Objectifs du nouveau programme éducatif 2 millions d'enfants au Nigeria

novembre 10, 2015

3 lecture min.

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Objectifs du nouveau programme éducatif 2 millions d'enfants au Nigeria

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]WASHINGTON, DC. – Plus que 2 millions d'enfants dans trois États critiques du nord du Nigeria seront la cible d'un nouveau programme visant à améliorer les compétences en lecture et à accroître l'accès à l'éducation de base, Creative Associates International a annoncé aujourd'hui. (www.CreativeAssociatesInternational.com)

Financé par les États-Unis. Agence pour le développement international (USAID), le programme quinquennal appelé Northern Education Initiative Plus améliorera la capacité des États à fournir à la fois un meilleur accès et une éducation de base de meilleure qualité dans les écoles formelles et non formelles, en particulier pour les filles., enfants non scolarisés et autres groupes marginalisés.

Dirigé par Creative Associates International, NEI+ sera mis en œuvre dans les États du nord de Bauchi et Sokoto. Un troisième État sera annoncé.

« En renforçant le système éducatif lui-même et en travaillant en étroite collaboration avec les enseignants, parents, communautés et organisations de la société civile, NEI+ garantira des avantages à court et à long terme aux écoles et aux élèves qu'elles desservent," dit Creative's Semere Salomon, qui dirigera le programme.

Salomon note que 30 pour cent des enfants d’âge scolaire dans le nord du Nigeria n’ont pas accès à l’éducation de base. Ceci est attribué à une combinaison de croyances culturelles, manque d’établissements d’enseignement et insécurité résultant de l’insurrection.

Les résultats d’apprentissage sont également médiocres pour diverses raisons. Par exemple, Les instituts de formation initiale au Nigeria n'incluent pas d'enseignement de la lecture dans les premières années d'études dans leur programme.. En outre, Le matériel pédagogique existant – qui est déjà rare – n’intègre pas les approches pédagogiques modernes.

Fédéral, les autorités éducatives de l’État et locales ont accepté de participer au projet NEI+ d’une durée de cinq ans. Plus que 30 Des organisations non gouvernementales locales nigérianes seront impliquées dans le programme.

Creative est partenaire de trois organisations internationales basées aux États-Unis : Education Development Center., Université d'État de Floride, Overseas Strategic Consulting – et quatre organisations locales – Value Minds, Association pour les options de développement de l'éducation, Coalition d’action de la société civile pour l’éducation pour tous et Fédération des associations de femmes musulmanes du Nigeria.

Les années de travail de Creative au Nigeria

Creative travaille sur une variété de projets de développement spécialisés au Nigeria depuis plus d'une décennie..

« NEI+ s’appuie sur les atouts programmatiques et opérationnels de Creative dans la région, y compris nos relations approfondies avec les communautés, ONG, chefs traditionnels et religieux et représentants du gouvernement,» déclare le président créatif Leland Kruvant. « Nous sommes honorés que l'USAID ait choisi Creative pour mener à bien cet important projet dans cette région vitale de l'Afrique. »

En plus de NEI+, Creative met également en œuvre une initiative financée par l'USAID pour soutenir les étudiants déplacés internes dans trois États nigérians.. Plus que 2.2 des millions de Nigérians ont été déplacés de leur lieu d'origine, la plus grande concentration en Afrique, à la suite de l'insurrection.

Lancé en 2014, Programme de réponse à la crise éducative élargit l'accès à une éducation non formelle de qualité et protectrice et à des opportunités d'éducation alternative pour les enfants non scolarisés. 6 à 17 et réduire le fardeau des écoles locales déjà mises à rude épreuve par des ressources limitées.

Il est mis en œuvre par Creative et l'International Rescue Committee (IRC), avec des organisations non gouvernementales locales, comme la Coalition d’action de la société civile pour l’éducation pour tous et la Fédération des associations de femmes musulmanes au Nigeria.

Pour en savoir plus et visionner des vidéos, veuillez consulter le dossier spécial multimédia. (https://www.creativeassociatesinternational.com/special-reports/nigeria-providing-hope-and-community-support-to-internally-displaced-children/)

À propos de la création

Creative Associates International travaille avec des communautés mal desservies en partageant son expertise et son expérience en matière d'éducation, croissance économique, gouvernance et transitions du conflit à la paix.

Basé à Washington, D.C., Creative a des projets actifs dans plus de 15 pays. Depuis 1977, cela a fonctionné pendant presque 90 pays et sur presque tous les continents. Reconnu pour sa capacité à travailler rapidement, de manière flexible et efficace dans des environnements touchés par des conflits, Creative s'engage à générer des solutions durables à long terme à des problèmes de développement complexes.

Créée par quatre femmes entreprenantes issues d’horizons divers, Creative est devenu l'un des leaders aux États-Unis. acteurs du secteur privé chargés de la mise en œuvre de projets de développement mondiaux. Creative est détenu et exploité par une minorité.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][list_category_posts_widget titre= »ARTICLES CONNEXES » cat_id= »124,129,170″ commande_par= »date » nombre de messages = »3″ extrait= »Oui » extrait_size= »15″][/vc_colonne][/vc_row]

Cell phones & everyday objects to revolutionize math learning

novembre 5, 2015

4 lecture min.

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Cell phones & everyday objects to revolutionize math learning

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Combine the world’s 7 billion mobile devices with some simple household objects—from spoons to rocks—and they add up to an early grade math learning revolution.

With the debut of the “Math Everywhere” early grade math application, personalized and adaptive math learning activities could be at the fingertips of parents and learners. Math problems would come to life as learners use everyday objects (shoes, sticks and more) to solve hands-on math problems.

Children who master basic math skills at an early age have a greater chance of success down the road in school and, finalement, emploi, explained Ayan Kishore, Senior Technology for Development Associate at Creative Associates International and co-creator of the Math Everywhere app.

“Kids learning math will lead to better economies. It all starts right when they’re kids because the return on investment is highest," dit Kishore, who debuted the app at the annual MEducation Alliance Symposium à Washington, D.C., Octobre. 29.

On a smart phone, the Math Everywhere app generates simple math problems, in a local language, that can be performed and solved using everyday objects like stones, shoes or grains of rice for counting, multiplying and more. As a child masters one skill, the app adapts to more challenging equations—advancing his/her game.

“Math is inherently game-based," dit Kishore, explaining the logic behind taking problems from the screen to a real life math challenge. “You don’t need to gamify it.”

Another key to the method, il a dit, is its hands-on approach.

“Kids learn by actually touching things and playing around with them. Cependant, much I like mobile phones and all other ICT devices, unless you touch and play you are not really going to learn," il a dit.

Math Everywhere follows Creative’s 2014 rollout of MStories, a mobile storytelling model bringing crowdsourced local language tales to communities, parents and children via SMS in Zambia.

Mastering math early equals better life outcomes

The challenges that inhibit a child’s progress in math—a lack of materials, community engagement and relevant out-of-school content—are very similar to the barriers impeding reading, said Kishore.

Encore, while early grade reading has garnered much attention from educators and donors, performance in math at an early age actually proves a stronger predictor of a child’s later achievement in both subjects, selon un étude by Greg J. Duncan, doctorat, at the National Institute for Early Education Research.

Mastering numeracy in childhood also leads to better lifelong economic outcomes, as Math Everywhere co-creator and math education expert Deepa Srikantaiah explains.

“Mathematics is an important mechanism to further education, enabling individuals to improve their job market potential, and making citizens better problem-solvers and critical thinkers," dit-elle.

In many developing countries, cependant, math achievement lags behind performance in developed countries. An average student in lower-income countries performs worse than the fifth percentile of students in higher-income countries, selon le Trends in International Mathematics and Science Study.

Play & learn anywhere

The core idea behind Math Everywhere is that regular items in a child’s environment can become powerful learning tools, and that parents and community members can help their children learn basic math skills without a classroom and without high-tech tools.

For the world’s more than 61 million out-of-school primary school-aged children, selon UNESCO, and potentially millions more as refugee populations swell in parts of Europe, Africa and the Middle East, Math Everywhere is a chance for children to learn basic numeracy skills that will reap life-long benefits.

“People are eager to have access to educational content on their mobile devices in their own language,” says Jacqui Deelstra, app co-creator and Technology for Development Associate at Creative. Deelstra says Math Everywhere brings that content to children—even those in vulnerable contexts.

A math data opportunity

With high rates of absenteeism and unreliable education data reporting systems in many rural communities, collecting accurate information about student math achievement is a challenge for many governments.

“The lack of research and data in early grade mathematics in developing countries, or low-income contexts, exposes a critical gap in the importance of education indicators for development,” says Srikantaiah.

The Math Everywhere app could unlock a wealth of information on math learning in hard to reach areas, say its creators.

Through the app, demographic information, location and rates of learner progress can be aggregated and analyzed to help education officials identify key data points to guide policy and curriculum.

“Just imagine if something as simple as this was out in a community, you would quickly have information about math achievement," dit Kishore.

Kishore said the app presents new possibilities to gather insight into how kids learn math and to reach millions of out-of-school children with basic numeracy skills.

Après tout, said Kishore, “Folks have phones and math is everywhere!»

[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Creative endorses Declaration for International Election Observation

octobre 29, 2015

2 lecture min.

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Creative endorses Declaration for International Election Observation

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Creative Associates International has endorsed the Declaration of Principles for International Election Observation and the accompanying Code of Conduct for Observers.

Dans un letter to the Carter Center and the U.N. Electoral Assistance Division, Creative joined a group of 52 endorsing organizations at the Annual Implementation Conference at the U.N. headquarters in New York Oct. 21-22, marking the tenth anniversary of the Declaration of Principles’ announcement.

“Creative and its Electoral Education and Integrity Practice Area are proud to join [the endorsing organizations] in their effort to further standardize and professionalize international election observation efforts,” Creative President Leland Kruvant stated in his endorsement letter.

Coming to the table with other key players in the electoral security and integrity arena—such as the Carter Center and the European Union—is a great opportunity to share lessons learned and advance the field of electoral observation, dit Tihana Bartulac Blanc, Senior Associate for Electoral Education and Integrity and Creative’s representative at the U.N. conférence.

“The conference provided a critical opportunity for Creative to share views and exchange experiences on the achievements and challenges in electoral observation and discuss how we can implement it more effectively,” says Bartulac Blanc.

The signing is a landmark moment for Creative’s Domaine de pratique de l’éducation électorale et de l’intégrité, which has supported credible, compris, participatory and peaceful elections from Afghanistan to Haiti to Zambia.

Creative’s tools and programs offer electoral threat assessment, conflict prevention planning, peaceful election advocacy campaigns and electoral audits and fraud forensics.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Education for Nigeria’s displaced children featured on VOA

octobre 29, 2015

3 lecture min.

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Education for Nigeria’s displaced children featured on VOA

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]A six-year insurgency in northern Nigeria has displaced 2.2 million—including more than 1 million terrified school-aged children. Ripped from their communities, schools and often families, the educational and psychosocial needs of these children are immense.

On the one-year anniversary of the Nigeria Education Crisis Response Program—aimed at expanding access to quality and protective non-formal education for these out-of-school children and youth—their plight and the transformative response was the focus of Voice of America’s HashtagVOA broadcast.

The Education Crisis Response Program launched Oct. 27, 2014, and is led by Semere Salomon, Senior Associate and Africa expert at Creative Associates International, which implements the initiative.

“It’s been pretty miraculous, the transformation that we’ve been able to see in a short amount of time for those children and youth in our programs,” said HashtagVOA guest, Eileen St.. Georges, Directeur de L'éducation en temps de conflit chez Créatif.

In its first year, the three-year program—funded by the U.S. Agency for International Development—has reached more than 20,000 déplacé, Enfants et jeunes à l'extérieur 6 à 17 with critical psychosocial services, in-class meals and learning opportunities in non-formal centers.

When media tend to dwell on the violence and conflict wrought by insurgents, shining a spotlight on the positive efforts of Nigerian communities and international donors is critical, HashtagVOA co-host Cynthia Areh told viewers.

“People need to hear about the optimistic side, in the midst of the chaos because there is progress,” said Areh, who is also a Lagos-based TV journalist and anchor.

A partnership from the ground up

NIG092615165 — Local organizations, including religious centers and meeting houses, provide safe spaces for displaced children and youth to learn. Photo de David Snyder.

Despite limited resources in areas receiving those displaced by insurgency, said St. Georges, community leaders and members are welcoming displaced children and families, and helping to secure the safe spaces and support they need to overcome trauma and regain a sense of stability.

“We know there are limited resources in those areas, but those communities are embracing them, sharing what they have and bringing these youth and children into their homes and providing education for them through our support," dit-elle.

The Education Crisis Response Program partners with and supports local and state governments and community organizations—including more than 290 non-formal learning centers such as schools, religious establishments and meeting houses—to bring these much needed services to vulnerable children.

“We say ‘support’ because we can’t go in and do it by ourselves. We can come in with great ideas and help mobilize a community to realize their own need and how it needs to be responded to, and provide them some of the technical capacity to build the knowledge and the skill sets to implement the program," dit St. Georges.

The program’s on-the-ground team is entirely staffed by Nigerians, a key to growing local capacity and ensuring long-term success for the program, said St. Georges.

Working in conflict, supporting the most vulnerable

NIG092215100 — The program aims to reach more than 59.000 displaced children and youth in three years. Photo de David Snyder.

In conflict and crisis-affected communities, like those in northern Nigeria, education plays a key role in restoring a sense of normalcy in the community and helping children to heal from trauma.

“When you help stabilize the children and the youth, you’re stabilizing the entire family and the community around them," dit St. Georges.

Creative has a long history of working with some of the most at-risk children and youth in these hotspots, where physical safety and psychosocial needs are top priorities.

A key focus of the Education Crisis Response program has been helping to secure safe and protected spaces for these children and families.

The program not only helps to establish non-formal learning centers, but also partners with communities to create a welcome and safe environment. Une estimation 90 percent of those displaced live with friends and relatives.

In its three years, the Education Crisis Reponses Program aims to reach more than 59,000 displaced school-aged children and youth with critical learning and psychosocial support to rebuild their lives and move toward a promising future; but as St. George mentions, the need is still great.

“We’re touching just a drop in the bucket. There are so many more children and youth out there.”

[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Jeunesse & women key seeds to grow agriculture, les experts disent

octobre 13, 2015

4 lecture min.

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Jeunesse & women key seeds to grow agriculture, les experts disent

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]The potential for youth to multiply agricultural production globally is huge.

Increasingly, cependant, young people from rural areas see their futures in urban centers, rather than in the fields—spurring a global wave of urban youth migration.

“Often young people don’t want to be in agriculture because they don’t see opportunities in agriculture," dit Rekha Mehra, Senior Associate for Gender and Economic Equity at Creative Associates International, parlant au 2015 Making Cents Youth Economic Opportunities Summit à Washington, DC.

“For young men and women to have opportunities in agriculture, it is critical to grow agriculture," dit-elle, leading an Oct. 7 panel of experts on inclusion of youth, women and girls in agriculture value chains.

Roughly half of the world’s population is younger than age 30, avec 9 de 10 youth living in developing countries. And some 70 percent of the world’s poor live in rural areas, where farming is a major source of employment, selon le Banque mondiale

Bringing youth back to the land

As youth migration to urban areas grows and population levels climb, the need to bring young people back to agriculture is also expanding.

“Farming is an aging business, and young people are getting away from farming,” said Joyjit Deb Roy, Senior Vice President of Programs at Winrock International.

Yet upon arrival to cities, said Deb Roy, many young people from rural areas are finding only low wage jobs and poor living conditions, or end up unemployed. “But we can reengage the youth and bring them back to the land,” said Deb Roy.

By working with young farmers and rural communities to improve agriculture value chains—through micro-lending, vocational education, training in better planting, harvesting and selling practices, land grants, mentorship through youth farming groups and more—development practitioners can help build compelling counter arguments to convince young urban migrants of the income-generating opportunities back home.

Making women visible

Young women farmers face unique challenges in maximizing their contributions to and income from agriculture.

Alors que presque 2 dans 5 agricultural workers in developing countries are women, selon le ONU. Food and Agriculture Organization, many of them do not identify their own labor as a key part of the agriculture value chain.

“If you ask most women who you see out in the fields working, they will say ‘I am not a farmer,’” said Mehra.

And not only are women invisible to themselves as farmers, elle a dit, but often they are overlooked in agricultural development—where their potential to generate income and enhance the agricultural value chain is immense.

From planting to marketing to selling, women and girls play a variety of roles along the agriculture value chain, often in surprising ways, said Mehra.

To maximize the income-generating opportunities for these women and their families, “we need to be sure that we’re looking at both women and men. If you don’t look, then you definitely won’t find them," dit-elle.

Planting seeds for the future

In order for the seeds of training and support to youth farmers to truly take root and reap benefits beyond the life of a given program, improvements to the agriculture value chain must be sustainable.

“If you do something without a sustainability component, you leave the beneficiaries vulnerable. Because they may not continue doing it if it is not sustainable,” said Esau Tugume, former Area Coordinator for the Agriculture Extension Program for BRAC International in Uganda.

In Uganda—where 78 percent of the population is under 30 and youth unemployment is 64 percent—sustainability in youth employment and agriculture is pivotal.

Working with young female farmers ages 15 à 30, the Agriculture Extension program provided access to better seeds and farmable land—something that is often not available to young women.

But to ensure long-term success, the women and girls received trainings in life skills, financial literacy, and vocational skills for better farming as well as ongoing peer mentorship through a local club, which Tugume said is one of the most critical components for lasting gains.

“These girls have been mentored and they are monitored by a leader," il a dit, “So the beneficiary feels like she is part of the project. She owns it.”

Improving agricultural value chains and giving young men and women the tools and skills they need to grow their crops and their incomes is about more than boosting food production.

“We are all here to support young people in developing countries to lead hopeful and fulfilling lives,” said Mehra. “In doing so one of the most important things if giving them opportunities for meaningful work”[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

DC Summit provides lessons on preventing school dropout

octobre 2, 2015

4 lecture min.

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DC Summit provides lessons on preventing school dropout

Par Jennifer Brookland

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Presque 300 education and youth specialists, enseignants, researchers and practitioners, and representatives from 12 ministries of education heard evidence and replicable options for addressing the global school dropout crisis at USAID and Creative Associates International’s Sommet sur la prévention du décrochage scolaire.

The September event included a presentation of findings from one of USAID’s largest-ever impact evaluations, and panels that explored the issue of dropout both in the United States and internationally.

“Improving equitable access to education is certainly a challenge,” acknowledged Charles North, the Senior Deputy Administrator for USAID’s Bureau for Economic Growth, Education and Environment, at the opening of the School Dropout Prevention Summit. “But keeping those students in school is also a challenge. And that’s what we’re talking about today.”

Although a focus on access to education over the past 25 years has led to near-universal primary school enrollment in many countries, international attention has not been as focused on ensuring learning outcomes and completion, and school dropout has become an international pandemic.

À l'échelle mondiale, 59 million children are out of school, and millions more are failing to learn, according to Albert Motivans, the head of Education Indicators and Data Analysis at the UNESCO Institute for Statistics. The rate of out of school children has not declined much in the past seven years and today it’s actually on the rise. Worldwide, 20 percent of out-of-school children of primary school age is a dropout.

As the Millennium Development Goals expire and the Sustainable Development Goals are launched, Motivans said dropout remains « unfinished business. »

Promising interventions

Keeping students in school has long-lasting benefits for their families' health and income. One extra year of schooling increases an individual's earnings by up to 10 pour cent. — Keeping students in school has long-lasting benefits for their families’ health and income. One extra year of schooling increases an individual’s earnings by up to 10 pour cent.

Over two days the School Dropout Prevention Summit explored the global issue of school dropout, implications of dropout on youth employability, crime et violence, gang membership, and gender considerations.

It also highlighted promising interventions, piloted as part of USAID’s Projet pilote de prévention du décrochage scolaire Program in Cambodia, Inde, Tadjikistan et Timor-Leste. Mis en œuvre par Creative Associates International, the program included a low-cost early warning system that identifies at-risk students and enhances schools’ capacity to respond to their needs in partnership with families and communities, qui sont motivés et informés grâce aux journées portes ouvertes, visites à domicile, appels téléphoniques et autres activités de sensibilisation.

Data presented at the Summit showed these interventions, together with country-specific enrichment activities, were successful in boosting attendance in three of the four countries, and in lowering the dropout rate among at-risk students by 11.3 percent in Cambodia.

“Results from these randomized control trials are contributing to a body of knowledge about what schools, parents, communities and governments can put in place now to keep students from dropping out," dit Karen Tietjen, Principal Investigator for the School Dropout Prevention Pilot Program and Technical Director of Creative’s Education for Development Division.

They also underlined a key theme of the summit: the importance of community engagement in preventing dropout.

« Family and social support are probably the most important factors in who stays in school, » said panelist Stephanie Simmons Zuilkowski, an Assistant Professor at Florida State University. Her own research in post-conflict Sierra Leone confirmed that children were 45 percent less likely to drop out of school when they received more community and social support.

Supriya Bailey, an Assistant Professor at George Mason University, spoke about similar observations in India, Peru and Malawi, where girls who had support from their communities were more motivated to continue their educations.

In her closing remarks, USAID’s Senior Advisor for International Education Christy Vilsack emphasized the need for community responses as well. “We will never see significant improvement unless everyone pitches in," dit-elle.

Taking it home

The School Dropout Prevention Summit highlighted promising interventions to keep children in school for 290 attendees and representatives from 12 Ministries of Education.

Ministry of Education officials who attended the summit from other countries said they gained a greater understanding of the role of community engagement, and hoped to implement promising interventions such as Early Warning System they learned about during the event.

« There are symptoms before kids walk or are pushed out of school, but we’ve not taken much concern in that regard, » Sunday Mwape, District Education Board Secretary of Kabwe District in Zambia’s Central Province,Mwape says. « We should get beyond looking at students as a general cluster and look at them as individuals.”

« In our country, teachers are taught to teach content…They don’t know how to identify those kids before they drop out, » said Paulina Nkwama, a representative from the Prime Minister’s Office of Regional and Local Government in Tanzania, where a third of students drop out of primary school. Nkwama said she plans to request that teachers in Tanzania get more help to spot at-risk students.

By the close of the conference, Nkwama, Mwape and other Summit participants could already access tools that would help them do so.

Un online learning lab where users can find tools, resources and take courses derived from the School Dropout Prevention Pilot Program’s experience, have virtual discussions and exchange best practices is now in place.

Officials, administrateurs, and anyone committed to addressing these critical challenges can use the lab to continue to collect and share evidence for what works in preventing dropout as they consider their options for making school a place where children can learn and stay.

Reporting contributed by J.C. Finley [/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Objectifs mondiaux: Comment 17 goals can make the world better for 7 milliard

septembre 29, 2015

2 lecture min.

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Objectifs mondiaux:

Comment 17 goals can make the world better for 7 milliard

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]With the United Nations’ adoption of the 17 Global Goals for Sustainable Development, world leaders and citizens seek to end extreme poverty, fight inequality and justice and fix climate change. How do we get there? Can we reach the most vulnerable? And what does this mean for women and girls? Our experts look back on past progress and forward to the next 15 années.[/vc_column_text][vc_séparateur][vc_row_inner][vc_column_inner largeur = »1/3″][vc_column_text]

[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner largeur = »2/3″][vc_column_text]

GLOBAL DEVELOPMENT GOALS-WHAT DID WE GET RIGHT & WHERE DO WE GO?

As world leaders gear up for the next generation of development milestones—the Global Goals for Sustainable Development (ODD)—Creative’s experts weigh in on successes, faux pas et ingrédients essentiels pour accélérer la croissance et la prospérité du monde entier. 7.3 milliards d'habitants.

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THE BIG PLEDGE: SUSTAINABLE DEVELOPMENT GOALS FOR ALL

Le 17 Objectifs mondiaux, 169 indicators and 15,000 words in the accompanying agenda, can all be boiled down into one word—“inclusive.” Sean Carroll explores why reaching the furthest behind first and truly including “all” is so critical.

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WHAT THE SDGS PROMISE FOR EMPOWERING WOMEN AND GIRLS

The last 15 years saw missed opportunities to advance gender equality. Rekha Mehra, Rachel Clement and David Newstead take a look at where the SDGs are trying to do more.

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WE NEED TO KEEP CHILDREN IN SCHOOL AND LEARNING

A global focus on reading has had major impacts on education. But reading isn’t everything. Jerrold Keilson calls on the global community to push for quality and completion.

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[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_séparateur][vc_row_inner][vc_column_inner largeur = »1/3″][vc_column_text]

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LEARNING IS THE FIRST CASUALTY OF VIOLENCE AGAINST CHILDREN

The scale of violence against children– surtout les filles– is unfathomable. Cris Revaz explains why the most critical education goal is making schools places where they can be safe.

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[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Le grand engagement: Objectifs de développement durable pour tous

septembre 25, 2015

5 lecture min.

Lors d'un récent sommet sur Prévention du décrochage scolaire convoqué par les États-Unis. Agence pour le développement international et Creative Associates International, un directeur de district scolaire a partagé avec le public l’énoncé de mission de son système scolaire:

"Donner à tous les étudiants les moyens d’apprendre tout au long de leur vie, inspirés à poursuivre leurs rêves et à contribuer à la communauté mondiale.»

Il nous a demandé d’identifier le mot le plus important dans cet énoncé de mission – le mot le plus important pour réellement réaliser la mission du système scolaire.. Les membres du public ont deviné: probablement « autonomiser;» peut-être « inspiré,» ou « rêves;» peut-être « contribuer » ou « communauté ».

La réponse, il nous a dit, est « tout ».

Une mission d’inclusion

Au cours des deux dernières années, l'ONU, ses gouvernements membres et la société civile ont rédigé, commenté, élargi et reformulé le Objectifs de développement durable (ODD), pour assurer le suivi des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Et, les ODD 17 objectifs, 169 indicateurs et presque 15,000 mots dans le document d’ordre du jour ci-joint, peuvent tous être résumés en un seul mot : « inclusif ». Ou, Je réalise maintenant, synonyme, "tous."

En septembre 27, comme le 70^ème Les sessions de l'Assemblée générale de l'ONU touchent à leur fin, et avec moins de 100 jours restants dans les 15 années d’existence des OMD, le long processus de définition des objectifs de développement durable post-OMD culminera avec la ratification d’un programme par les nations du monde. Avec ça, l'ONU fera le plus grand engagement de ses 70 ans d'existence:

«…nous nous engageons à ce que personne ne soit laissé pour compte. Reconnaître que la dignité de la personne humaine est fondamentale, nous souhaitons que les objectifs et les cibles soient atteints pour toutes les nations, tous les peuples et tous les segments de la société.. Et nous nous efforcerons d’atteindre en premier les plus défavorisés.

Dans les seuls titres du 17 objectifs, « inclusif » apparaît six fois, et "tout" s'écrit 10 fois. Dans tout le document, « inclusif » est utilisé 40 fois (et « inclusion » un autre 15). « Tous » apparaît comme un énorme 163 occasions.

Atteindre en premier les plus défavorisés

L’accent mis depuis 15 ans sur les interventions et les indicateurs de réduction de la pauvreté et des inégalités dans les OMD a soulevé de nombreux bateaux.. Le nombre de personnes vivant dans l’extrême pauvreté a été réduit de plus de moitié; la scolarisation à l’école primaire est beaucoup plus proche de l’universalité; et des millions de vies ont été sauvées grâce à la lutte contre le VIH, le paludisme et la tuberculose et réduire de près de moitié les taux de mortalité infantile et maternelle.

Mais les OMD, comme le reconnaît l’agenda des ODD, étaient loin d'être rencontrés. Trois milliards de personnes dans le monde vivent toujours dans la pauvreté; plus de deux milliards sur moins de $2.00 par jour, et environ un milliard de personnes vivant dans l'extrême pauvreté, sur moins de $1.25 un jour.

Donc, l’idée selon laquelle les ODD et les cibles associées seront atteintes pour « toutes les nations, tous les peuples et tous les segments de la société » et que nous « nous efforcerons d’atteindre en premier les plus défavorisés » est audacieuse.. En plus des chiffres et des aspects économiques, nos structures d’incitation sociopolitiques n’aident pas.

darwinisme, survie du plus fort, conflit, guerre, allocations de ressources, la politique de puissance est une caractéristique commune (ou le même sous plusieurs noms) de nature humaine et sociétale et œuvrer contre l’objectif de prendre en charge les plus marginalisés et les plus vulnérables.

Les gouvernements et leurs dirigeants politiques, qu'il soit élu, nommé ou auto-désigné, sont presque toujours redevables à la majorité et/ou au pouvoir et à l’élite aisée. Pour continuer à gouverner, être réélu ou éviter le détrônement, les dirigeants doivent jouer sur leurs bases de pouvoir. Souvent, cela inclut d'éviter de faire tout ce qui pourrait donner un sentiment aux puissants, réel ou perçu, qu'ils pourraient perdre tout leur avantage.

Affliger le confort, ne laisser personne de côté

En raison de cette dynamique, Pape François, aux États-Unis. et à l'ONU cette semaine, adopte une double approche pour s’attaquer aux grands problèmes de la pauvreté, inégalités et changement climatique. Comme l'a noté un commentateur, le Pape « réconforte les affligés, et affligeant le confortable. Et, alors qu'il pousse les dirigeants politiques à faire davantage pour les pauvres, et pour la paix sur une terre durable, il veille également à ne pas les dénigrer, et de reconnaître leur rôle central, rôle critique.

Peut-être maintenant les leçons des controverses, des transitions durement disputées, libérations et reconnaissances du passé 200 + les années prédisent un renversement de la tendance.

Nous avons vu le mouvement des droits civiques aux États-Unis., la lutte contre l'apartheid en Afrique du Sud, reconnaissance des droits des autochtones en Amérique latine et en Australie, et les protestations locales font reculer ou modifient les projets de barrages destructeurs, urbanisation ou mines. Tous ces mouvements ont commencé avec des objectifs de changement apparemment impossibles contre toute attente.. Tous réussissent lorsque les gouvernements reconnaissent que « céder »,' pour changer et inclure tous, ce sera finalement le bon chemin, la victoire.

Ces batailles et ces victoires nous ont appris que si l'un d'entre nous est injustement appauvri, emprisonné, ou infirme, privés de leurs droits ou marginalisés, alors nous le sommes tous. Un ancien ministre de la police du gouvernement de l'apartheid en Afrique du Sud m'a dit un jour qu'il avait fêté la victoire de son gouvernement ce soir-là., et toute la structure du pouvoir blanc, terminé. Quand les journalistes lui ont demandé pourquoi il dansait, il a dit, "Parce que moi aussi je suis désormais libre."

Les institutions et les programmes se concentrent désormais régulièrement sur la manière dont les gouvernements et la société civile organisée, qui représente souvent les minorités et les personnes autrefois sans voix, peuvent travailler ensemble pour parvenir à l’égalité, prospérité, éducation et justice climatique pour tous. Le Rio et le Rio +20 processus de changement climatique, le Mouvement mondial pour la démocratie, le Partenariat pour un gouvernement ouvert, le projet de sociétés partagées du Club de Madrid, pour n'en citer que quelques-uns parmi tant d'autres, sont tous structurés pour rapprocher les gouvernements et les citoyens..

Ces mouvements reconnaissent que les gouvernements et les citoyens ont besoin les uns des autres pour progresser ensemble., et que l'un agissant sans consulter et soutenir l'autre, n'est pas durable. Travailler ensemble pour ne laisser personne de côté, aboutira finalement à la dignité, égalité et prospérité pour tous.

Tel est le message et la promesse des ODD. C’est un message auquel le Pape fait écho, tout comme chaque dirigeant d’un État membre de l’ONU à son tour sur le podium. Et la société civile, qui représente ensemble tous les peuples du monde, travaillera avec les gouvernements., et les tenir responsables, pour garantir que « tout » signifie réellement « tout ».

Sean Carroll est directeur principal chez Creative Associates International.

Les enseignants communautaires se mobilisent pour soutenir les enfants déplacés

septembre 2, 2015

4 lecture min.

Enseignants travaillant avec le Nigeria’s enfants et jeunes déplacés à l’intérieur du pays, dont beaucoup ont été traumatisés par la violence des insurgés, sont appelés à faire bien plus qu’enseigner. USAID’Le programme Education Crisis Response offre aux enseignants des centres d’apprentissage non formel une formation de sensibilité spécialisée et les guide dans la création d’un environnement convivial., environnement d'apprentissage accueillant et favorable.

Ahmad Ali aime enseigner. En particulier, il attend avec impatience les garçons et les filles lors de ses cours de l'après-midi dans le village de Gwallaga au Nigeria.

Il les décrit comme spéciaux, unique et chanceux. Ils viennent d'autres communautés déchirées par les insurgés., obligeant les enfants à fuir vers la sécurité à Bauchi et dans ses environs.

Le village participe à un programme qui a créé un centre d'apprentissage non formel pour répondre aux besoins éducatifs et psychologiques de ces enfants déplacés internes..

"Bien, il y a beaucoup de changements pour eux," Ali dit. «Certains d'entre eux ont perdu leurs parents, ce qui leur a fait peur. Ils ne faisaient confiance à personne, et aussi à cause des situations difficiles dans lesquelles ils se sont retrouvés, il devient parfois très difficile de les contrôler.

Ali raconte que pendant le temps que les enfants déplacés internes passaient ensemble, avec les services de soutien du centre non formel, des progrès ont été réalisés.

"Au fur et à mesure que les jours passaient, ils sont venus," dit-il. "Nous avons fini par parler et rire ensemble tout le temps."

Ali et d'autres enseignants ont été sélectionnés pour être formés dans le cadre du programme Education Crisis Response., une initiative des États-Unis. Agence pour le développement international. Mis en œuvre par Creative Associates International en coopération avec le gouvernement nigérian, dirigeants communautaires et organisations de la société civile, il est conçu pour aider les enfants déplacés internes du nord du Nigeria à accéder à l'alphabétisation., mathématiques et compétences de vie afin qu’ils puissent éventuellement réintégrer le système scolaire formel du pays.

Attirer des enseignants des communautés locales

Pour atteindre cet objectif, Education Crisis Response s’est tourné vers les communautés d’accueil elles-mêmes pour trouver les enseignants nécessaires.

« Nous avons contacté la communauté et lui avons demandé, 'Peux-tu [identifier tout] enseignants formés, enseignants à la retraite ou toute autre personne,", dit Ayo Oladini, Directeur de la réponse à la crise de l'éducation au Nigeria. "Ensuite, nous faisons passer un petit test d'aptitude et pouvons en sélectionner un qui sera un facilitateur."

Les enseignants locaux, également appelés facilitateurs et instructeurs d’apprentissage, ont une compréhension unique non seulement de la dynamique locale mais aussi des besoins des étudiants.. Parce que de nombreux jeunes ont été traumatisés lors de leur déplacement forcé, les enseignants reçoivent une formation supplémentaire de sensibilisation spéciale.

Promouvoir la sensibilité & "ne fais pas de mal"

« Nous travaillons selon le principe « ne pas nuire »,"" dit Oladini. « Avant même d’impliquer les enfants, nous les accueillons pour une orientation et une formation, en grande partie pour leur faire savoir que c'est une école, accordé, mais c'est une école avec une différence.

Pendant les cinq jours de formation, les enseignants apprennent à créer un environnement d'apprentissage convivial et accueillant pour les enfants souvent traumatisés, intégrer des activités de groupe et des loisirs, une rupture avec les contextes généralement plus formels de type cours magistral de la plupart des salles de classe nigérianes.

Les animateurs apprennent des techniques qui créent un environnement centré sur l'étudiant., au lieu de compter sur des cours, notes au tableau et mémorisation.

Les enseignants dans le 294 les centres d'apprentissage créés par Education Crisis Response sont également encouragés à inviter les dirigeants des communautés locales dans leurs salles de classe pour mettre l'accent sur les messages de paix et de tolérance..

Déplacés depuis des années dans certains cas, de nombreux étudiants sont confrontés à des défis extrêmes auxquels les enseignants du programme doivent également être préparés.

Aider les étudiants à rattraper leur retard

« Quand ces enfants sont arrivés, nous avons découvert que la plupart d'entre eux ont beaucoup perdu en éducation parce que la plupart d'entre eux [avoir] est resté deux ans sans aller à l'école," dit Jummai Dauda, un instructeur au centre d'apprentissage non formel Sabon Kaura à Bauchi. «Quand j'ai commencé avec eux, la plupart d'entre eux ont oublié presque tout ce qu'ils avaient appris à l'école, parce que quand ils sont venus, ils ne savent pas lire, ils ne peuvent pas écrire.

Les enseignants créent eux-mêmes des structures de soutien au sein des groupes d'élèves grâce au travail en binôme et en groupe.; les étudiants plus avancés peuvent servir de mentors en classe à ceux qui sont en retard.

Il est important que les animateurs de la réponse éducative aux crises enseignent dans les langues locales en mettant l'accent sur l'alphabétisation.. Cet accent, Oladini explique, offre aux étudiants plus de possibilités d'apprentissage même après avoir quitté le programme.

« Nous recyclons désormais ces enseignants sur la façon d'enseigner la lecture, avec l'espoir que lorsque vous serez capable de lire, tu es capable de comprendre," Oladini a dit. "Ensuite, vous pouvez utiliser cette compétence dans d'autres matières et obtenir de très bons résultats."

Un effort communautaire

Pour soutenir son cadre d’enseignants, le programme s'appuie sur des comités locaux connus sous le nom de coalitions communautaires pour soutenir chaque facilitateur., aider à surveiller l'assiduité et à fournir des fournitures de base aux étudiants en cas de besoin. Les responsables de l'éducation des gouvernements locaux sont également encouragés à effectuer des visites régulières dans les salles de classe et à donner leur avis sur le programme, qui pourra ensuite être utilisé lors de futures formations d'enseignants..

Avec plus de 1.2 millions de personnes déplacées par les insurgés dans le nord-est du Nigeria, les besoins sont grands. Mais pour les professeurs comme Dauda, les preuves du succès du programme sont partout.

David, qui a travaillé dès le début avec des étudiants peu alphabétisés, a déclaré qu'elle mesurait la réussite non seulement sur le plan académique, mais aussi sur l'esprit de ses étudiants..

"Quand nous avons commencé avec eux maintenant, Je peux y voir beaucoup de changements, parce que la plupart d'entre eux savent lire maintenant, et ils peuvent écrire," Dauda a dit. « Et presque tous sont heureux d’être à l’école. »

Produit pour l'USAID par Creative Associates International. Écrit par David Snyder, avec un reportage de Michael J. Zamba et Ernest Akoma au Nigéria.

Un coup de main: Les communautés nigérianes se mobilisent pour soutenir les jeunes déplacés

septembre 2, 2015

4 lecture min.

Afternoon classes have just ended and the children were playing in the courtyard in front of Sabon Kaura school, though the heat in Bauchi, Nigeria, didn’t slow down the approximately 30 étudiants. They were happy to be in school at all.

Jusqu'à récemment, le 10 à 13 years old students in the Sabon Kaura school lived in other communities in Northern Nigeria. Cependant, those schools no longer exist. En effet, some of their villages have been abandoned.

An insurgency has wreaked havoc on parts of Nigeria, displacing more than 2 million people—one of the largest concentrations of internally displaced persons in Africa. Plus que 1 million school-aged children and youth have been set adrift inside the country, déchirés de leurs communautés et de leurs écoles.

With the magnitude of the situation, les États-Unis. Agence pour le développement international, ainsi que des représentants de l'État et des organisations non gouvernementales, intervenu avec le programme de réponse à l'éducation de la crise.

Lancé en 2014, the goal of the program is to expand access to quality and protective non-formal education (NFE) and alternative education opportunities for out- of-school children, âge 6-17 in three Nigerian states and reduce the burden on local schools already stretched thin by limited resources.

Il est mis en œuvre par Creative Associates International (CreativeAssociatesInternational.com) and the International Rescue Committee (rescue.org), along with in-country NGOs and officials from the state and local governments.

Calling on the community

The pastor who oversees the Sabon Kaura school in Bauchi says his community welcomed the displaced children, many of whom arrived to his church.

“Because we had almost 500 [internally displaced persons], the church could not contain them, so a lot of people volunteered to take them home,” says Joshua Inaliya, Pastor of the Church of
the Brethren in Bauchi.

The key to the program is engaging those communities where the displaced populations live, says Helen John, Community Mobilization and NGO Coordinator for the program.

“We are relying on existing structures, and the community is one such structure because they are already on the ground,” John said.

With an estimated 90 percent of those displaced living with friends and relatives, local communities are best positioned to identify children most in need. The Education Crisis Response program coordinates with state government to determine where the largest IDP populations are located and then approaches leaders in those communities to get buy-in for the intervention.

“Our first point of call was the community heads,” John explains. “We went to…tell them the purpose of the project and what we intend to do in their communities. There is no way we can succeed if the community does not support our work.”

Creating local learning centers

Once the scope of the program has been explained, host community leaders can help program staff identify residents to act as Learning Facilitators for the children and select local sites to be used as non-formal learning centers.

The leader of the Gwallaga Village in Bauchi, Dandada Ahmadu, immediately embraced the project.

“Seeing the children and knowing that they stopped going to school, we began to consider what to do to get them back to school,” says Ahmadu. “So we started working together with USAID and [Bauchi’s] social welfare to support the children.”

In Gwallaga, the village chief arranged for two classrooms at a public school to be used as a “non-formal” learning center, which allowed the displaced children attend classes in the afternoon.

These classrooms use a curriculum of math and reading approved by Bauchi’s State Universal Basic Education Board, with the ultimate goal of reintegrating the children back into a formal learning environment.

“Despite the fact that they are not in their communities, they’re…still continuing with their education,” John said. “We intend that after nine months they mainstream into the formal schools.”

Building community coalitions

To ensure ongoing support, the Education Crisis Response program works closely with local community groups once the learning centers have been established.

Known as Community Coalitions, these groups work together to manage the activities at the learning centers, check attendance, pool resources to provide basic meals and supplies and support the facilitators.

Because they live locally, John points out, these coalitions are well positioned to provide support where it is needed most.

“The Community Coalition as a structure is instrumental in making things happen in our centers,” John said, and “are closer to the people, so they’ve been able to see what we cannot see at the grassroots.”

Avoir hâte de

To ensure sustainability after the Nigeria Education Crises Response program ends, state officials have increased their support to the pilot learning centers, providing blackboards, books and other supplies, while also monitoring the lessons carried out as part of the non-formal curriculum.

That support, John underlined, will be critical to the long-term success of the program.

“I’m very sure with time the government should be able to take these centers so that they continue,” John says. “We…have internal displacements that are coming to our communities, so we should be able to respond to them because they are also children of Nigeria.”

As the insurgency continues across parts of Northern Nigeria, des défis demeurent. More children are displaced each day and many of those in the learning centers are still vulnerable as their families are repeatedly uprooted.

The Education Crises Response program provides stability by engaging the support of local communities and, with it, peace of mind that has been missing for many amidst the uncertainty of life in a conflict zone.

For Helen John, it is this peace of mind that makes her work with the program personal.

“In talking with the kids, because of what has happened, they are feeling as if all hope is lost,” John says. “But with this project they’ve been able to at least come to the realization that it is not the end for me. I can still make it in life.”

Produit pour l'USAID par Creative Associates International. Écrit par David Snyder, avec un reportage de Michael J. Zamba et Ernest Akoma au Nigéria.

Nigeria: Education Crisis Response Program Community Engagement

septembre 2, 2015

1 lecture min.

Avec plus de 2 million people displaced by insurgents in northeastern Nigeria, it takes a community effort to meet the needs of internally displaced children. USAID’s Education Crisis Response program works closely with communities that host internally displaced children and youth, relying on Community Coalitions to support teachers and champion continued education.

Nigeria: Instructors Meet Unique Needs of Displaced Children

septembre 2, 2015

1 lecture min.