Créatif & OAS partner to boost electoral monitoring

mars 30, 2015

3 lecture min.

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Créatif & OAS partner to boost electoral monitoring

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Creative and the Organization of American States signed an agreement to develop handbooks and training to identify and eventually mitigate electoral threats, violence and malpractice, ça a été annoncé en mars 25.

Speaking at the signing ceremony on March 25, Président créatif Leland Kruvant praised the partnership as another significant step toward ensuring electoral integrity and promoting good governance for Organization of American States member countries.

The Creative-OAS agreement will result in new handbooks and indicators to better asses threats to electoral integrity. — Creative President Leland Kruvant and OAS Director of the Dept. de coopération et d'observation électorales Gerardo de Icaza signe un accord pour renforcer la surveillance électorale dans les États membres de l'OEA.

« C'est un honneur pour Creative Associates de faire partie de cet important projet et d'appliquer notre expertise électorale pour élaborer un programme de formation permettant aux délégations de l'OEA de mieux évaluer l'impact de la violence., malversations et fraudes sur les résultats des élections parmi les États membres de l’OEA," Kruvant a dit.

Lors de la cérémonie de signature du partenariat, Kruvant a souligné l'importance de protéger les élections contre la violence et les mauvaises pratiques dans le cadre d'une mission plus vaste visant à garantir une gouvernance démocratique et un engagement citoyen significatif..

Directeur de l’éducation électorale et de l’intégrité de Creative, Jeffrey Carlson, fait écho aux commentaires de Kruvant et souligne l’importance de ces nouveaux matériaux.

« Les manuels qui en résulteront fourniront des orientations importantes à ceux qui effectuent des observations électorales et à ceux qui mettent en œuvre les recommandations ultérieures dans la région de l'OEA et au-delà tout au long du cycle électoral.," dit Carlson.

Creative soutiendra les équipes de la mission d'observation électorale de l'OEA dans l'élaboration des manuels sur l'observation de la violence électorale et l'observation des fautes professionnelles., qui contiendra des indicateurs qualitatifs et quantitatifs intégrés pour évaluer les menaces pesant sur intégrité électorale, y compris la violence électorale et les mauvaises pratiques.

Les informations recueillies grâce à ces outils permettront à l’OEA de mieux pouvoir formuler des recommandations aux pays dont elle observe les élections., déclare le conseiller électoral principal de Creative Jeff Fischer.

«Cette méthodologie comprendra une évaluation des vulnérabilités afin d'identifier les structures, les maillons faibles procéduraux ou comportementaux de l’intégrité électorale afin que les conséquences de ces vulnérabilités puissent être signalées pour examen," dit Fischer.

Fischer affirme que la méthodologie aidera à surmonter les défis liés à l'identification et au suivi des mauvaises pratiques électorales, qui est souvent plus difficile à détecter que la violence électorale.

« Même si la violence électorale peut être surveillée en temps réel, c'est-à-dire que les incidents sont signalés lorsqu'ils sont observés, les malversations électorales peuvent ne pas être évidentes en surface. Sa perpétration peut survenir au début du cycle électoral, par exemple lors de l'inscription des électeurs," dit Fischer. "Par conséquent, les conséquences d'une inscription frauduleuse sont visibles le jour du scrutin, mais le crime initial a eu lieu des mois auparavant.

Dans 2014, l'OEA déployé neuf missions d'observation électorale dans toute l’Amérique centrale et du Sud et dans les Caraïbes. Au cours des trois premiers mois de cette année, l'organisation a déjà déployé des missions d'observation électorale à Saint-Pétersbourg. Kitts et Nevis, El Salvador et Bolivie.

Expertise en sécurité électorale

Ayant mené évaluations de la sécurité électorale dans des environnements aussi diversifiés et difficiles que l’Afghanistan, Bangladesh, Burundi, Colombie, Guatemala, les Philippines, Soudan du Sud, Zambie et Zimbabwe, L’équipe électorale de Creative a de l’expérience dans le développement de cadres de surveillance et de sécurité électorales pratiques et précis..

Le personnel créatif a également participé à deux audits électoraux supervisés au niveau international en Afghanistan et en Haïti..

En partenariat avec les États-Unis. Agence pour le développement international, l'équipe, dirigé par Fischer, a publié deux manuels sur Meilleures pratiques en matière de sécurité électorale et un Cadre de sécurité électorale.

Ces manuels présentent des approches pour identifier les facteurs de risque de violence électorale, et concevoir et mettre en œuvre des stratégies pour prévenir, l'atténuer et y remédier lorsqu'il se produit. L’équipe électorale de Creative s’appuiera sur ces meilleures pratiques pour soutenir la méthodologie d’observation de la violence électorale de l’OEA..

La méthodologie utilisera également les fonctionnalités de « Monitoring and Observation for Violence in Elections » de Creative. (SE DÉPLACER) modèle et intégrer les informations de l’enquête mondiale auprès d’experts dans l’élaboration du manuel sur les fautes professionnelles électorales.

Le Primer a été créé en collaboration avec Sarah Bouleau, Doctorat., de l'Université de Glasgow, le développeur de l'Index des fautes professionnelles électorales[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Tempérez vos attentes en matière de lecture après 2015

mars 24, 2015

4 lecture min.

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Tempérez vos attentes en matière de lecture après 2015

Par Jennifer Brookland

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Les succès des programmes de lecture en bas âge ont suscité chez certains un sentiment d'enthousiasme débridé selon lequel un changement rapide et significatif n'est pas seulement possible., mais attendu.

Les experts mondiaux de l’éducation plaident désormais pour que les indicateurs de lecture et les résultats d’apprentissage soient inclus dans la prochaine série d’objectifs de développement mondiaux.. Mais l’accord sur la nécessité d’inclure ces objectifs n’élimine pas la controverse sur ce qui peut être raisonnablement réalisé..

Des experts au 2015 Conférence sur les systèmes éducatifs comparés et internationaux reminded that while some early grade reading pilots have shown impressive success, these “hothouse” experiments have no guarantee of achieving similar results once taken to scale.

The environment matters

Parental enthusiasm, educational policies that support reading instruction and practice time and even the pace at which printers can create new materials are all factors that shape the success of pilot projects that grow up.

Not to mention circumstances that affect education systems in drastic ways, such as conflict, corruption and systemic weaknesses like poor supervision, teacher absences, and poor teacher preparation.

Karen Tietjen, Directeur technique de Creative Associates International Division de l'éducation pour le développement, pointed out that no matter how promising a pilot, results may be harder to achieve when faced with the realities of weak institutions, classes de grande taille, inefficient inspectorates and chronic underfunding.

She added a surprising factor that should be considered in setting expectations for the pace of change: Ministry of Education support. While government ownership is critical for scaling-up reading programs, it can have unanticipated consequences if turnover is high or budgets constrict.

“MOE ownership is essential to progress but it also may slow it," dit Tietjen. “As more people own it, there are more voices, more stakeholders, the political stakes get higher, and we need to factor that into our scheduling for the development and rollout of these programs.”

An honest look at reading gains

A girl in Chipata, Zambia practices reading with her mother. The impressive results of some pilot reading projects might be replicable at scale, but are not guaranteed.

L'USAID a fait de la lecture une priorité 2011 lorsqu'il améliore les compétences en lecture des 100 millions d'enfants dans les classes primaires d'ici 2015 comme objectif un dans son stratégie éducative, et oles résultats de certains programmes de lecture en première année ont été impressionnants.

Les jeunes étudiants égyptiens qui ont participé à des programmes de lecture ont pu lire de manière significative plus de mots par minute, selon un autre panéliste à la conférence du CIES.

« Nous avons réussi à transformer des élèves de deuxième année en élèves de troisième année.," a déclaré Amber Gove, Directeur de recherche chez RTI, qui a mis en œuvre le projet égyptien. « Pour le Libéria, c’était environ le double. Nous avons transformé les élèves de deuxième année en élèves de quatrième année.

Tietjen a présenté les résultats des projets de lecture en maternelle de Creative financés par l'USAID en Yémen et Zambie-des projets dont elle a dit qu'ils étaient « très élevés » tailles d'effet in children’s listening comprehension and ability to identify sounds and letters.

Au Yémen, Par exemple, after four months of instruction under Creative’s early grade reading program, first and second graders could read 16.3 mots corrects par minute, compared to students in control schools who managed just six.

Cependant, Tietjen pointed out that positive changes dropped off at more advanced skills such as word decoding, reading fluency and reading comprehension.

“We’ve had really huge increases, we’re proud of ourselves for being able to move them from where we were at baseline,” said Tietjen of the first cohort of second grade students evaluated in Yemen. “But nonetheless we’re woefully under what we could consider acceptable.”

Lower your expectations?

Taking interventions to scale is key to USAID’s efforts to achieve Goal One. It’s Tous les enfants lisent: Un grand défi pour le développement partnership continues to work toward creating cost-effective reading interventions that can be grown from classrooms to countries.

But panelists agreed from experience that promising results in small-scale projects should not lead to assumptions about anticipated success when those initiatives are scaled up.

“We’ve not really looked across all these projects to see what it would take to really move the needle on reading, said Audrey-Marie Schuh Moore, Director of Monitoring, Evaluation and Research at FHI360.

“Each project has targets, but we need a more comprehensive cross-donor look on what actually works and what really influences education outcomes.”

As more evidence is collected from reading pilots, practitioners will be able to better understand why gains that were high in a pilot may not play out in the same way when taken to scale. The duration of the project, the “dosage” students and teachers received, and the context in which the project takes place are critical variables that development organizations must tease apart when evaluating what works.

Until then, expectation management is key.

“Maybe expecting half as you move from 60 schools to several thousand might be reasonable, maybe it’s a third,” said RTI’s Gove. “I think we’ll have to let that play out and see.”[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Malgré l’écart entre les sexes, le mobile reste un outil intelligent

mars 13, 2015

3 lecture min.

Les téléphones mobiles rendent l'apprentissage plus accessible, mais les femmes et les filles sont encore plus susceptibles d'être laissées pour compte.

L'UNESCO organise chaque année la Semaine de l'apprentissage mobile pour permettre aux acteurs du développement international, bailleurs de fonds, les chercheurs et les entreprises partageront leurs recherches et leurs meilleures pratiques sur l'utilisation de l'apprentissage mobile pour soutenir tout, de l'éducation de base à la formation en matière de développement de la main-d'œuvre et de santé., agriculture, et éducation électorale.

Plus que 1,000 participants de 70 pays participants l'événement de cette année, qui s'est concentré sur un domaine où l'augmentation de l'apprentissage mobile met en évidence une lacune importante. Dans un monde où l'éducation, les formations et autres ressources sont de plus en plus disponibles sous forme numérique, ces ressources restent plus accessibles aux hommes et aux garçons qu’aux femmes et aux filles.

L'apprentissage mobile devrait être un grand égaliseur. Après tout, toute personne disposant d'un appareil mobile ou d'un accès à Internet peut trouver des livres, cours et informations facilement et discrètement. Plutôt, la disponibilité de la technologie mobile met en évidence l’importante fracture numérique actuelle entre les hommes et les femmes.

En basse- vers les pays à revenu intermédiaire, les femmes sont 21 pour cent moins susceptibles de posséder un téléphone portable que les hommes, selon l'UNESCO et les téléphones portables statistiques recueillies par la GSMA et la Fondation Cherie Blair.

Intel a trouvé dans son rapport Les femmes et le Web que, en moyenne, 25 Pourcentage de femmes en moins que d’hommes dans les pays en développement ayant accès à Internet, avec cet écart à presque 45 pour cent en Afrique subsaharienne.

En plus des difficultés d'accès, Les obstacles qui empêchent les femmes et les filles de profiter pleinement des opportunités d’apprentissage mobile incluent également de faibles compétences en alphabétisation et en technologie et la nécessité d’un contenu et d’une pédagogie plus sensibles au genre..

Apprentissage mobile au travail

Malgré ces barrières, les participants à la conférence ont convenu qu'étant donné l'omniprésence des appareils mobiles, et la croissance rapide de la possession de smartphones dans le monde, ils constituent l’un des meilleurs outils dont nous disposons pour aider les femmes et les filles à apprendre, acquérir des compétences et vivre une vie saine et autonome.

Les présentateurs de la conférence ont partagé les moyens créatifs qu'ils utilisent pour réduire les obstacles à l'accès des femmes et des filles., et les programmes qui ont un impact.

Plusieurs groupes, Par exemple, discuté de la manière dont ils utilisent les plateformes vocales pour apprendre afin de garantir qu'ils peuvent atteindre à la fois les femmes alphabétisées et analphabètes. Les médias comptent pour les femmes en Sierra Leone a développé un modèle dans lequel des professionnels des médias formés développent et enregistrent des segments audio sur des sujets tels que les droits de l'homme., santé reproductive et Ebola.

Les segments parviennent aux communautés par l'intermédiaire d'auditeurs-distributeurs qui reçoivent les segments sur un téléphone mobile et les transfèrent ensuite aux femmes via Bluetooth., une technologie que l'on retrouve aujourd'hui même sur les téléphones très bas de gamme. Les femmes peuvent alors continuer à partager les segments audio via Bluetooth ou les lire pour des groupes d'auditeurs..

VOTEZ mobile au Ghana utilise à la fois les SMS et la réponse vocale interactive (SVI) technologie pour fournir aux femmes des informations sur la santé maternelle et néonatale. Ceux qui s'abonnent au service vocal reçoivent des appels réguliers, qui diffusent des messages d'éducation sanitaire préenregistrés dans la langue locale.

Présentation de l’équipe Technologie pour le développement de Creative son modèle de lecture mobile, qui permet aux femmes de s’impliquer davantage dans l’alphabétisation de leurs enfants en leur dispensant la langue maternelle, histoires de petite enfance par SMS aux parents. Ces histoires SMS sont développées pour être sensibles au genre en incluant des personnages féminins autonomisants et des thèmes tels que la scolarisation des filles..

Le modèle sera testé en Zambie grâce au soutien du Tous les enfants lisent: Un grand défi pour le développement partenaires: USAID, Aide australienne et vision mondiale.

Creative a également présenté sa plateforme d'apprentissage mobile et en ligne CréatifU—une plateforme qui contribue à rendre les opportunités d'éducation et de formation de haute qualité plus facilement accessibles à toutes les personnes impliquées dans le développement..

Les filles instruites se marient plus tard, avoir moins d'enfants, des familles en meilleure santé, mieux comprendre leurs droits et acquérir la confiance nécessaire pour les défendre.

Tirer parti de la technologie mobile pour accroître la parité et l’autonomisation en matière d’éducation contribuera à réduire la fracture numérique entre les hommes et les femmes., et conduire à davantage de développement, des progrès en matière de genre et de droits humains que nous voulons tous réaliser.

Pourquoi diviser le foyer améliore la compréhension

mars 12, 2015

3 lecture min.

In this industry, we know well that what we can’t measure, we can’t improve. And right now, we often don’t do a great job of measuring women’s economic contributions.

This is in part because we look at the “household” as a single unit, ignoring the people within it. Autrement dit, we don’t take separate account of what work women and men do, what women earn or if they earn at all. Yet these are important pieces of information that can guide and transform our programming.

Au cours du passé 20 years or so we’ve learned the power of disaggregating data beyond the household level.

Par exemple, disaggregating household data by sex revealed that women contribute significant amounts of labor to farm production and, more interestingly, did not get paid for it even when their spouses did.

This kind of analysis can help us understand roles and responsibilities in health, agriculture and education, create more nuanced and effective development programs and gain a deeper and more honest understanding of the changes that result from our work.

It can lead us to insights about how and why men and women adopt and use technologies, invest in their children’s learning, save or spend and an almost unending list of other questions that shape the way we do our jobs.

Research shows, Par exemple, that when women earn, control and allocate income, the whole household benefits: children are more likely to go to school and to be better nourished.

We know that men and women often approach economic decisions differently, and are affected differently by the outcomes of those decisions.

In a talk called Creating Shared Value: The Role of the Private Sector in Agricultural Development, Macani Toungara, Senior Manager for Program Development at TechnoServe, reported that when women and men in coffee-producing households in Ethiopia were encouraged to speak to each other and share in business decision-making, a follow-up survey showed that more women shared in the proceeds from coffee sales and reported feeling more empowered.

When it comes to economic empowerment, we know from speaking directly to women farmers that they soins about the earnings.

So what have we done with the powerful information that separating our data by individuals within the household leads to completely different understandings? Malheureusement, not enough.

Although it is getting better, many development researchers and practitioners still talk about households as a unit and not about the individuals within it. Even though disaggregating our data by sex would go a long way in fostering a “gendered” understanding, most aren’t doing it.

Some believe it would increase the costs of data collection, although there are easy ways to avoid this when conducting surveys. Others have misconceptions about what collecting this kind of data means, or what its purpose is, wrongly thinking it focuses only on women, or compares male and female-headed households.

The true purpose of sex-disaggregated data is to “to identify differences in the needs, roles, statuses, priorités, capacities, constraints and opportunities of women and men, and to use this information in the design, implementation and assessment of research, policy and programs," selon a study I directed for the International Center for Research on Women.

The lesson here is simple and powerful but not always practiced: Both women and men are development clients and beneficiaries, and their needs, interests and contributions often diverge.

And of course sex is not the last area where data could be broken down to make it more informative. Age, education level, cultural background and any number of factors can help us see which differences matter, Et comment. Maybe in this age of “big data” we will get closer to complete disaggregation and micro-level analysis.

Pour l'instant, let’s take the first step of looking into and within the household. We can only know, understand and act on these differences if we disaggregate the household, speak to and take account of both women and men, and report our results accordingly.

Let Girls Learn is U.S. & global priority

mars 10, 2015

4 lecture min.

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Let Girls Learn is U.S. & global priority

Par Jillian Slutzker

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text] i-KQQ4NrK À l'échelle mondiale, 62 million girls are out-of school, selon l'UNESCO. Limited access to education, and cultural and economic barriers preventing girls from attending school, cost the world 62 million untapped opportunities to improve family income, a community’s prosperity and national growth and stability.

To change this situation, the Obama Administration announced its new Laissez les filles apprendre initiative to boost school attendance and graduation rates for adolescent girls globally.

“This initiative is particularly critical in light of recent and ongoing attacks against girls who simply wish to attend school and receive a good education,» dit Cris Revaz, Senior Education Counsel at Creative Associates International, which commends and fully supports the Administration’s Let Girls Learn initiative.

Revaz says community-led solutions that protect girls attending school are critical, citing recent attacks like the abduction of school girls by Boko Haram in Nigeria last year. “A safe and secure school where girls and boys are free from bullying, violence and other human rights abuses is a fundamental prerequisite for learning," dit-il.

Études have shown that the more time a girl spends in secondary school the more likely she is to achieve a higher level of economic stability and the less likely she is to enter an early marriage, contract HIV/AIDS or get pregnant as a teen.

“Adolescence is a formative time for girls when they have a chance to equip themselves for a better future. Education is vital” says Rekha Mehra, Gender and Development expert at Creative.

En partenariat avec les États-Unis. gouvernement, multilateral development organizations, locale, partenaires nationaux et internationaux, Creative has for decades advanced access to quality education for women and girls from Afghanistan à Malawi à Ouganda, recognizing that the benefits of girls’ education are reaped by the individual, her family, her community and her country.

Long-lasting & communal benefits

i-2jBhp93 The knowledge an adolescent girl gains in the classroom goes beyond textbooks or even technical job skills and can have a profound positive effect on a girl’s future, including her sexual health and physical safety.

“Research has proven that girls who complete secondary school gain self-confidence and are able to understand and defend their basic rights and navigate relationships where they become less exposed to gender-based violence,» dit May Rihani, a global leader in girls’ education and women’s rights and former Co-Chair of the UN Girls’ Education Initiatives.

En fait, the spillover effects of an educated girl reverberate throughout her community, says Creative’s Mehra, noting that just a couple years of additional schooling can bring significant improvements for women—better health outcomes, better work options, higher earnings and delayed marriage age. It even brings positive changes for the next generation from lower rates of infant mortality to higher education attainment for the children of educated women.

Closing the gap at adolescence

IND09191427 Au cours des dernières années, gaps between girls’ and boys’ primary school enrollment have narrowed in two-thirds of countries, selon l'UNICEF. But as students move to secondary school, girls drop out at greater rates than boys and the gender gap widens, which will have significant detrimental effects on countries’ economic progress as their potential workforces are, dans certains cas, operating with half as many workers as they could be.

“We still have a way to go in women’s economic participation, which has been virtually stagnant since the 1995 Beijing Women’s Conference,” says Mehra. "Seulement 55 percent of women are in the workforce compared to 82 pourcentage d'hommes. Women’s work is mainly in the informal economy—low-paid and unstable. Education is the route for adolescent girls to be prepared for better paid and more stable work in the formal economy.”

Community-led solutions

With a focus on capacity building and sustainable local solutions to bridge the adolescent gender gap in education, the Let Girls Learn initiative will focus on community-led solutions.

“Community-led solutions are definitely smart and, perhaps, même nécessaire,” says Mehra, noting that complex, interrelated factors often combine to keep girls from attending school. These factors include poverty, lack of understanding of the value of education, religious or cultural restrictions on girls’ mobility, concern for girls’ safety and norms that favor boys’ education.

In many places, when girls reach puberty, cultural norms lead them to drop out of school and get married, says Rihani. The Let Girls Learn initiative, elle dit, aims to support these most vulnerable girls at greatest risk of dropping out who are up against societal pressures.

Part of the solution to overcoming these societal pressures, says Mehra, is to secure community buy-in in for programs that keep their daughters and sisters in school.

“In order to get more girls to school, we need to change attitudes and norms that pose barriers to school attendance,” says Mehra. “We need to educate parents, families and communities about the value of girls’ education, and get their buy-in so we can support them in devising their own solutions to local barriers.”

With Let Girls Learn in full swing, the international development community can expect more investment in adolescent girls’ education, says Rihani, noting that the private sector will also have a key role to play in these efforts.

These is a great need for this concerted effort with the Let Girls Learn initiative, says Mehra. As an example of this need, she cites that of the 126 million illiterate youth (15-24 années), 62 percent are female, which is almost the same proportion as adult women who are illiterate, selon l'UNESCO.

“We don’t want female disadvantage to continue,” says Mehra. “We want change that promotes equality and gives girls access to the many benefits of education.”[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

A personal journey for social change from Monrovia to D.C.

mars 10, 2015

3 lecture min.

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I can still remember the night of Dec. 21 when I boarded the Air Maroc flight to Dakar, Sénégal. My mom traveled seven hours from rural Liberia to see me off. I had just celebrated my daughter’s second birthday the day before, and Ebola was still in full swing throughout the country.

As I boarded the flight, I kept asking myself, “Is the Atlas Corps Fellowship worth my entire 2015? Will my daughter remember me when I get back? How easy will it be to reintegrate into Liberian society when I return?»

I was painfully aware of how big this decision was, and just how much it could have an effect my own life—as well as the lives of the people I was leaving behind.

But this journey was about more than just living in another country, far away from the people and places I know and love. This journey would help me get the tools, knowledge and experience I needed to ramp up the technology for development and social change revolution back home in Liberia.

Arriving in D.C. was a total culture shock– the cold weather, the always available electricity, the people and the simple things like transportation systems.

Liberia has endured 14 years of on and off civil war, during which the country experienced one of the largest recorded economic collapses with national Gross Domestic Product falling by more than 90 pour cent de 1987 à 1995. Although the war ended in 2003, it left a legacy of extreme hardship—with almost two-thirds of Liberians living below the poverty line—severe capacity constraints, significant under-employment and a vast infrastructure deficit.

En fait, the first elected post-war government of President Ellen Johnson Sirleaf had to begin from scratch because all banking institutions, including the Central Bank of Liberia, were completely looted during the war. Even hospitals were looted, sometimes resulting in the destruction of doors and windows.

Lors de la dernière 10 années, the World Bank has consistently ranked Liberia as one of the world’s poorest countries. There is no round-the-clock electricity and good governance, quality health delivery systems, access to education and employment opportunities still remain huge challenges.

Growing up as a Liberian in the last two decades hasn’t been a smooth road at all. I have had to listen to gun shots as though they were music. I have tasted hunger and hardship, living part of my life in refugee camps in the Ivory Coast and Ghana.

And now, far from the refugee camps of West Africa, I am here as one of 17 Atlas Corps Fellow in Washington, D.C., where I’ll be supporting the Technology for Development team at Creative Associates International. Précédemment, I was Training Director at iLab Liberia.

Since my arrival in February, the most interesting part of this journey has been getting to know my fellow Fellows from different countries and continents, listening to their stories and learning about their cultures while sharing mine.

Living in the United States, joining the Creative team and being part of this fellowship is awesome, but even though everything is going well I am also constantly reminding myself that there will be challenges ahead. As exciting and promising as fellowships or studying abroad can seem (and usually are), the experience doesn’t come without its obstacles.

I am now facing the reality that I am in a foreign place, a new environment and a different culture. I am trying to enjoy every bit of it and to make my experience at my host organization, Créatif, worth remembering.

I am certain that there are and will be obstacles.

Cependant, the mission for which I came to the U.S. remains constant—learn, partager, network and return to Liberia to support my country by using new and old technologies to inspire social change.

À la fin, my personal journey will be one that not only brings about change in my life, but also changes the lives of hundreds and even thousands of my fellow citizens back home.

Comment les tablettes ont transformé notre surveillance & Évaluation en Zambie

février 25, 2015

4 lecture min.

À l'automne 2012, Neuf équipes ont participé à six provinces de Zambie, en visite 200 écoles. Leur tâche: Collectez des données qui serviraient de référence par rapport à laquelle mesurer le succès d'un programme de lecture de début de première année financé par l'USAID. L'entreprise impliquait de suivre les progrès d'un groupe d'échantillons 4,600 étudiants et enseignants dans 18 districts - et les équipes sont arrivées pour leurs tâches avec juste un stylo et du papier.

Ils se sont rendus dans des provinces éloignées; L'école du projet la plus proche de la capitale Lusaka était à sept heures en voiture. Quand ils ont atteint ces écoles, Les équipes ont enregistré manuellement les informations sur les piles de questionnaires papier. Alors, Avec au moins une semaine de ces papiers en remorque, C'était de retour à Lusaka où les commis de saisie de données saisiraient manuellement les informations des questionnaires remplis dans les feuilles de calcul.

C'était un système fastidieux avec quelques inconvénients clés pour Creative Lire pour succéder au projet, qui fonctionne dans 18 Districts de Zambie pour aborder le mauvais apprentissage et l'alphabétisation parmi les élèves du primaire.

Le principal parmi eux était la réalisation après le fait qui a rempli des questionnaires de l'étude de base manquante dans certaines régions.

Nous avons dû renvoyer des évaluateurs de données sur le terrain pour reformuler les informations qu'ils avaient déjà obtenues. Par conséquent, Une phase qui ne devait pas prendre plus de six mois a fini par prendre un an.

Lorsque le processus est sur papier

La création n'est pas seule dans notre dépendance à l'égard des anciennes méthodes de collecte de données dans le domaine.

Les organisations de développement habituées à la grimage s'inquiètent souvent des coûts d'intégration de nouvelles technologies, surtout si cela ne fonctionne pas la première fois.

Ils doutent que la collecte et l'analyse des données numériques fonctionneront en pauvre, Les environnements ruraux où l'équipement délicat ne tiendra pas et les connexions Internet fiables sont une découverte rare. Ils ne savent pas si les collectionneurs de données peuvent facilement être formés sur la collecte de données mobiles.

Et autant que Creative aurait aimé utiliser la technologie mobile dès la lecture pour réussir - en effet, nous l'avions prévu depuis le début - la chronologie n'a tout simplement pas permis les procédures de achats longues pour obtenir des tablettes numériques ou les tester sur le terrain.

Prendre nos données numériques

Pour notre enquête médiane deux ans plus tard, Nous avons eu assez de temps pour développer un plan d'action.

Nous avons d'abord rassemblé toutes les informations techniques sur l'utilisation de tablettes / cahiers, a sélectionné une tablette conviviale pour répondre à nos besoins (Lien 7 comprimés compatibles avec la mandarine, Un logiciel de collecte de données électroniques open source développé par RTI International), et a travaillé avec des experts technologiques de notre bureau à domicile pour numériser les questionnaires d'enquête.

Ensuite, nous avons formé notre personnel de suivi et d'évaluation sur l'utilisation de Tangerine pour saisir et afficher les données, et télécharger des rapports. Nous avons également fourni un atelier de formation de 5 jours à notre 45 collecteurs de données à Lusaka.

Lorsque nos évaluateurs de données se sont attirés sur les sites sur le terrain, Ils ont collecté des données électroniquement à partir de notre échantillon de 4,000 étudiants, 200 les chefs-chefs et 400 enseignants de deuxième et de troisième année, Sélectionné au hasard parmi 200 écoles à travers 18 quartiers, y compris quatre où lire pour réussir n'était pas actif.

Nous avons trouvé que même sans connexion Internet, Nos collectionneurs de données pourraient enregistrer des informations quantitatives et les télécharger plus tard. Les comprimés pourraient être facturés à l'aide de chargeurs de voiture afin que nous ne dépendons pas de la puissance dans les villages éloignés. Rien de tout cela n'a été fait il y a un an ou deux.

Avantages immédiats

L'utilisation des tablettes nous a aidés à réaliser simultanément la collecte des données et la saisie des données - un gain de temps significatif par rapport à chacune de ces étapes séquentiellement comme nous l'avons fait pendant la phase de référence.

Un système papier impliquait beaucoup de gens- collectionneurs, évaluateurs, et les commis avec des ordinateurs dédiés. Ils occupent des salles de conférence pendant des mois comme des piles et des piles de tables en papier occupent, armoires et coins. Le passage à la collecte de données numériques a libéré les salaires et l'espace.

Le système a également des mécanismes anti-erreurs intégrés qui réduisent les erreurs de saisie des données. Cela a assuré, Par exemple, qu'une école d'un district n'apparaîtrait pas dans un autre, ce qui s'est produit lorsque nous avons utilisé le système papier.

Avec une liste aussi éloignée des écoles de projet, Notre directeur de suivi et d'évaluation avait déjà passé des heures et des heures à conduire à travers le pays pour surveiller la collecte de données - une tâche récurrente et pénible pendant la phase de référence.

Avec l'utilisation de tablettes, Il a pu surveiller les données lorsqu'elles sont venues en direct des écrans de notre bureau principal à Lusaka. Cela a non seulement réduit le stress qui accompagne les voyages, mais a également contribué à une meilleure qualité des données car les erreurs ont été corrigées dès qu'ils ont été détectés.

Bien sûr, notre plus grand avantage a été d'éliminer la perte potentielle de copies papier.

L'utilisation de tablettes est venue avec leurs propres défis tels que l'impossibilité de modifier les entrées une fois sauvés électroniquement. En outre, Les tablettes telles que nous les utilisons ne peuvent pas collecter des données qualitatives. En outre, Tangerine Software permet uniquement de télécharger les données au format de feuille de calcul CSV. Il n'est pas directement téléchargeable dans d'autres programmes statistiques aime SPSS, Stata ou SAS.

Mais dans l'ensemble, Grâce à notre nouvelle approche, nous avons pu collecter des données de meilleure qualité à un coût plus raisonnable et dans un court laps de temps, plus profiter des avantages de la surveillance en direct. Le processus avait également moins d'erreurs que l'approche papier et nous n'avions pas besoin de stocker physiquement un énorme volume de documents au bureau.

Même en tenant compte de l'investissement initial dans les appareils logiciels (Nous avons dépensé $20,000 pour l'équipement), Connexions Internet et coûts liés à la formation, Dans l'ensemble, au cours de la durée de vie du projet, nous avons économisé du temps et de l'argent et, surtout, nous sommes éloignés avec des informations fiables que nous pouvons utiliser pour mesurer l'impact de notre projet et l'améliorer.

Équipe de surveillance et d'évaluation de la création en Zambie, dirigé par le réalisateur Rhodwell Chitanda, Informations contribuées à cette pièce. Photos par: Note des nephas et wamuwi

Is Non-Inclusive Economic Growth Sufficient for Stability and Competitiveness?

février 25, 2015

4 lecture min.

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In Egypt’s case, the short answer is no! Although it was the top reformer in 2008 and among the top ten reformers in 2009-10 as listed in the World Bank’s Doing Business reports, Egypt’s economic, social and political conditions were not ripe during the late 2000’s for spurring real economic stability and competitiveness.

Egypt’s potentially large market size, proximity to key global markets, emplacement, ressources naturelles, human capital and potential markets can significantly contribute to higher level of inclusive economic growth rates.

So why, despite these factors and its membership in many trade and investment organizations such as the Common Market for Eastern and Southern Asia (COMESA) and the Arab League, has Egypt not realized its economic growth potential?

Exclusion does not breed competitiveness

Prior to 2011, Egypt’s economy was not inclusive, despite enjoying relatively high growth. The non-inclusive nature of economic growth rates of above 5 percent was insufficient to both reduce poverty and create enough decent jobs. It also didn’t reach women, youth or disadvantaged groups.

During past decades, women and youth have suffered high rates of unemployment and less participation in the labor force. De plus, disadvantaged groups in rural areas and Upper Egypt have even higher poverty levels. The national poverty rate in 2011 (25.2 pour cent) was actually higher than it was more than 10 years ago in 2000 (16.7 pour cent).

Dans 2012, official estimates of the unemployment rates for youth ages 15 à 24 were around 25 percent and rising, and higher among females—over 35 pour cent. The informal sector is a huge part of Egypt’s economy, constituting nearly 82 percent of the total number of firms and employing nearly 40 percent of the labor force.

Prolonged unemployment, marginalization of youth and women, huge informal economies, extreme poverty and an uncompetitive private sector, among other factors, were drivers of instability.

The Egyptian economy today

In the recent 2014-15 World Economic Forum ranking, Egypt dropped to a rank of 119 de 144 countries in a competitiveness ranking. This reduced competitiveness has negatively impacted trade and investment in goods and services, and hence slowed economic growth even further.

Political and social transitions in 2011 et 2013 deeply impacted Egypt’s economy. Actuellement, Egypt faces substantial new challenges related to investment outflows, falling tourist arrivals, an unstable macroeconomic environment, an increasing informal sector and pervasive job loss.

These issues are compounded by pre-2011 economic challenges, many of which had been the driving forces behind major political shifts, including the ousting of the Muslim Brotherhood, a newly elected government, and a planned parliamentarian election in 2015 after a long-lasting non-democratic regime.

The country’s microeconomic policies, including the over-regulated and costly business regulatory environment, are binding constraints to private sector domestic and foreign trade and investment.

Trade and customs barriers, ease of doing business, tax policy, labor laws and regulations are current challenges. The higher the level of trade and investment in goods, the more opportunities emerge to help create jobs for the almost 800,000 new labor force entrants every year.

The macroeconomic environment has worsened over recent years because of a widening fiscal deficit, growing public indebtedness and continuing inflationary pressures. But Egypt’s macroeconomic policies seem to have had less of an impact on long-term political stability than typically attributed.

Though good macro-economic policies may be important for stimulating development, socioeconomic equality and inclusive growth are more influential long-term contributors to long-term stability.

How can Egypt change its course?

Egypt should focus on the inclusiveness of economic growth strategies by addressing employment issues of youth and women, supporting the informal sector and micro, small and medium enterprises and alleviating poverty, particularly in disadvantaged areas of rural and Upper Egypt.

It needs to put special focus on youth and women because they not only represent disadvantaged groups in terms of unemployment, but also represent largely untapped human resource potential. Supporting rural areas, Upper Egypt and other geographically disadvantaged areas will be a real challenge, but is critical for success.

The country also needs to foster a low-risk and low-cost business regulatory environment for both the formal and informal sectors in order to increase trade and investments, both of which will lead to the creation of new jobs.

Egypt will have to make it easier for businesses to operate, get permits and licenses, comply with laws and regulations and exit the market when they opt to—key factors to increasing productive economic engagement.

If Egypt can capitalize on its many advantages, accompanied by inclusive economic growth with a focus on improving labor skills and productivity, advancing micro, small and medium enterprises and entrepreneurship development, streamlining business processes, eliminating barriers to trade and investment and endorsing the formalization of the informal sector, the country will be able to create more jobs and provide for its continual flow of new entrants into the labor market with enhanced opportunities.[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row]

Avec un retard surprise des élections nigérianes, La société civile promeut la paix

février 12, 2015

5 lecture min.

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Avec un retard surprise des élections nigérianes, La société civile promeut la paix

Par Jennifer Brookland

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Dans la foulée d’une annonce surprise qui a reporté de six semaines les élections très attendues au Nigeria en raison de l’insécurité dans le Nord., les groupes locaux travaillent dur pour empêcher une escalade de la violence et une perte de confiance nationale.

Ils pourraient être efficaces pour atténuer la violence électorale entre rivaux politiques ou inspirés par des intérêts sectaires., selon Jeff Fischer, Conseiller électoral principal chez Creative Associates International.

Mais les bons résultats sont loin d’être garantis.

« Avoir un impact nécessite la participation des intérêts sectaires concurrents de la société civile.," Fischer dit: Musulmans, Chrétiens, et divers groupes ethniques, Par exemple. « Là où la société civile n’aurait pas d’impact, c’est dans les violences électorales provoquées par Boko Haram., ce qui ne répondrait à aucune initiative de la société civile.

Boko Haram, et les ravages qu'il a causés dans le nord du Nigeria et maintenant chez ses voisins, est la cause invoquée du retard des élections: Commission électorale nationale indépendante (CENI) Le président Attahiru Jega a annoncé le report après que les responsables de la sécurité ont annoncé une opération anti-insurrectionnelle de six semaines à Borno., Yobé, Les États d'Adamowa et de Gombe étaient nécessaires avant que les troupes puissent garantir la sécurité des électeurs, des fonctionnaires électoraux et des bénévoles sur place.

« C’est une victoire psychologique et politique pour Boko Haram,» a déclaré Pauline Baker, Président émérite du Fonds pour la Paix.

Les sceptiques à l’intérieur et à l’extérieur du pays n’ont pas tardé à proposer des alternatives à l’explication de l’État selon laquelle l’insécurité avait motivé la décision..

Le parti politique du challenger Muhammadu Buhari, Congrès de tous les progressistes, a accusé le gouvernement d'utiliser la sécurité comme prétexte pour des retards qui profiteraient à Jonathan. D'autres théories insinuent que le report serait un stratagème pour bloquer les élections jusqu'à la démission de Jega., ou pour préparer le terrain pour un gouvernement intérimaire qui permettrait à Jonathan de rester au pouvoir.

Alors que les théories du complot se propagent à travers le Nigeria quant aux raisons de cette décision et à ses conséquences politiques, les experts affirment que les groupes de la société civile et les médias ont un autre rôle à jouer au-delà de la promotion de la paix: mettre fin au fameux moulin à rumeurs du Nigeria.

« Le rôle que jouent ces organisations dans la lutte contre la désinformation s’accroît,» a déclaré Eniola Mafe, Responsable de programme à la Fondation Niger Delta Partnership Initiative.

Au-delà de l’augmentation de la transparence et de la responsabilisation des institutions électorales, Mafe a déclaré que ces organisations peuvent également « s’engager physiquement et en ligne auprès des communautés afin de combler cet important déficit de communication ».

Célébrités et société civile en mission

Plusieurs des groupes de la société civile actifs dans la prévention de la violence lors du scrutin de cette année ont été créés avant la dernière élection présidentielle de 2011, ce qui a donné lieu à environ 800 décès.

Le Salle de situation de la société civile du Nigeria, qui a été créé en 2010 pour résoudre les problèmes et les défis électoraux, fusionne maintenant 63 organisations pour partager des informations liées aux élections, anticiper les problèmes et réagir rapidement.

La coalition nigériane Assez, c'est assez fait remonter sa naissance à un 2010 discours de l'économiste de renommée internationale Ngozi Okonjo-Iweala qui a contesté le 70 Pourcentage de la population nigériane âgée de moins de 30 prendre en main leur avenir en plaidant pour la bonne gouvernance et la responsabilité publique.

Des acteurs plus flashy qu’eux promeuvent également le message de non-violence.

Les groupes de la société civile et les célébrités et le renforcement de l'appel à la non-violence face au retard surprise des élections exacerbent les tensions.. Photo de David Snyder

Des célébrités et de jeunes activistes se sont joints à un projet documentaire lancé par les États-Unis. Agence pour le développement international et Institut républicain international appelé Dreams4Naija, qui présente les jeunes du Nigeria et leurs espoirs pour l'avenir.

Chanteur nigérian emblématique, l'auteur-compositeur et producteur « 2Face » Idibia a lancé un Votez, pas combattez campagne avec la Fondation Youngstars, l'Institut National Démocratique et d'autres partenaires, faire des promesses de non-violence « plus cool » avec une chanson thème en deux langues, dont le haoussa, le plus couramment parlé dans le Nord.

Une vidéo de campagne appelle les gens, en particulier les jeunes, à définir l'agenda de leur avenir au lieu de laisser les « grands hommes » et les politiciens locaux façonner l'agenda en incitant à la violence.. Presque 7,675 ont soumis l'engagement en ligne à rester pacifique jusqu'à présent.

NOUS. L'ambassadeur au Nigeria, James Entwistle, a personnellement appelé à des élections non-violentes lors de discussions avec des dirigeants et des célébrités en leur demandant de prendre une décision publique. s'engager à éviter de recourir à la violence et de l'arrêter s'il survient.

Et au plus haut niveau, Le Nigéria 11 présidentiel les candidats ont accepté une politique de non-violence en présence de l'ancien secrétaire général de l'ONU Kofi Annan en janvier 2015, dont le président sortant Goodluck Jonathan et son principal adversaire Muhammadu Buhari.

« L'engagement de non-violence est un début," dit Fischer, "mais son efficacité dépend du respect de l'engagement et des sanctions en cas de non-respect de cet engagement."

Se coordonner pour la paix dans un contexte d’escalade de la violence

Appliqué ou non, cette promesse de non-violence pourrait ne pas se répercuter sur les masses, en particulier ceux qui vivent dans des zones reculées où les contrats sociaux avec l'État sont faibles, selon Mafe.

« Les jeunes ont beaucoup à gagner mais se retrouvent dans une position très vulnérable.," dit-elle, soulignant que les organisations travaillant pour la non-violence doivent se tourner vers les jeunes en marge, et continuez à utiliser les célébrités et les réseaux sociaux pour les atteindre.

Fischer souligne que la CENI a recruté des jeunes comme agents électoraux afin d'atténuer leur vulnérabilité au risque d'être recrutés pour commettre des actes de violence électorale..

Une initiative similaire en 2011 conduit à ce que des jeunes soient ciblés et tués alors qu'ils se portaient volontaires pour voter.

Ces jeunes doivent être touchés par des projets à impact rapide, a suggéré Patricia Taft, un directeur de programme au Fonds pour la paix. Elle a ajouté qu'outre les initiatives telles que la formation professionnelle et les projets axés sur la communauté, la société civile et les médias avaient besoin de plus de soutien pour mener à bien l'éducation des électeurs et l'envoi de messages non violents.

Selon Mafe, La société civile nigériane a besoin d'une bien meilleure coordination et communication si elle veut réussir dans la tâche cruciale de contribuer à la paix plutôt qu'à la violence..

« Une chose essentielle que j’ai entendue, c’est qu’il doit y avoir une coordination entre toutes ces organisations.," Mafe a dit. "Il n'y a pas toujours de discussion entre eux."

Urgence croissante de l’appel à la non-violence

Comme bon nombre de ces organisations se concentrent sur leurs propres missions et ne parviennent pas à se coordonner les unes avec les autres., les experts ont souligné des signes inquiétants selon lesquels la paix réclamée par beaucoup pourrait s'avérer insaisissable cette fois-ci.

Taft a présenté des données montrant que les niveaux de violence à travers le pays ont été plus élevés cette année qu'ils ne l'étaient avant le scrutin. 2011 élection présidentielle, quand environ 800 des gens ont été tués.

Baker a noté un exode des Sudistes qui revenaient de leurs résidences dans le nord du pays – un changement démographique qui, selon elle, rappelle de façon inquiétante la période qui a précédé la guerre du Biafra dans les années 1960..

Boko Haram a intensifié ses attaques contre les voisins du Nigeria au Cameroun et au Niger. Le L'Union africaine envisage d'envoyer jusqu'à 8,750 troupes combattre le groupe. L'annonce du report du vote intervient à la veille du 300e anniversaire de l'enlèvement de centaines d'écolières nigérianes dans une école secondaire de l'État de Borno.; 219 rester en captivité.

La violence politique pourrait facilement résulter des cajoleries des acteurs locaux mécontents du résultat final des élections nationales., et le parti de Buhari a menacé d’établir un gouvernement parallèle en cas de défaite électorale qui semble manipulée.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Proposed 2016 USAID Budget Includes Targeted Investment in Central America

février 6, 2015

4 lecture min.

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Proposed 2016 USAID Budget Includes Targeted Investment in Central America

Par Jennifer Brookland

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]The President’s 2016 fiscal year budget proposes $1 billion for the U.S. Agency for International Development to improve economies and resilience of Central American countries.

These account increases “aim to advance economic prosperity through reducing poverty, improving education and workforce development, and strengthening resilience in the region, all of which address underlying factors responsible for the continued flow of migrants from the region to Mexico and the United States," selon the budget request.

The proposal seeks funding for a “whole-of-government” approach especially targeted at El Salvador, Guatemala et Honduras, avec $541 million in development assistance funding designated for programs that promote prosperity, governance and security.

Guillermo Céspedes, a crime and violence prevention advisor with Creative Associates International, says this is an important move for the United States.

“USAID has recognized the need for data-driven, place-based differentiated approaches that include tertiary, secondary and primary prevention along with community policing, all implemented simultaneously in geographic locations with the highest levels of violence and focused on those individuals most at risk of being victims or perpetrators," Céspedes dit.

The expert, who was the Deputy Mayor of Los Angeles before joining Creative, says “the science supports that this is the most effective strategy to reduce violence and those of us in the field are very encouraged by the adoption of this approach by USAID.”

A three-pronged plan with a focus on youth

HON100814119 USAID’s development assistance to Central America will fall along three overarching “lines of action,” according to the budget request.

To promote prosperity, USAID seeks to integrate regional markets, promote better education and vocational training, and create more inclusive economic opportunities for women and vulnerable groups.

It hopes that nurturing healthy business environments that include youth will encourage entrepreneurs who can operate above board, instead of contributing to the region’s swollen ranks of illicit groups that undermine security and government institutions and dampen legitimate economic activity.

The budget request makes specific mention of the need to boost opportunities for entrepreneurship and job placement for vulnerable youth to provide alternatives to violence and greater resilience for households and communities.

(Read about the young winner of a business competition who’s turning his life around with hamburgers.)

The agency’s other two focus areas are on enhancing security and promoting improved governance, which includes bolstering government services and providing support to civil society and the media.

All three lines of action are ultimately key to reducing the region’s endemic violence, economic inequality, poverty and corruption.

According to Cespedes, USAID is smart not to attempt to drive down violence as if it existed in a vacuum.

“USAID has stated clearly that violence reduction is a cross cutting theme that is interrelated with all strategies including economic development, éducation, and governance. It is a critical component of the overall (approach in) Amérique centrale," dit-il.

The budget request points out that these initiatives will complement the work of national governments and multilateral development banks, and support national and regional priorities and plans.

“Without significant progress, the region will continue to face extreme violence, severe economic inequality, social exclusion, and widespread corruption and poverty, thus compelling many Central Americans to flee their homes each year,” according to the budget request.

Budgeting for a change

The request for development assistance in the Northern Triangle of Central America shows the administration’s continual attempt to thwart thousands of migrants fleeing violence, corruption and economic insecurity at home.

Gang violence and narco-trafficking has resulted in Honduras, El Salvador and Guatemala having some of the highest homicide rates in the world outside of active war zones, and the region been a major source of unaccompanied minors immigrating to the U.S.

Last year’s budget included no reference to Central America.

Other USAID focus areas will include Asia and Africa, as well as initiatives to strengthen democracy, maternal and child health, and science, technologie et innovation.

Together with the funding for the State Department, the federal budget request comes to $50.3 billion—a 6 percent increase over the 2015 enacted level and a nearly 9 percent increase over the 2015 request.

“The Budget proposes targeted investments in international programs that will help mobilize collective action to meet global challenges, counter terrorism and violent extremism overseas, strengthen the U.S. économie, and support United States citizens and the U.S. presence overseas," selon a fact sheet released by the State department.

Altogether the amount makes up around 1 percent of the entire federal budget.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

SMS apporte des contes locaux aux écoliers zambiens

février 4, 2015

3 lecture min.

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SMS apporte des contes locaux aux écoliers zambiens

[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Un projet de lecture mobile qui amènera la lecture aux enfants zambiens qui n'ont souvent pas accès aux livres à la maison est l'un des 14 gagnants d'un concours d'innovation en matière d'alphabétisation aux États-Unis. Agence pour le Développement International Tous les enfants lisent: Un grand défi pour le développement, Creative Associates International a annoncé aujourd'hui.

Développé par Creative Associates International et appelé Notre comportement, le projet de narration mobile complétera son programme actuel Read to Succeed en Zambie.

« Gagnants [du concours] représentent les plus prometteurs, des solutions créatives et percutantes en matière d'innovations en matière d'alphabétisation et ont été choisies à l'issue d'un processus concurrentiel qui a suscité 213 propositions de 50 pays," selon un communiqué de presse de l'USAID.

Notre comportement, qui signifie « notre façon de rester » en langue locale Chinyanja, utilisera le crowdsourcing pour collecter des histoires locales, contes populaires et contenus originaux de membres de la communauté de Zambie et de la diaspora utilisant des téléphones portables, messages vocaux et formulaire de soumission en ligne.

De cette banque d'histoires, 54 les sélections seront modifiées pour être adaptées à la langue et à l'âge et envoyées par SMS aux parents de 1,000 élèves du primaire – ce qui augmentera les capacités des enfants et améliorera leur attitude à l’égard de la lecture.

« Il y a une passion pour la narration en Zambie, et une forte volonté d'aider les enfants à préserver leur patrimoine linguistique tout en apprenant à lire," dit vraiment Zewdie, qui dirige le programme Read to Succeed de Creative en Zambie. « Cette innovation apporte aux jeunes leurs propres histoires intemporelles tout en capitalisant sur leur vie numérique. »

(En savoir plus sur le programme Lire pour réussir)

Peu de ressources signifie de mauvaises performances en lecture

En Zambie, accès limité au matériel de lecture, surtout dans les langues locales, a inhibé la capacité des enfants à maîtriser les compétences fondamentales en littératie.

Avec si peu de livres et de matériels en langue maternelle à la maison, les parents et les membres de la communauté trouvent rarement des moyens d'aider les enfants à lire en dehors de l'école. Par conséquent, les enfants n'ont pas suffisamment d'opportunités pour pratiquer la lecture.

Cela montre: Le Consortium sud-africain pour le suivi de la qualité de l’éducation a noté dans 2010 que seulement 27.4 pour cent des élèves de sixième année savaient lire à un niveau de compétence de base.

« Là où les livres pour enfants sont rares, il s'ensuit que l'alphabétisation est faible," déclare Charito Kruvant, co-fondateur et PDG de Creative.. « Mais nous pouvons regarder au-delà de ces anciennes limites et innover pour amener la lecture aux enfants et aux communautés.. C'est quoi Nos valeurs ce que fait.

Bien que l'alphabétisation soit faible en Zambie, les taux d'utilisation du téléphone mobile sont assez élevés. Nos valeurs capitalise sur cette technologie mobile pour créer et diffuser du matériel de lecture récréative en langue maternelle aux familles ayant des enfants en bas âge en Zambie, d'une manière communautaire et évolutive..

Langue locale, histoires locales, partenaires locaux

Creative pilote Nos valeurs en coopération avec Lire pour réussir, un programme financé par l’USAID qui travaille déjà avec le gouvernement de Zambie pour améliorer la lecture dans les premières années d’école grâce à un enseignement plus efficace et à des partenariats école-communauté.

Avec les mobilisateurs communautaires et les associations de parents d’élèves, les partenaires locaux formels jouent un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de cette innovation et garantissent l'appropriation zambienne du processus et des résultats..

En plus du ministère de l’Éducation de la Zambie, Science, Formation professionnelle et éducation préscolaire, les associés incluent les partenaires de la bibliothèque Lubuto, l'Université de Zambie, pôle technologique BongoHive, la station de radio communautaire BreezeFM et le fournisseur d'éducation sur tablette iSchool.

En collectant ces histoires auprès des membres de la communauté et en les envoyant par SMS aux parents d'enfants d'âge scolaire, Nos valeurs sensibilise à l’importance de l’alphabétisation dès les premières années d’école, et encourage une culture de narration et de lecture dans la langue maternelle qui passionnera et dynamisera les élèves..

Le temps supplémentaire passé à lire avec les membres de la famille crée également un système de soutien plus solide permettant aux jeunes élèves de continuer à pratiquer la lecture en dehors de l'école..

Le modèle économique pour Nos valeurs pourrait éventuellement mettre du matériel de lecture entre les mains de plus de 8 millions de locuteurs natifs du Chinyanja – et à terme, le foyer de chaque écolier rural et urbain en Afrique.[/vc_column_text][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/12″][/vc_colonne][largeur vc_column = »1/4″][vc_widget_sidebar sidebar_id= »barre latérale-primaire »][/vc_colonne][/vc_row]

Holding out Hope for Children and Youth

janvier 20, 2015

3 lecture min.

NIG012314141

As I safely tuck my 6-year-old son and 1-year-old daughter into bed, I am still thinking about the 2015 UNICEF report on the State of the World’s Children that I read this morning. As a youth development professional and advocate, and as a parent, it is difficult to read the remarks of Anthony Lake, UNICEF Executive Director, declaring 2014 a dire year for the 15 million children that fell victims of major conflict and crisis globally.

“This has been a devastating year for millions of children,” Lake wrote in the report. “Children have been killed while studying in the classroom and while sleeping in their beds; they have been orphaned, kidnapped, tortured, recruté, raped and even sold as slaves. Never in recent memory have so many children been subjected to such unspeakable brutality.”

The situation is especially heartbreaking given that 2014 marks the 25th anniversary of one of the most important declarations for children globally: the Convention on the Rights of the Child.

The results of the Convention have been tremendous, from lowering infant mortality to raising school enrollment. Cependant, the UNICEF report serves as a reminder and a call to action, imploring us to not rest on our laurels.

A more helpful way to address youth issues

There is still so much to be done, especially for the children and youth in conflict and crisis environments where the violation of their rights often has irreversible outcomes as they transition through adolescence to adulthood.

In Central African Republic, où 2.3 million children are affected by the conflict, armed groups are believed to have recruited up to 10,000 children with close to 500 décès. In South Sudan, une estimation 235,000 children age 5 and younger are suffering from severe acute malnutrition with close to 750,000 children displaced and more than 320,000 living as refugees, according to the report.

Encore, in spite the terrible figures revealed in the report and the challenges for youth in so many countries, there remains hope for millions of children and youth effected by conflict and crisis.

If we assume all children, especially those who are marginalized, should and can have the same opportunities as those in safer or more developed countries—and we build community support to make those opportunities real for them—we can still give children and youth pathways to positive futures as we enter the Post Millennium Development Goals era.

Creating more asset-based youth initiatives, which build on assets instead of honing in on risks and challenges, can enable young people to change their life’s trajectory and become responsible contributors to their communities. It’s a much more positive, and we think effective way of addressing issues affecting youth.

Par exemple, at-risk youth living in violent, crime-affected communities in Honduras have explored viable life alternatives through Jeune Alliance Honduras (Youth Alliance) programme, qui est financé par l'USAID et mis en œuvre par Creative.

Ici, where violent crime and gangs rule the lives of families and neighborhoods, this program countered the risk factors by providing more than 20,000 children and youth with computer literacy, formation professionnelle, tutorat, life skills and leadership opportunities—first and second chances to build resilience and engage in something positive.

Créatifs Northern Nigeria Education Initiative fostered enabling environments for orphans and vulnerable children and youth, particularly adolescent girls and boys in informal Qur’anic schools. In these environments, vulnerable youth learned core academic concepts, received job and life skills training and accessed critical psychosocial support in one of today’s most confusing and violent environments for children.

Making new statistics

These two initiatives show us that, although children and youth around the world are too often victimized, they don’t always have to be victims.

Young people who find opportunities to engage their minds, learn new skills and involve themselves in their communities can form the ranks of another kind of statistic—the numbers of youth who are successfully using their own assets and resources to withstand so much negativity and create a positive future for themselves.

As the UNICEF report suggests, 2015 is a pivotal year for the field of children and youth development, and we must renew our commitment to the protection of their rights and creation of hope and opportunity.