nigeria, Sénégal, Côte d’Ivoire, Ghana et autres pays d'Afrique de l'Ouest.

Associés créatifs internationaux will implement the Trade Hub with key partners including Dalberg, Pragma, Cultiver de nouvelles frontières en agriculture, Connexus Corporation, et Fraym, along with strong private-sector alliances.

Président-directeur général créatif Leland Kruvant said this consortium’s combined expertise and strong foundation in West Africa will allow it to bring innovative and responsive ideas to this unique program.

“Our market-based approach to economic growth will rapidly build the technical capacity, partnerships and value chains needed to unlock economic potential in West Africa," Kruvant a dit. “We look forward to bringing our partners, le secteur privé, smallholder farmers and governments together to spark investment in the region.”

Au Nigéria, the Trade Hub will promote investment in the agricultural sector to reduce food insecurity and improve the livelihoods of smallholder farmers as part of the U.S. Initiative du gouvernement contre la faim et la sécurité alimentaire dans le monde Nourrir l'avenir. The Trade Hub will work with the private sector, research institutions and other stakeholders to improve farming practices. Smallholder farmers will utilize modern technology to increase production, improve processing and strengthen their links with producers and buyers across several value chains, y compris le maïs, riz, soja, cowpea and aquaculture.

In other West African countries, the Trade Hub will expand the capacity and profitability of regional and American companies exporting apparel, anacardier, cocoa and other commodities by leveraging innovative technologies and improving access to markets that will create sustainable jobs. The Trade Hub will focus on promoting regional trade and international exports guided by buyer demand.

Les activités du Trade Hub favoriseront une croissance économique inclusive, créer des opportunités pour les femmes et les jeunes d’Afrique de l’Ouest d’augmenter les revenus de leur ménage, acquérir de nouvelles compétences et démarrer et développer de petites entreprises en tant que bénéficiaires potentiels et actifs. Le projet mobilisera également d’autres entités privées intéressées à investir dans les jeunes ou les femmes pour co-créer des initiatives durables pour l’emploi à long terme des jeunes et des femmes..

Les centres commerciaux de l’USAID à travers le continent ont joué un rôle déterminant dans la promotion de l’intégration économique régionale et dans la sécurisation des investissements pour de nombreuses industries africaines naissantes et en croissance.. À ce jour, les Trade Hubs ont généré quelques $600 millions d'investissements, et ce nombre continue de croître. They are a cornerstone of the U.S. Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique et les principaux catalyseurs du commerce américano-africain.

“An investment in West African farms and firms is also ultimately an investment in the U.S. économie," dit Comte Gast, Vice-président exécutif créatif pour les programmes. “We look forward to bringing investors together with emerging businesses and generating that long-term growth.”

The project is expected to award $60 million in co-investing and co-creation activities that leverage at least $300 million private sector investment and financing.

The five-year project will be based in Abuja, Nigeria, with staff presence elsewhere around the region. It is supported by USAID regional missions in Afrique de l'Ouest et le Sahel and country missions in Nigeria, Sénégal, Côte d’Ivoire et Ghana.

À propos de Creative Associates International

Creative Associates International travaille avec des communautés mal desservies en partageant son expertise et son expérience en matière d'éducation, élections, croissance économique, sécurité des citoyens, gouvernance et transitions du conflit à la paix.

Basé à Washington, D.C., Creative has offices in nearly 30 countries. Depuis 1977, cela a fonctionné pendant presque 90 pays et sur presque tous les continents. Reconnu pour sa capacité à travailler rapidement, de manière flexible et efficace dans des environnements touchés par des conflits, Creative s'engage à générer des solutions durables à long terme à des problèmes de développement complexes.

Creative has grown to become a leader among the U.S. acteurs du secteur privé chargés de la mise en œuvre de projets de développement mondiaux. Creative est détenu et exploité par une minorité.

Afrique de l'Ouest: Centre de commerce et d'investissement

octobre 28, 2019

L’éducation inclusive touche divers apprenants marocains

octobre 18, 2019

5 lecture min.

Par Ashley Williams

RABAT, Maroc — La vie a commencé par la lutte pour Ismail. Il est né prématurément, a refusé de manger et de dormir et sa croissance a été retardée. Il a appris plus lentement que les autres enfants et a finalement reçu un diagnostic d'autisme..

Ismaïl, maintenant 12, est un peu plus âgé et plus grand que les autres élèves de deuxième année de Sale, Maroc, mais ils l'ont accueilli dans le giron. Sa mère, Manbari Kaoutar, a vu un changement radical l'année dernière lors de sa troisième tentative en première année lorsque les États-Unis. Financé par l'Agence pour le développement international Lire pour réussir — Programme national pour la lecture déployé dans les classes du pays, y compris celui de son fils.

C’est à ce moment-là qu’Ismail a finalement pu réussir sa première année..

Ismaïl, un garçon de 12 ans autiste, se tient entre son animateur du programme de lecture d'été et sa mère. — Ismaïl (centre) se tient avec son animateur du programme de lecture (gauche) et mère, Manbari Kaoutar (droite).

Le programme travaille en partenariat avec le gouvernement du Maroc pour améliorer les compétences d'alphabétisation en arabe en améliorant l'enseignement en classe avec des outils interactifs., activités pratiques, élargir les possibilités de lecture et améliorer les systèmes nationaux d’apprentissage et d’évaluation.

"Pour mon enfant, la façon dont nous avons appris à l'école [il y a des années] ça ne marchera pas. Il est plus actif, et il a besoin d'une manière vivante pour apprendre,» dit Kaoutar.

Elle dit qu'avec les nouveaux supports colorés et les leçons captivantes, son fils peut prendre ce qu'il voit sur la page ou le tableau et établir un lien avec le sens pour la première fois..

Ismail a poursuivi sur sa lancée en participant à un programme de lecture d'été soutenu par un projet pour perfectionner ses compétences avant la deuxième année.. Les programmes ont été mis en œuvre par des organisations non gouvernementales locales – l'Association marocaine pour l'éducation des jeunes et le Forum pour la créativité et la communication – qui ont reçu un financement., formation et matériel du projet. Ces organisations hébergeaient auparavant des camps d'été traditionnels sans composante éducative, mais les parents et les élèves étaient enthousiasmés par le nouveau format.

Les enfants faisaient encore du bricolage, joué à des jeux et exécuté des jeux comme ils le feraient dans un camp traditionnel, mais ils ont ajouté des activités autour de la lecture et rendre l'alphabétisation plus amusante.

Les améliorations d'Ismail depuis sa troisième année de première année ont continué à se développer au cours du programme de lecture d'un mois., ce qui en fait un lecteur plus avide. Kaoutar dit qu'Ismail lui apporte désormais son sac à dos quand il rentre chez lui pour qu'ils puissent sortir ses livres et lire ensemble.

Elle a également découvert que lors du programme d’été, Ismail s’est pour la première fois attaché aux autres étudiants et a développé des liens sociaux plus profonds.. Quand elle lui demandait à quelle piscine communautaire il voulait aller, Ismail demanderait à aller dans le quartier où seraient ses nouveaux amis.

Ce n’est pas une mince affaire dans un pays aux ressources limitées pour les enfants ayant des besoins d’apprentissage différents.. Une partie de la magie du programme de lecture d'été réside dans l'accent mis sur l'inclusivité..

Réunir les étudiants entendants et sourds pour s’amuser et apprendre

Deux animateurs, un qui parle couramment la langue des signes, lire et impliquer une classe d'élèves entendants et sourds. — Fatima Rizki, un étudiant universitaire, et Sanaa Tarkhani, un éducateur parlant couramment la langue des signes, co-animer une classe d’élèves entendants et sourds.

Dans un autre lieu de programme d'été, non loin de celui d'Ismail, il y a eu des sessions mixtes s'adressant à la fois aux étudiants entendants et sourds. C'est un nouveau territoire au Maroc. Les élèves sourds fréquentent généralement une école séparée jusqu'en sixième année, puis peuvent suivre une formation professionnelle pour devenir coiffeur., mécanique, cuisiniers et autres métiers.

Les animateurs ont rapporté que les élèves entendants étaient tellement éloignés de leurs camarades sourds qu’ils ne voulaient même pas s’asseoir à côté des enfants sourds pendant la première semaine du programme.. Mais les animateurs – l’un étudiant à l’université et l’autre un éducateur qualifié maîtrisant la langue des signes – ont travaillé à bâtir des ponts par le jeu et l’apprentissage..

« On ne trouve pas de classes inclusives [pour les étudiants sourds] dans le système scolaire marocain. Les enseignants n’ont pas de formation en langue des signes ou [sourd] éducation inclusive,» déclare l'animatrice Sanaa Tarkhani.

Tarkhani a trois frères et sœurs qui sont sourds et, après avoir constaté le manque de soutien à leur égard dans le système éducatif, est devenu certifié en langue des signes et en éducation. Lorsqu'on lui a demandé quels défis elle rencontrait en travaillant dans une classe avec des élèves sourds et entendants, elle dit qu'il n'y en a pas. Elle a l’habitude d’opérer simultanément pour des personnes vivant dans des mondes bruyants et silencieux..

Mais son co-animateur, Fatima Rizki, je l'ai vu un peu différemment. Rizki, 22, est une étudiante universitaire qui étudie l'éducation et elle ne parle pas couramment la langue des signes et n'y a pas non plus le même lien personnel que Tarkhani..

Elle note que parfois les étudiants sourds tapaient sur leur bureau ou faisaient des bruits qu’ils ne pouvaient pas entendre et perturbaient les autres étudiants..

« Le principal défi est de faire participer tous les élèves pendant que je lis un livre ou une histoire.. Je dois lire pour chacun d'eux," dit Rizki.

Pour garantir que le personnel du programme d'été comme Rizki possède les compétences nécessaires pour soutenir les étudiants entendants et sourds., le projet a formé des animateurs de programmes de lecture en utilisant un programme de quatre semaines conçu par le projet. Joanie Cohen, Directeur de projet principal pour Creative Associates International, dit que l'implication d'animateurs maîtrisant les signes a changé la dynamique de la formation.

"L'inclusion d'éducateurs sourds a absolument rendu ce projet si spécial," dit Cohen. « Dans nos appréciations et réflexions après la formation, de nombreux participants ont mentionné à quel point les éducateurs sourds ont enrichi leurs expériences et les ont amenés à penser différemment l’éducation des jeunes enfants.

Soutenir les parents et les communautés autochtones

Une mère amazighe assise dans la cour de l'école. — Hafida Aaouini voit la différence de capacités entre son fils de 7 ans, qui bénéficie du Programme National pour la Lecture, et ses enfants plus âgés.

En plus d'inclure des étudiants ayant des besoins et des capacités variés, le programme a également fonctionné dans le sud du Maroc auprès des autochtones amazighs vivant à Tiznit. Sachant que leur langue maternelle est souvent celle qu'ils parlent à la maison avant de s'inscrire à l'école, certains élèves amazighs des premières années de primaire ont du mal à entrer dans un système basé sur l'arabe classique.

Mouad, le fils de Hafida Aaouini, 7 ans, n'utilisait que l'amazigh, mais après un an dans une école soutenue par le Programme national de lecture et quelques semaines du programme de lecture d'été, il est à l'aise avec l'arabe classique.

« L’arabe classique est la langue de communication… C’est bien qu’il parle l’amazigh pour communiquer avec sa communauté, mais c'est bien qu'il apprenne l'arabe pour aller plus loin,» dit Aaouini.

Elle peut voir une différence marquée entre Mouad et ses enfants plus âgés qui ne disposaient pas de la méthodologie mise en œuvre par le projet.. Elle dit que lire à la maison n'est pas courant dans sa culture, mais maintenant Mouad demande une histoire tous les jours et veut apporter ses livres à la plage.

Dans un effort pour cultiver une culture holistique de la lecture en dehors de la salle de classe, les programmes de lecture ciblaient les animateurs de classe et les parents en plus des élèves. Les parents ont été formés sur les façons de s’impliquer dans la lecture de leurs enfants dès le début du programme..

« Nous avons appris avec nos enfants," a déclaré Aaouini " Nous n'avions pas la chance en tant que parents d'être formés avant. Cette formation a simplifié la façon d’apprendre à lire à votre enfant et vous donne des outils avec des histoires courtes et de grandes images.

Alors que le programme d'été touchait à sa fin, les parents et les élèves ont déclaré être mieux préparés pour le trimestre à venir et prêts à réussir leur développement en littératie.

Avec le reportage de Mounya El Asri

Photos parAshley Williams

Sahel countries exchange lessons, increase collaboration to counter violent extremism

septembre 26, 2019

2 lecture min.

NIAMEY, Niger – Government representatives from five West African states recently convened to improve regional collaboration to stem the threat of violent extremism. Organized by the U.S. Agence pour le Développement International Partnerships for Peace program and the G5 Sahel Permanent Secretariat, the August 21-22 workshop was attended by representatives from Niger, Burkina Faso, Tchad, Mali and Togo.

Since the validation of the G5 Sahel Regional Guide in N’Djamena on November 22, 2018, the G5 Sahel member states have taken various measures and are at different stages of progress in developing their respective strategies and action plans to prevent radicalization and counter violent extremism. The workshop served as a follow-up to the Sahel countries’ validation of a regional CVE approach and their commitments to enhance national capacities, as well as a venue to share experiences among the five attending countries.

A leader in CVE in the Sahel, Niger has completed regional consultations aimed at gathering the views of local actors on the status of violent extremism in order to ensure that creating its national strategy is an inclusive process. In sharing this experience and through other fruitful exchanges, workshop participants engaged in meaningful dialogue and reflections on transnational and regional approaches to violent extremism, a complex, volatile and evolving threat.

Participants from member countries of the G5 Sahel and Togo convened in Niger for an exchange on CVE.

“Thank you USAID P4P for inviting us to this very important event. The knowledge acquired during these two days of fruitful discussions and exchanges will enable us to back to our national steering committee with recommendations of how to best avoid mistakes and build on the experiences of our sub-regional neighbors,” said Gani Koffi, Togo’s Director of Cabinet of the Ministry of Social Welfare and Women and member of the country’s National CVE Steering Committee.

Through efforts like this workshop, Partnerships for Peace continues to support the G5 member states’ process of developing national countering violent extremism strategies and preventing radicalization in the Sahel region.

About Partnerships for Peace and the G5 Sahel

Partnerships for Peace is a USAID project that contributes to the U.S. gouvernement’s goal of reducing vulnerability to violent extremism in West Africa. This five-year program works with regional and national stakeholders in West Africa to develop a common understanding of violent extremism in the Sahel region. The program also aims to improve the institutional capacity of organizations and governments to implement more effective and coordinated approaches to preventing violent extremism. Actuellement, the project covers the G5 Sahel Permanent Secretariat, Niger, Burkina Faso, Chad and Mauritania.

The G5 Sahel Permanent Secretariat is an institutional framework for coordination and monitoring of cooperation on security and development policies in the G5 member states; Burkina Faso, the Republic of Chad, the Republic of Mali, the Republic of Mauritania and the Republic of Niger.

Five ways Creative supports democracy in Africa

septembre 12, 2019

3 lecture min.

Par Evelyn Rupert

In vulnerable and post-conflict environments, Creative Associates International is implementing programming that supports credible, participatif, inclusive and peaceful elections, as well as providing voters and governments tools to increase civic engagement and prevent electoral violence.

In recognition of International Democracy Day, septembre. 15, the following are five ways Creative programs support democracy in Africa.

1. Supporting the development of constitutions and legislation

Democratic constitutions and legislation build the foundation for a flourishing democracy. Without these cornerstones, democratic processes can unravel.

Creative-implemented projects under the Libyan Engagement and Governance through Applied Learning programme, funded by the U.S.-Middle East Partnership Initiative, assisted the Libyan government throughout the constitutional process to finalize a draft constitution, an important step toward a stable democracy. Plus récemment, un Senior Executive Legal Academy initiative has trained more than 150 Libyan legislators, staff and senior legal advisors on framing, drafting and analyzing legislation and strengthening cross-institutional collaboration.

En Somalie, l'USAID Apporter l'unité, Intégrité, et projet Légitimité à la démocratie (CONSTRUIRE) supports the women’s caucuses in the Somalian parliament to strengthen capacity and leadership and promote gender-sensitive legislation. Following the passage of the landmark Sexual Offenses Bill in Somaliland in 2018, BUILD has been working closely with women leaders and civil society organizations to advance a similar bill at the national level in neighboring Somalia.

2. Promoting credible and accountable democratic processes and practices

A polling worker registers a woman to vote in Somaliland. Photo de Jim Huylebroek.

USAID’s BUILD project encourages citizen participation in political and electoral processes in Somalia by enhancing civil society and media capacity to disseminate information, strengthening election institutions and other government bodies to administer credible elections, and encouraging political parties to contribute to peaceful and inclusive political and electoral processes.

Le Libya Electoral Security Planning and Implementation project (LESPI) puts in place proactive electoral security measures to help rebuild public trust in peaceful, accessible and legitimate electoral processes. Le projet, financé par les États-Unis. Department of State’s Office of Assistance Coordination in the Bureau of Near Eastern Affairs, also works with security and electoral bodies within the government on mentoring and public outreach.

3. Advancing civil society engagement, civic education and peace messaging

L'USAID Reacting to Early Warning and Response Data project (USAID/REWARD) in West Africa has partnered with nearly 50 civil society organizations to advance prevention and mitigation of electoral violence. Grantees in Niger, Sierra Leone, Ghana and Mali have disseminated peace messages, raised awareness of threats to electoral security, promoted the political participation of women and youth, and enhanced media’s capacity for objective reporting.

And in Somalia, BUILD provides ongoing capacity building and training for civil society groups on a range of topics including social media, voter education, journalism and electoral systems and provides small grants for women- and youth-led organizations.

4. Providing early warning and response to violent conflict

USAID/REWARD also seeks to improve the Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) response to early warning signs of conflict. The program has conducted a series of country risk and vulnerability assessments, designed to identify each member state’s structural vulnerabilities to conflict, event-driven risks that can trigger conflict, and community-based resiliencies that can help prevent conflict from breaking out. A major success of this initiative has been integrating gender considerations into early warning systems and raising awareness through training.

5. Supporting peaceful elections

Creative’s programming lays the groundwork for peaceful elections by advising governments and electoral groups on potential points of conflict and supporting election observers.

En Libye, LESPI has adapted innovative tools to monitor social media for electoral security incidents, which can provide real-time data on potential threats of electoral violence.

And in West Africa, USAID/REWARD assesses the landscape of threats to electoral security at the national and local levels and partners with civil society organizations to promote more peaceful and credible electoral processes during pivotal elections. These activities have reached more than 10,000 beneficiaries and empowered more than 5,000 les femmes et 5,000 youth to conduct peacebuilding activities around their communities’ and countries’ electoral processes.

ECOWAS and USAID conduct regional conference on electoral security

août 13, 2019

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ABUJA — On July 30, 2019, the Economic Community of West African States (CEDEAO) et le Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) Réagir aux données d’alerte précoce et de réponse (RÉCOMPENSE) project organized a regional conference on Lessons Learned in Electoral Security in West Africa. Held at the Fraser Suites Hotel in Abuja, the conference sought to identify common trends in the ECOWAS region related to electoral conflicts and violence and develop strategies on how different regional election violence prevention (EVP) stakeholders can proactively prevent the recurrence of these incidents in future elections.

REWARD Chief of Party Alimou Diallo speaks from a podium. — REWARD Chief of Party Alimou Diallo delivers introductory remarks at the conference.

The electoral security conference gathered 40 key regional EVP stakeholders from across the 15 ECOWAS Member States. Representatives from the ECOWAS Commission, election management bodies (OGE), leading regional civil society organizations (OSC), the ECOWAS Network of Electoral Commissions (ECONEC), and selected past USAID REWARD project grantees from Ghana, Mali, Niger and Sierra Leone who implemented projects in their respective countries to promote peaceful elections were among the participants. In this regard, the conference facilitated regional networking and knowledge sharing among the electoral stakeholders on innovations, meilleures pratiques, and lessons learned in recent elections, and devised strategies to synergize and build on the positive achievements and address common obstacles to their work.

In accordance with the ECOWAS mandate under the Supplementary Protocol on Democracy and Good Governance (2001) that was adopted to reinforce the Declaration of Political Principles in the West Africa Region (1991), the conference leveraged ECOWAS’ regional role in providing electoral assistance to its Member States. The Directorates of Early Warning, Political Affairs and Peacekeeping and Regional Security shared case studies of ECOWAS’ electoral violence monitoring, preventive diplomacy and electoral security engagements, respectivement.

Supporting USAID West Africa’s regional development objective of strengthening systems of non-violent conflict management across the region, the conference marks a milestone in supporting local, national and regional stakeholders to mitigate electoral conflict triggers before they escalate into violence. This conference also builds on the continued work that USAID’s REWARD project has conducted during the past four years to partner with dozens of local CSOs across five ECOWAS countries to promote more peaceful electoral processes in the region. REWARD will apply the lessons from the conference to support ECOWAS and Togolese CSOs in similar peacebuilding programming in the runup to Togo’s 2020 élections présidentielles.

The USAID REWARD project, which commenced in September 2015, is part of a broader United States Government initiative supporting ECOWAS and its Member States to bolster Early Warning and Response and promote peaceful and democratic elections.

Une ONG salvadorienne de réadaptation et de réinsertion reçoit un prestigieux prix mondial

août 2, 2019

3 lecture min.

Par Evelyn Rupert

La fabrique citoyenne, une organisation pionnière dans la réhabilitation des victimes et des auteurs de violences au Salvador, a été nommé récipiendaire du Fonds catalyseur du prix McNulty, une reconnaissance de son travail exceptionnel et de son potentiel d’impact.

La Fondation McNulty a choisi cinq organisations prometteuses à travers le monde, attribuant un total de $75,000 pour aider chaque entreprise à faire avancer son travail et à étendre sa portée.

La fabrique citoyenne, le seul gagnant en Amérique latine, est bénéficiaire et partenaire de l'USAID Projet de prévention du crime et de la violence, mis en œuvre par Creative Associates International.

Un atelier de résolution de conflits à La Factoria Ciudadana — Le travailleur social Edwin Mejía anime un atelier de résolution de conflits à La Factoría Ciudadana. Photo de Janey Fugate.

Le fondateur Jaime Zablah a lancé The Factory en 2017, inspiré par ce qu'il a vu à Industries des garçons à la maison, une organisation de réadaptation de Los Angeles qu'il a visitée lors d'un voyage d'étude sur la prévention de la violence organisé par Creative, Partenaires USAID et Los Angeles.

« Ce prix est une reconnaissance internationale de notre travail,Zablah a dit. « La Factoría fait partie de la solution à la lutte de notre pays contre la violence. Nous apportons de l'espoir aux gouvernements et à la société civile, et surtout aux personnes ayant subi des violences. Mais nous ne pouvons pas y parvenir seuls.

L'organisation Zablah à San Salvador propose des ateliers, thérapie et conseil à ceux dont la vie a été marquée par la violence, y compris des personnes anciennement incarcérées et d'anciens membres de gangs. La Factoría a récemment acheté une machine à détatouer pour donner à ses clients une meilleure chance de trouver un emploi stable et de réintégrer la société sans tatouages visibles., en particulier ceux qui représentent l'affiliation à un gang.

Zablah a déclaré que le prix McNulty Prize Catalyst Fund aidera également La Factoría à lancer plusieurs entreprises commerciales au sein de l'organisation qui fourniront une formation professionnelle et des emplois indispensables aux clients.. Son entreprise de photocopie et d'impression, L'entreprise de savon artisanal et le service de recyclage généreront également des revenus et aideront La Factoría à maintenir ses opérations..

Participants à la Conférence sur la prévention et l'intervention contre les gangs du Salvador. — La fabrique citoyenne’avec Jaime Zablah (dernier rang, deuxième en partant de la gauche) faisait partie d'un groupe du Salvador qui a assisté à la 2019 Conférence sur la prévention et l'intervention contre les gangs à Los Angeles.

Créatifs Ben Rempell, Directeur du projet de prévention du crime et de la violence, affirme que le programme s'est étroitement associé à La Factoría après avoir réalisé très tôt son potentiel pour faire progresser la prévention de la violence et la réhabilitation au Salvador.

« Nous le savions grâce à l’engagement de Jaime, La Factoría pourrait toucher de nombreuses vies et contribuer à orienter le débat sur la réhabilitation et la réintégration au Salvador.," Rempell a dit. « Nous sommes fiers de les soutenir et pensons que cette reconnaissance de la Fondation McNulty est bien méritée..

La Fondation McNulty a créé le Fonds Catalyseur en 2017, et des prix sont décernés aux membres de l'Aspen Global Leadership Network en partenariat avec l'Aspen Institute.

Les confrères récipiendaires du 2019 Le Fonds catalyseur du prix McNulty a été:

3Assurance qualité, une organisation basée au Moyen-Orient, pionnière en matière de normes régionales et d'accréditation pour les organisations à but non lucratif
Association des aînés du Ghana, qui sert et défend les intérêts de la population âgée du Ghana
Ascension de l'Indiana, qui connecte les employés potentiels avec des programmes de formation et des opportunités d'emploi pour garder les talents dans l'État
Sauver les enfants syriens, une organisation caritative qui propose des services de réadaptation et des conseils aux enfants en Syrie

Les entreprises nigérianes discutent de la transition de l’aide au commerce via Prosper Africa

juillet 15, 2019

3 lecture min.

Par Mercy Abang

Lagos, NIGERIA – Prospérer l’Afrique, un nouveau États-Unis. initiative interinstitutionnelle gouvernementale, vise à doubler les États-Unis. le commerce et les investissements avec le continent au cours des cinq prochaines années. À quoi cela ressemblera-t-il pour le Nigeria ?, La plus grande économie d’Afrique, et comment les fermes nigérianes, le sort des entreprises et des investisseurs?

Pour commencer à répondre à ces questions, Les principaux acteurs du secteur privé nigérian se sont réunis en juillet pour un dialogue intitulé « Making Prosper Africa Work for Nigeria » 11. L'événement était co-organisé par le Conseil des entreprises pour l'Afrique, le Chambre de commerce nigérian-américaine, Dalberg et Associés créatifs internationaux.

L’importance du Nigéria dans le succès de Prospérer l’Afrique ne peut être négligé car Florizelle Liser, Le président-directeur général du Corporate Council on Africa a souligné.

« Nous sommes très favorables à la Zone commerciale continentale africaine, et le Nigeria peut être une porte d'entrée parce que vous êtes si grand; tu es l'agrégateur,» a-t-elle déclaré aux participants.

Liser a également préconisé la nécessité d’une plus grande connectivité du secteur privé entre les États-Unis et l’Afrique et que la priorité était de promouvoir davantage de commerce et d’investissements en Afrique.

Répondre aux questions importantes sur Prosper Africa au Nigeria

La priorité pour Prosper Africa est celle des États-Unis. La Chambre de Commerce et les chambres de commerce des pays africains collaboreront avec le secteur privé pour développer les entreprises africaines.

Florizelle Liser, Président-directeur général du Corporate Council on Africa, se prépare pour une entrevue avec les médias sur l'événement. Photo de Mercy Abang.

Mais quels sont les partenaires des États-Unis. sur lequel je me concentrerai est une question cruciale. Et pour le Nigeria en particulier, qu'est-ce que les États-Unis qui réussissent. Cette stratégie semble vouloir développer le commerce et les investissements dans plusieurs domaines clés, depuis l’agroalimentaire et les petites et moyennes entreprises jusqu’à une économie au-delà du pétrole.?

Pour les États-Unis. gouvernement, « il s’agit d’obtenir le bon alignement de ses programmes afin que les investissements puissent être facilités »," dit Comte Gast, Vice-président exécutif de Creative Associates International, lors de la table ronde.

Gast a ajouté qu'en s'éloignant des programmes d'aide traditionnels vers Prosper Africa, il est important « qu’il y ait des outils en place pour aider à promouvoir les États-Unis ».. investissements et États-Unis. exportations pour aider le Nigeria et le processus de développement du Nigeria.

Au-delà des avantages de Prosper Africa pour les États-Unis. et le Nigéria, la table ronde de Lagos a immergé les experts du secteur privé nigérian dans les détails techniques, cherchant à fournir une meilleure compréhension des opportunités mondiales que Prosper Africa leur offre.

La table ronde a déclenché des conversations et des alliances qui aideront les parties prenantes nigérianes à acquérir une compréhension plus nuancée du financement., réglementations commerciales prévisibles, et des partenariats clés qui contribueront à renforcer les institutions locales, ainsi qu'aux États-Unis. entreprises travaillant à travers l’Afrique.

« Nous, en tant qu'États-Unis. le gouvernement s'efforcera de faire passer le message aux États-Unis. entreprises en Afrique et contribuera à faciliter leurs engagements ici, » dit Brent Omdahl, Conseiller commercial auprès des États-Unis. Mission au Nigéria. « L’intérêt des entreprises américaines est grand au Nigeria, mais le niveau de compréhension est faible, c’est donc ce qui doit changer.

Nouveau développement pour le commerce africain

Participants du secteur privé nigérian au dialogue Prosper Africa. Photo de Mercy Abang.

Pour l'année 2019 seul, les États-Unis. le gouvernement a introduit deux nouvelles initiatives majeures pour stimuler le commerce et les investissements sur le continent africain.

Prospérer l’Afrique, lancé en décembre 2018 et déployé en juin 19, 2019 in Mozambique, vise à atteindre son objectif de doubler les États-Unis. le commerce et les investissements avec l’Afrique d’ici cinq ans, principalement en atténuant les risques et en améliorant l’environnement des affaires pour soutenir l’expansion du secteur privé.

« Les États-Unis. le gouvernement a maintenu son engagement envers le continent africain, en continuant à être le plus grand donateur d’aide étrangère au monde, fournir plus $9 milliards par an pour soutenir l’Afrique subsaharienne," dit NOUS. Karen Dunn Kelley, secrétaire d'État adjointe au Sommet des affaires États-Unis-Afrique du Corporate Council on Africa à Maputo, Mozambique. "Quand il s'agit de commerce, cependant, il y a de la place pour de grands progrès et de grandes opportunités.

La deuxième initiative est la $60 milliard NOUS. Société de financement du développement international, ce qui fera plus que doubler le montant d’argent disponible pour les États-Unis. investissement dans les pays à revenu faible et intermédiaire. La plupart des pays soutenus par cette nouvelle agence seront en Afrique.

En Ouganda, des enseignantes surmontent des défis personnels pour servir une population réfugiée croissante

juin 5, 2019

4 lecture min.

L'Ouganda accueille le plus grand nombre de réfugiés en Afrique subsaharienne, et sa politique d'accueil des réfugiés se reflète dans la passion et l'hospitalité de sa population.. Cependant, une population croissante exerce une pression considérable sur les écoles et les enseignants.

Le conflit en cours dans les pays voisins pousse les réfugiés à fuir les frontières depuis des décennies, et ces chiffres ont gonflé ces dernières années. Uniquement dans le district d'Arua en Ouganda, une zone rurale frontalière avec la République démocratique du Congo (RDC) et Soudan du Sud, il y en a fini 200,000 réfugiés.

En janvier 2019, J'y suis allée pour faire des recherches sur le bien-être des enseignantes dans le cadre du programme de stage Women Lead de la School of Advanced International Studies de l'Université Johns Hopkins.. Il y a environ 4,000 enseignants servant près de 300,000 étudiants dans les écoles publiques de la région, et le ratio élèves/enseignant est pire à proximité des camps de réfugiés.

Nous sommes allés au camp de réinstallation des réfugiés Rhino, où il y en a autant 200 étudiants dans une classe typique. Les fournitures scolaires sont rares, la nourriture est limitée, et les professeurs sont fatigués. Les enseignants, hommes et femmes, ont du mal à gérer des salles de classe aussi grandes et leurs propres besoins ne sont souvent pas satisfaits.. Ces défis sont encore plus prononcés pour les enseignantes.

Défis rencontrés par les enseignantes

Comme beaucoup de pays dans le monde, en Ouganda, les femmes sont responsables de la majorité des tâches ménagères, des tâches ménagères à la garde des enfants, même lorsqu'ils travaillent à l'extérieur de la maison. Les enseignantes ont souvent du mal à faire face aux responsabilités liées à l’équilibre entre leur vie personnelle et professionnelle..

Quand les besoins fondamentaux ne sont pas satisfaits, les femmes souffrent énormément. Quand les écoles manquent de programmes d’alimentation, Par exemple, les enseignantes devraient rentrer chez elles au milieu de la journée pour cuisiner pour leur famille, tandis que de nombreux enseignants masculins rentrent chez eux pour un repas déjà préparé par leurs femmes. Quand les écoles manquent de garderies, les enseignantes sont censées trouver quelqu'un pour s'occuper de leurs plus jeunes enfants pendant la journée, ou tout simplement arrêter d'enseigner lorsqu'ils commencent à avoir des enfants. Quand les écoles manquent de toilettes non mixtes, les enseignantes manquent souvent l’école pendant leurs règles.

Les besoins étaient énormes, mais les professeurs étaient passionnés. Malgré les défis auxquels elles ont été confrontées et les difficultés supplémentaires rencontrées par les femmes en raison de leur sexe, Je ne pense pas avoir rencontré un seul enseignant qui ne défende pas passionnément sa profession..

Un de ces éducateurs, Seins*, a grandi dans un petit village du nord de l'Ouganda où les filles terminent rarement leurs études au-delà de la sixième année, mais elle voulait mener une vie différente. Aujourd'hui, elle est enseignante dans la ville d'Arua et mère de deux filles qui sont à l'université. Elle a surmonté d'énormes obstacles pour obtenir une éducation et devenir enseignante dans un pays qui valorise souvent les hommes au détriment des femmes..

Miremba enseigne à Arua depuis plus de 20 années et a vu de nombreux enseignants partir pour des professions mieux rémunérées. Cependant, elle voit une grande responsabilité dans l'éducation des enfants qui sont l'avenir de son pays.

« Beaucoup ont quitté l’enseignement, mais je regarde l'avenir de nos enfants. Si je ne leur apprends pas, qui va? Par l'éducation, Je peux transférer ce qui m'a été donné aux autres," dit-elle.

Enseigner à partir de leur propre expérience

Malgré les problèmes de ressources et le grand nombre d'étudiants à enseigner, Presque tous les enseignants que nous avons interrogés ont clairement convenu que l'éducation des enfants réfugiés est la chose morale à faire..

L'Ouganda lui-même a une histoire de conflit. Certains enseignants plus âgés se souviennent d’avoir eux-mêmes été réfugiés lorsqu’ils ont été contraints de fuir leur foyer pour rejoindre la frontière avec la RDC..

Gladys est la directrice du Arua Primary Teacher College., où les enseignants sont formés avant d'être affectés à une école. Elle a grandi en tant que réfugiée en RDC, mais depuis mon retour en Ouganda à l'âge adulte, elle a utilisé sa propre expérience de réfugiée pour comprendre et aider ceux qui se trouvent désormais dans son propre pays.

« Nous utilisons notre propre expérience pour comprendre ces personnes et les aider,"Gladys a dit.

Gladys et Miremba ne sont que deux des nombreuses femmes inspirantes que nous avons rencontrées et qui se consacrent à l'éducation des jeunes générations de leur pays.. Ce sont également des femmes qui ont surmonté de nombreux obstacles auxquels les femmes déclarent être confrontées plus régulièrement.. En tant qu'enseignants, ils se sont engagés. En tant que femmes, elles sont des modèles pour les filles qui les suivront.

La prochaine étape pour mieux soutenir les enseignantes en Ouganda

Bien que ces enseignants travaillent dur et s'engagent pour un avenir meilleur pour leurs élèves, ils ne peuvent pas le faire seuls. Tandis que notre équipe continue d'explorer des approches programmatiques pour soutenir au mieux les éducatrices dans des contextes comme l'Ouganda, nos recommandations initiales incluent l'exploration de soutiens professionnels aux enseignantes, allant des incitations, garde d'enfants, fourniture d'hébergement et de repas.

*Le nom a été changé

Hayley Samu étudie les relations internationales à l'Université Johns Hopkins et a participé à une bourse avec la division éducative de Creative..

Prendre le code sur la route

mai 29, 2019

3 lecture min.

L’éthique et la conduite des affaires ne doivent pas nécessairement être ennuyeuses. En effet, ils peut être artistique. Il suffit de demander au personnel de terrainbaséà Abuja, Nigeria.

Avec la sortie deTsa manière créative, Creative Associates International nouveau code d'éthique et de conduite des affaires, QGc'estÉthique & Département Conformité recherché une méthode innovante pour introduire ce que certains pourraient qualifier dedry sujet.

Directeur de l'Éthique et de la ConformitéJoe Kalé et Associé à la ConformitéHeemani Rayamajhi j'ai eu une idée: Invitons le personnel à développer ses interprétations des sections clés du code d’éthique et de conduite des affaires.

Avec un excursion prévue au Nigeria, Kale et Rayamajhi ont estimé qu'il serait approprié de capturer l'esprit, l'énergie et la créativité du personnel local.

L'appelant "Art éthique - Vous jouez le rôle,»ilsen a fait un concours dans lequel chaque projetbaséau Nigériaa été invité à soumettre sa meilleure candidature.

"Eles employés pouvaient volontairement participer et créer une œuvre d'art autour de quelque chose qui les concernait dans le nouveau code," Kale a dit. "ça pourrait être une photo, photo, peinture, vidéo, etc.. Neuf candidatures ont été reçues représentant tous les projets, et la qualité était exceptionnelle.»

Le personnel créatif du Nigeria regarde ses collègues présenter leurs projets d'art éthique.

La date limite était fixée à début mai, lequelcoïncidait avec un voyage prévu parAvocat général de CreativeLarry Grayer et Kale se sont rendus à Abuja en mai 4 à 9.

Au total, neuf candidatures ont été soumises, allant de l'œuvre d'art à la pièce de théâtre, avec le financement de l'USAIDNON Plus représentant le plus grand nombre des soumissions.

« Le concours, tenu le dernier jour, était le point culminant de la semaine à Abuja,» ditPlus gris.

Tenu au jardin de NEI Plus, unenviron 75 les employés ont assisté à l'événement et chaque candidature a été présentée parle projet correspondant à un jury, qui comprenait Grayer et Kale. Les trois meilleures candidatures sélectionnées étaient:

Nigeria: Vidéo sur l'éthique du rap depuis Creative Associates International’je sur Viméo.

Deuxième place: "Faites la bonne chose,» une pièce de théâtre dirigée par Jennifer Onyejekwe du projet Nigeria Lake Chad Basin.

Troisième place: "L'art Ubuntu,» soumis par l'USAID Programme REWARD Afrique de l’Ouest.

Gagnant de la troisième place: « Art Ubuntu, » soumis par l’équipe USAID REWARD.

Entreprise–des prix correspondants ont été décernés aux trois meilleures candidatures.

"Il y avait un formidable esprit d’objectif commun, un ensemble de valeurs partagées et un grand sens de la camaraderie," dit Grayer.

Kale était tout aussi enthousiasteà propos l'événement: « C'était tellement gratifiant de voir tous nos collègues engagés comme une seule équipe créative unie par un ensemble de valeurs partagées..»

De nombreux collègues ont mentionné que c'était la première foisdans quelques annéesqu'il y avait un programme croisé événement etilles a fait se sentir comme une seule équipe créative.

"C'était un semaine merveilleuse et opportunité d'aider à établir des relations avec nos collègues sur le terrain," Kale dit. "Nous sommes très reconnaissants de l'accueil chaleureux, l'hospitalité gracieuse et l'engagement actif que notre équipe du Nigéria nous a offerts!»

Le gouvernement de l’État de Sokoto étend le programme de lecture de l’USAID à davantage d’enfants

mai 7, 2019

Par Boco Edet Abdul

5 lecture min.

Les fonctionnaires de l'État ont élargi la formation réussie, l'encadrement et le matériel de première année de la Northern Education Initiative Plus à un supplément 13 zones de gouvernement local non couvertes par le projet, ce qui en fait officiellement un programme à l'échelle de l'État.

Cette expansion fait suite au succès du Agence américaine pour le développement international-financé Initiative d'éducation du Nord Plus programme de lecture en petite enfance, qui a formé environ 7,000 enseignants en 2016 sur son Lisons! (Lisons! dans la langue locale haoussa) programme d'études.

Travailler en étroite collaboration avec le gouvernement, le programme a également distribué plus de 4 millions de manuels de lecture aux élèves et aux enseignants, améliorer les compétences de base en matière d'alphabétisation 400,000 enfants dans les États de Bauchi et Sokoto.

Le commissaire à l'éducation de base et secondaire, le professeur Aishatu Madawaki Isa, affirme que permettre à davantage d'enfants d'acquérir des compétences d'alphabétisation de base reste une priorité pour le gouvernement de l'État..

« Nous avons décidé d'adopter le modèle de lecture Northern Education Initiative Plus parce qu'il contribue à bâtir une base solide pour nos enfants.. Notre intention reste de couvrir chaque école, chaque enfant et chaque enseignant avec le programme Let's Read! Lisons! Programme," Isa dit.

Améliorer la qualité de l'éducation grâce au développement professionnel et à de nouveaux matériels

Un élément clé de cette expansion est la formation supplémentaire des enseignants.. Le gouvernement de l'État de Sokoto offrira une opportunité unique de développement professionnel aux 1,350 les enseignants à grandir dans leur rôle d’enseignants de lecture auprès des jeunes apprenants.

Cette dernière formation pour enseignants a élargi la portée du programme et garantit que davantage d’enseignants disposent du matériel et du soutien nécessaires pour éduquer avec succès les jeunes apprenants..

De nombreuses écoles de l'État de Sokoto sont surpeuplées, avec des ratios élèves-enseignant de 100 — ou plusieurs — à un. La qualité de l’enseignement est également une source d’inquiétude. De nombreux enseignants n’ont pas eu accès à une formation continue depuis leur prise de fonction.

Grâce à l’élargissement du programme Let’s Read! Lisons! Programme, tout est sur le point de changer.

L'un des enseignants qui rejoindra la nouvelle cohorte de stagiaires dans l'État de Sokoto est Safiya Usman.. Usman est issu d'une famille d'enseignants, y compris ses grands-parents et ses parents, mais ni l'expérience familiale ni sa formation initiale d'enseignante ne l'ont pleinement préparée à gérer une classe de plus de 100 élèves.

Ce sera sa première formation en quatre années d'enseignement.

« Cette formation est utile car j'ai appris différentes approches adaptées aux enfants pour impliquer les apprenants.," dit Usman. «Je peux aussi les mettre en groupe et les engager dans plusieurs activités avec des chansons, histoires et utilisation de cartes flash.

Dans sa classe de troisième, Usman dit qu'il n'y a pratiquement aucun étudiant qui sait lire ou écrire couramment le haoussa et l'anglais.. Cette situation est sur le point de changer avec l’introduction de nouveaux supports d’orientation pour les enseignants pour les cours planifiés à l’avance., ainsi que des cahiers de lecture et d'écriture pour soutenir les apprenants.

"Ces matériels offrent aux enfants la possibilité de pratiquer la lecture, écouter et écrire tous les jours. Les illustrations et les histoires sont également très pertinentes, et si je suis les cours, Je devrais voir une amélioration chez mes élèves," dit-elle.

Miser sur la réussite en lecture dès les premières années d’études

Les résultats de la récente évaluation de la lecture en première année menée en 2018 ont indiqué une amélioration significative des résultats en lecture chez les apprenants des États de Bauchi et de Sokoto, où le Lisons! Lisons! le programme fonctionne. Grade 3 les apprenants en particulier ont montré une nette amélioration de leur capacité à lire et à comprendre un texte de niveau scolaire après les trois premières années de ce programme de cinq ans..

Sur la base de ces acquis et de l'accueil chaleureux que le programme a reçu de la part des apprenants, parents et enseignants, le gouvernement de l'État de Sokoto a décidé de reproduire et d'étendre le programme de lecture préscolaire aux écoles de 13 autres gouvernements locaux non couverts par la Northern Education Initiative Plus, en faire un programme à l'échelle de l'État.

Le gouvernement de Sokoto s'efforce de respecter les engagements pris dans le cadre d'un protocole d'accord de cinq ans signé avec l'USAID pour soutenir l'éducation de base..

Guider les enseignants vers la réussite en classe

Dans un État où les conditions sont difficiles pour les apprenants et leurs familles, il y a un regain d’enthousiasme à mesure que les enseignants apprennent de nouvelles techniques pour développer les compétences en lecture des apprenants.

Pour de nombreux enseignants, avoir un guide dans lequel toutes les leçons sont écrites pour toute l'année scolaire est un ajout bienvenu à leur travail en classe. Chaque guide de l’enseignant contient des leçons quotidiennes de lecture et d’écriture, en anglais et en haoussa, qui proposent des activités et des instructions étape par étape pour soutenir un enseignement efficace. Le Lisons! Lisons! le guide de l’enseignant aide les enseignants à intégrer les activités de lecture de manière à offrir aux élèves une expérience d’apprentissage riche et bien structurée.

Les leçons contiennent des chansons, histoires et encourager l’utilisation de cartes flash, des tableaux et des affiches pour expliquer les concepts, comme comment enseigner les lettres et les sons en anglais.

Abdullahi Omeji, du gouvernement local de Bodinga, affirme que le guide de l'enseignant l'aidera à se préparer adéquatement pour son cours.

« Il est clair quel est l'objectif de chaque leçon, quel matériel je pourrais utiliser pour enseigner les sons et les lettres et comment je peux guider les élèves pour qu'ils apprennent efficacement avec les chansons et les histoires," dit-il.

Dans 2016, Développement de la Northern Education Initiative Plus de l’USAID 750 cours de haoussa et d’anglais pour Lisons! Lisons! tout en s'associant avec plus de 100 développeurs de programmes d'études internationaux et locaux, linguistes, enseignants du primaire et autres éducateurs.

L'Organisation internationale des Nations Unies pour l'enfance’Le Fonds d'urgence a adopté le programme et le matériel de lecture pour former davantage d'enseignants à la lecture dans les premières années d'école., travailler dans les gouvernements locaux de Bauchi et Sokoto qui ne sont pas couverts par le programme.

Un accompagnement tout au long de l’année grâce au coaching et au mentorat

Au-delà de la formation, les enseignants ont besoin de soutien et de supervision dans les écoles pour continuer à apprendre et à grandir grâce aux échanges avec leurs pairs et leurs superviseurs..

Le modèle d'encadrement et de mentorat de la Northern Education Initiative Plus offre ces possibilités aux enseignants en formant des agents de soutien scolaire en lecture en début de primaire pour effectuer des observations régulières en classe et fournir des commentaires pour aider les enseignants à s'améliorer..

Le gouvernement de l'État de Sokoto a adopté ce système de coaching et de mentorat dans sa propre planification annuelle.. Les formateurs d'enseignants qui animent des formations dans le 13 les zones d'administration locale d'expansion sont des agents de soutien scolaire. Ces agents de soutien scolaire ont reçu une formation de cinq jours pour non seulement former les enseignants, mais aussi de fournir un accompagnement régulier en matière de coaching et de mentorat.

Lubabatu Mohammed a été enseignant pendant presque 20 ans avant d'être transféré à l'Autorité éducative du gouvernement local de Sokoto Nord en tant qu'agent de soutien scolaire. Elle est l'une des 104 formateurs d'enseignants sélectionnés pour former les enseignants dans les zones d'expansion. Elle dit que les compétences qu'elle acquiert lui seront également utiles pour les observations en classe lorsqu'elle visitera les écoles..

« Maintenant, je sais à quoi faire attention lorsque je visite une école et que j'observe un enseignant qui enseigne la lecture aux jeunes enfants.. Je veux voir comment l'enseignant suit les étapes séquentielles de la leçon, interaction avec les apprenants, utilisation de supports pédagogiques, prononciation des sons et temps de pratique des élèves,Lubabatu dit.

En tout, l'État a distribué du matériel de lecture pour les premières années d'école, des enseignants formés et soutenu le suivi et la supervision des écoles avec un investissement de $497,000 dans 2018.