Du cercle de tambour de groupe bruyant et dansant à l'extérieur du 15ème du centre de sensibilisation du quartier de septembre, vous ne sauriez jamais que les résidents de cette communauté même étaient une fois fermés à l'intérieur, en stimulant de la violence des gangs qui tourmenait leur quartier.
«Il y avait un vol commun, Il y avait des gangs, ventes de médicaments. Il y avait beaucoup de choses qui n'étaient pas saines pour nos enfants,"Dit Teresa Benjarano, chef du conseil d'administration de la communauté, connu comme le Patronage en espagnol.
La scène aujourd'hui est radicalement différente. Les enfants et les adolescents affluent vers leur centre de sensibilisation du quartier pour jouer à la musique et aux jeux de société, Pratiquez les compétences en anglais, Participez à des clubs de danse et découvrez des façons saines de résoudre les conflits.
Le Centre de sensibilisation fait partie d'un programme de prévention de la criminalité et de la violence axé sur les jeunes appelée Alliance jeunesse Honduras-USAID (Alliance des jeunes Honduras-Usaid) Cela a aidé à galvaniser les communautés à travers le pays, ainsi que le gouvernement et les entreprises privées pour se joindre aux efforts pour prévenir la violence et étendre les opportunités pour les jeunes Hondurans.
Le projet quinquennal, qui a commencé en 2012, est financé par le NOUS. Agence pour le développement international et mis en œuvre par Creative Associates International.
Pour des résidents comme Benjarano dans les communautés à risque, Le projet a mobilisé les ressources et l'énergie critiques pour rendre leurs quartiers plus sûrs. Il a placé la prévention de la violence au sommet de l'agenda de chacun, y compris les familles, fonctionnaires et entreprises - du niveau local au niveau national.
«L'arrivée du centre de sensibilisation était une porte d'opportunités qui ressemble à l'eau lorsque vous éteignez le feu,"Dit Benjarano. «L'arrivée du centre de sensibilisation n'a pas seulement été une porte d'opportunité, Cela a été une bénédiction dans notre communauté car il a incorporé et renforcé les actions que nous avions déjà commencées. »
La transformation se produit dans le 15ème de septembre que la communauté n'est pas unique. Dans sept villes à travers le pays, Alianza Joven Honduras-Usaid a aidé à lancer et à soutenir 64 Centres de sensibilisation dans les communautés vulnérables.
Les centres de sensibilisation sont établis en partenariats avec local, organisations religieuses ou communautaires, Souvent avec le soutien du gouvernement du Honduras et des gouvernements municipaux respectifs. La Fondation nationale pour le développement du Honduras (FUNADEH en espagnol) est le partenaire «hérité» du projet et a travaillé aux côtés du Honduras-Usaid Alianza Jon.
At the heart of the Outreach Centers’ success is community leadership and ownership. Community volunteers and coordinators help to organize and run the center’s activities. Les centres de sensibilisation ont même créé un système de certification, à travers lesquels les bénévoles démontrent des compétences maîtrisées et gagnent des «certificats de bénévolat cinq étoiles» pour leur service.
Pour de nombreux jeunes, La transition du bénéficiaire du Centre de sensibilisation au bénévolat peut fournir un sens critique de l'objectif, Explique Salvador Stadthagen, JEUNE RECORTER DE L'ALLIANCE D'UNESOID HONDURAS.
«Vous voyez que la transformation la plus puissante lorsqu'un jeune passe d'un bénéficiaire de la prévention à être un bénévole dans lequel il y a une aide et une assistance pour les jeunes à la bouche," dit-il.
Margarita mixte, un coordinateur et le Las Ayestas Outreach Center à Tegugigalpa, a vu l'effet puissant que le centre de sensibilisation peut avoir sur les jeunes de ces quartiers.
“They all live in this environment that doesn’t allow them to accept that there is a different opportunity or chance or life for them," dit-elle. «Je pense qu'à partir du moment où ils [entrer] On leur propose un espace différent, où ils s'éloignent de leur réalité.
Inspiré par les changements, plus que 1,900 Volontaires à travers le pays, De la jeunesse aux chefs de communauté, ont rejoint les efforts d'Alianza Joven Honduras-Usaid dans les centres de sensibilisation et par le biais de campagnes de prévention.
Une autre clé du succès du projet a été de faire la prévention de la violence, y compris le secteur privé.
Les entreprises du géant des télécommunications Tigo aux chaînes de commerce Lady Lee et PriceMart ont uni leurs forces avec Alianza Joven Honduras-Usaid pour fournir à Internet des centres de sensibilisation, Pour réparer ou construire des installations du centre de sensibilisation, Faire un don d'équipement de gym et parrainer les campagnes nationales, entre autres initiatives.
Myriam McCormick, directeur de Telamar Resort, qui a récemment rejoint cette liste de partenaires privés, dit que le soutien aux communautés honduriennes à prospérer aide également les entreprises honduriennes.
«Si nous travaillons avec les jeunes adultes maintenant, Ils sont l'avenir, futurs employés de l'hôtel. Si nous ne leur donnons pas les outils dont ils ont besoin pour grandir et être exceptionnel, Nos entreprises n'ont pas d'avenir. Je pense que c'est un plan de durabilité, Et nous en tant que communauté, En tant que Hondurans, Il faut également s'entraider à mieux grandir," dit-elle.
L'une de ces initiatives du secteur privé investit dans l'avenir en offrant aux jeunes des compétences commerciales commercialisables et à la demande de la main-d'œuvre. Microsoft s'est associé au projet pour développer sept «académies Microsoft» dans les centres de sensibilisation avec des ordinateurs, logiciel et instructeurs. Les jeunes peuvent gagner des certificats à Microsoft Office en tant que spécialiste ou associé de technologie Microsoft. Depuis leur ouverture en décembre 2016, plus que 220 Les jeunes ont été certifiés et beaucoup d'autres suivent des cours.
Pour beaucoup de ces jeunes, L'accès à la technologie et à la formation de la main-d'œuvre est très limité, dit Stadthagen, le directeur du projet.
«Apporter des académies Microsoft est un moyen pour qu'un jeune puisse recevoir un certificat reconnu internationalement et évalué par le secteur privé ici au Honduras. Cela devient un atout très précieux pour ces enfants," dit-il.
Une autre initiative soutient le secteur privé, Les gymnases communautaires basés sur les centres de sensibilisation, fournir un espace sûr aux voisins pour faire de l'exercice et, Par exemple, suivre les cours du groupe Zumba, quelque chose qui n'était pas disponible dans beaucoup de ces communautés auparavant.
Le programme a pris des dispositions pour plusieurs instructeurs de gymnase du centre de sensibilisation pour terminer les stages dans les gymnases privés et ramener cette expérience dans leur quartier. D'autres instructeurs de gymnase du Centre de sensibilisation ont été formés par un arrangement avec des représentants locaux de l'American Aerobics Association.
Jader Soriano, Un instructeur de gymnase au Jardines Del Carrizal Outreach Center à Tegugigalpa, dit que le gymnase est une distraction positive pour les jeunes du quartier.
«Au lieu d'aller à la même routine où ils vont voir leurs amis ou où ils vont dans un coin pour consommer des drogues ou pour avoir des pensées négatives, Ils peuvent venir ici au gymnase et avoir une meilleure attitude, Prenez soin de leur esprit et prenez soin de leur corps," dit-il.
Dès le début, Le projet a trouvé certains de ses plus grands alliés dans le gouvernement du Honduras, qui a placé la question de la prévention de la criminalité et de la violence pour les jeunes au sommet de l'agenda national.
Du président Juan Orlando Hernández au niveau municipal, Les entités gouvernementales ont fourni un soutien de tout cœur aux centres de sensibilisation, Fonds contribuant à leur construction, Fournir des allocations aux coordinateurs bénévoles et défendre les campagnes nationales et les méthodologies de prévention.
L'année prochaine, Par exemple, Le programme national de prévention du Secrétariat de l'éducation présentera des méthodologies réussies utilisées par le Centre de sensibilisation pour la résolution des conflits d'enseignement et la fixation des objectifs par la planification de la vie dans le programme d'études publiques.
Les résidents des communautés à risque qui se sentaient autrefois négligés et sous-ressources ont été soutenus par ce fort investissement dans leurs quartiers.
«C'est incroyable l'effet de faire entrer le président et d'inaugurer un centre de sensibilisation ou les ministres qui arrivent ou des personnes importantes comme le maire ou le secteur privé qui viennent et disent: «Nous sommes là pour aider,"" Dit Stadhagen. «Cela crée un grand sentiment de ne pas être exclu. It creates a feeling of inclusion that is extremely important. »
Ces partenaires gouvernementaux engagés ont pris note des changements dans les jeunes à risque et les communautés vulnérables grâce aux activités soutenues par le projet. Ils sont déterminés à poursuivre les progrès, en partenariat avec les communautés et organisations locales, longtemps après la fin du projet.
«La vérité est qu'à travers ces types d'alliances, nous réalisons des investissements plus importants dans les questions de jeunesse. Ces méthodologies et programmes prouvés… c'est déjà un programme que nous savons produire des résultats,»Explique le ministre de la jeunesse Feryd Bascha. «Je pense que lorsque des actions combinées sont prises en coopération entre le gouvernement et la société civile, et que tous interagissent ensemble et systématisés, C'est le moment où les indicateurs vont être déplacés parce que les efforts conjoints sont en cours. »
Avec le reportage d'Emanuel Rodriguez
Dans 1986, the repressive regime of Jean-Claude “Baby Doc” Duvalier fell in Haiti, and the country confronted a new challenge: running democratic elections.
The fall of Duvalier’s 15-year government coincided with the rise of democracy and electoral assistance organizations in the United States—including new groups like the National Endowment for Democracy and its core organizations, the International Republican Institute, National Democratic Institute for International Affairs, Center for International Private Enterprise and the Solidarity Center.
Early democracy assistance was at first directed toward political party support and domestic observation, but there was not an organization designed to assist the newly formed electoral management bodies that were responsible for the administration of elections.
Haiti would be among the first countries to receive this type of non-partisan electoral assistance.
It was three decades ago that the first form of assistance occurred—a study tour of Haitian officials who headed to the United States to observe its electoral processes.
A Haitian constitutional referendum was scheduled for March 1987—30 years ago this month—and the U.S. State Department wanted those individuals charged with administration of the referendum to observe an election in the United States.
The election selected for them to observe was a municipal primary in February 1987 in Kansas City, where I was serving as Commissioner on the Kansas City Election Board.
During their visit, the delegation was able to observe the preparations for voting, the establishment and operation of polling stations and the retrieval of sensitive voting materials for accounting and tabulation. They also monitored the board’s process to review and certify the outcomes.
After their visit and the successful conduct of the Haitian referendum that March, I continued to provide assistance for the general elections scheduled for November. I was invited to Haiti to mentor the first Provisional Electoral Council, or CEP as it is still known by the French acronym, and made four trips to Haiti that year. The Center for Promotion of Electoral Assistance also had a representative advising the electoral management body.
I was generally encouraged by the enthusiasm and dedication that I saw among the election organizers.
During my visits, I regularly met with election managers at the Provisional Electoral Council to discuss their options in organizing voter registration for the first time, polling station locations and organization, poll worker recruitment and training, ballot design and security.
I found the Haitian to be open and receptive to the guidance being given on these issues and a general appreciation that there were standards to be followed in conducting elections.
For election day, international organizations sent freshly minted delegations to monitor the voting. At an observer coordination meeting, the names of the groups participating were posted and this was the first time that I saw the International Foundation for Electoral Systems in a programming role.
Despite the optimism and collaboration of Haitians and international assistance providers, remnants from the Duvalier regime, in particular the Praetorian Guard known as the Ton Ton Macoutes, would have none of these elections. They menaced the campaign period with attacks.
Election day was no different. The Macoutes attacked a polling station at the Argentine School in Port-au-Prince, killing 17 électeurs. Other violence flared around the country and voting was cancelled around 10 suis.
Haiti went into one of its many political winters under a succession of military regimes that lasted until the 1990 election which brought Haiti’s first democratically elected president Jean Bertrand Aristide to power.
While the 1987 Haitian election demonstrated the vulnerabilities of the electoral process to violence and the need for election security, le 1990 election was a kind of redemption for the notion of assistance to electoral management bodies.
Le 1990 democratic election of Jean-Bertrand Aristide was seen as a genuine expression of the will of the people, and that elections can be successful even in tenuous political environments.
En fait, Horacio Boneo, the founder of the Electoral Assistance Unit within the United Nations Secretariat, has contended that the 1990 Aristide victory combined with the same-year electoral victory of Nicaraguan presidential candidate Violeta Chamorra—another expression of the will of the people and an upset over Sandinista contender President Daniel Ortega Saavedra—demonstrated to policymakers that fair processes and good election administration can produce legitimate “opposition” victories.
Had Duvalier’s internationally favored presidential candidate Marc Bazin, a former World Bank official, won in Haiti, and Daniel Ortega retained power in Nicaragua, international electoral assistance might not have emerged with the strength that it has.
Aujourd'hui, electoral assistance is provided by a global family of inter-governmental and nongovernmental organizations, of which Creative Associates International is a member.
Alors, in the 1990s and early 2000s, electoral assistance was largely focused on the establishment of electoral management bodies, training the staff and constructing viable electoral processes as countries like Haiti moved from conflict or authoritarianism to democracy.
The challenges today, cependant, are different.
Rather than establishing the foundation for electoral management bodies and processes, many countries need to protect elections from malpractice and violence and ensure they have the resources to carry them out.
Aujourd'hui, the focus for electoral assistance should be two-fold.
First is electoral integrity—that is protecting elections from malpractice and violence. As elections are processes, they must be protected from perpetrators seeking to influence the outcomes by malfeasance.
Deuxième, elections must be financially sustainable through domestic budgets, particularly in developing countries. Assistance should also be directed at financial management in order to reduce the election “opportunity costs” whereby inefficient election spending translates into fewer monies for health care, éducation, infrastructure, sécurité, or other public goods and services.
Dans 1987, the Haiti experience demonstrated that bilateral cooperation on electoral assistance was a viable concept. It demonstrated that transfers of skills in electoral administration could be obtained. Cependant, it also revealed the limitations on assistance in environments where spoilers intend to delay or disrupt the process and the significance of national political will in achieving a successful result.
Jeff Fischer est conseiller électoral principal chez Creative Associates International.
La combinaison des connaissances comportementales et de l'apprentissage social et émotionnel est essentielle pour améliorer les résultats des enfants d'âge scolaire dans des environnements de conflit et de crise., selon les experts d'un panel auConférence de la Société d'éducation comparée et internationale en mars 7.
Les panélistes de la session intitulée « Utiliser les connaissances comportementales pour améliorer l'apprentissage et la sécurité scolaire dans les contextes humanitaires et de développement.: Résultats préliminaires et nouvelles orientations potentielles » citent des études de cas en Inde, Kenya, Liban, Maroc, Nigéria et Timor-Leste, entre autres pays, qui exploitent les connaissances comportementales pour atteindre les objectifs des programmes éducatifs.
Les connaissances comportementales – la science émergente qui va au-delà de l’économie traditionnelle et qui analyse la façon dont les gens prennent des décisions et agissent – peuvent jouer un rôle en complément des programmes existants., façonner des politiques efficaces et aborder les problèmes futurs en classe, ont déclaré les experts du panel.
"Pourquoi la science du comportement est-elle importante?" a demandé Josh Martin, Vice-président des idées42, une organisation qui applique la recherche en sciences du comportement pour résoudre des problèmes sociaux complexes. « Pour relever les défis et appliquer des interventions ciblées à faible coût, il faut comprendre les barrières psychologiques qui peuvent avoir un impact néfaste sur les résultats d’apprentissage. »
L’exposition à un conflit peut entraîner de profonds traumatismes psychologiques pouvant avoir des effets durables sur la santé mentale et les capacités cognitives des enfants.. Beaucoup de ces enfants fuient la violence, ayant été témoin de la destruction de leurs maisons et même du meurtre de membres de leur famille.
« Lorsque l’on considère les réfugiés dans le contexte humanitaire et les défis extrêmes auxquels ils sont confrontés, cela crée un épuisement cognitif, les informations sur le comportement seront extrêmement importantes pour le type de problèmes et de solutions que nous sommes en mesure de fournir," dit Martin.
L'intégration de connaissances comportementales dans la conception des programmes éducatifs permet le développement de stratégies d'intervention efficaces et adaptées pour soutenir les élèves ayant des besoins psychosociaux spécifiques..
Avec plus de 263 millions d'enfants et de jeunes non scolarisés dans le monde, il est nécessaire d’analyser les obstacles à l’éducation. Dans les pays touchés par des conflits, les enfants sont confrontés à des défis importants pour recevoir une éducation de qualité – ou une éducation du tout. Manque d’infrastructures scolaires et de matériel d’apprentissage suffisant, ainsi que les préoccupations persistantes en matière de sûreté et de sécurité, garder les élèves les plus vulnérables hors de la classe.
Natan Dernier, Stratège en innovation au sein de l'équipe de recherche et développement chez Comité international de secours (IRC)c'est Centre Airbel, travaille en étroite collaboration avec les unités techniques de l'IRC en santé, éducation, entre autres, stimuler l’innovation dans l’aide humanitaire. En réunissant le personnel de terrain, créateurs, stratèges, chercheurs et experts techniques, le Centre Airbel vise à découvrir des idées innovantes qui ont un impact positif.
« Nous avons plus que jamais besoin de l’impulsion de l’innovation.," dit Dernier. « Démontrer un impact plus élevé mais contribuer à résoudre d’énormes défis mondiaux en matière d’interventions., comme l’urgence croissante de la crise humanitaire, notamment dans le domaine de l’éducation.
« Grâce à une meilleure conception, nous pouvons acquérir une compréhension plus claire du comportement dans un contexte susceptible de conduire à des interventions et des solutions prometteuses," dit Dernier. "Et passer de l'échec au succès."
Julia Finder, Responsable technique, L'éducation en temps de conflit chez Creative Associates International, a présenté un cadre que Creative a développé pour fournir aux jeunes à risque dans des contextes humanitaires et de développement le soutien nécessaire pour changer positivement les comportements sociaux..
« Le contexte est extrêmement important lorsqu’on examine la meilleure façon de soutenir l’apprentissage social et émotionnel et le changement de comportement social.,", a déclaré Finder.
Pour démontrer le cadre, elle a fourni des études de cas basées sur les projets de Creative en Nigeria, Honduras, Tadjikistan, Timor-Leste et Maroc, entre autres pays.
Pour aborder correctement le changement de comportement social, il est essentiel de comprendre ce qui affecte les enfants et les jeunes.
«Lors de la conception d'un nouveau projet, il y a plusieurs questions techniques clés que Creative vise à résoudre," dit-elle.
Parmi les problèmes techniques que Creative cherche à résoudre figurent:
Interventions ciblées à l'école, la communauté et le foyer jouent tous un rôle dans le soutien de l’apprentissage social et émotionnel.
Creative applique un « enfant entier, professeur entier, toute l'école, et une approche systémique globale,» pour aborder les facteurs critiques de l’offre et de la demande qui affectent l’apprentissage, enseignement, gestion, participation des parents et réactivité aux besoins des enfants.
« Chaque entité joue un rôle essentiel en fournissant un soutien holistique et elles doivent toutes interagir ensemble pour être efficaces dans le changement des comportements sociaux.,» selon Finder.
Creative applique une approche à plusieurs niveaux en matière de conception, où les apprenants les moins à risque sont en haut et les apprenants les plus à risque en bas. Cette approche permet d'évaluer et d'identifier les besoins individuels et d'adapter l'intervention pour encourager la stabilité., apprentissage et croissance.
Finder a démontré le fonctionnement de cette approche en l'appliquant au Projet de réponse à la crise éducative au Nigeria, qui est financé par les États-Unis. Agence pour le Développement International et mis en œuvre par Creative, IRC et partenaires locaux.
Au nord du Nigéria, plus que 2.2 millions de personnes, dont plus de 1 millions d’enfants d’âge scolaire – ont été déplacés de leur foyer en raison de l’insurrection de Boko Haram.
En plus du soutien psychosocial, le projet a établi centres d'apprentissage non formel qui dispensent un enseignement en alphabétisation et en mathématiques et, pour les jeunes plus âgés, formation aux moyens de subsistance car de nombreuses familles ont été déracinées de leur foyer et de leurs sources de revenus.
« Une fois que nous appliquons le cadre et évaluons les besoins individuels, nous élaborons ensuite un plan,", a déclaré Finder. « En fonction des changements que l’on observe chez les étudiants, nous modifions ensuite le dosage et la fréquence du soutien.
Regarder à travers le prisme de l’approche à plusieurs niveaux permet d’adapter des interventions spécifiques.
Lors de l’application de l’approche à plusieurs niveaux dans les écoles ciblées, il est apparu que les étudiantes ne restaient pas à l'école et ne terminaient pas leurs études..
Creative a fourni un soutien et une formation supplémentaires aux filles afin d'obtenir les mêmes résultats que leurs pairs masculins..
Aller de l'avant, Finder a souligné la nécessité de recherches supplémentaires pour promouvoir le changement de comportement.
« Nous devons mieux comprendre quel soutien est disponible et comment nous pouvons concevoir efficacement des outils de mesure pour isoler des interventions spécifiques afin de déterminer leur impact individuel.,", a déclaré Finder. « Et nous voulons aider les communautés à identifier les compétences dont elles ont besoin pour pouvoir fournir un soutien continu aux enfants et aux jeunes à risque.
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[/vc_column_text][/vc_colonne][/vc_row][vc_row][largeur vc_column = »2/3″][vc_column_text]Les communautés du Salvador participent à des solutions innovantes pour prévenir la criminalité et la violence et créer des opportunités pour les jeunes à risque. De la formation aux métiers recherchés aux orchestres philharmoniques, l'USAID Projet de prévention du crime et de la violence et les municipalités salvadoriennes aident les communautés à inverser la tendance de la violence et de la criminalité.[/vc_column_text][vc_séparateur][vc_row_inner][vc_column_inner largeur = »2/3″][vc_column_text]
À l'âge 14, Maria avait la réputation d'être une fauteuse de troubles et risquait d'abandonner l'école.. Mais avec le soutien d'un conseiller et un programme unique pour les jeunes à risque et leurs familles, Maria a changé sa vie.
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Aux portes de San Vicente, un nouveau terrain de jeu apporte de l'espoir à une communauté autrefois en proie à la criminalité et à la violence. Découvrez comment les espaces sûrs contribuent à transformer les quartiers à travers le pays.
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Dans les communautés du Salvador, la musique aide les jeunes à risque à éviter une vie de gangs et de criminalité. Les orchestres de jeunes font partie d'une approche holistique visant à prévenir la criminalité et la violence et à multiplier les opportunités.
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Vous avez toujours rêvé de devenir chef, mais comme beaucoup de jeunes de sa ville, ses rêves semblaient hors de portée. Tout cela a changé lorsqu'Ever s'est inscrit à un programme de formation professionnelle soutenu par l'USAID..
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Dans les communautés du Salvador, la musique aide des centaines de jeunes à risque à éviter une vie de gangs et de criminalité. Les orchestres philharmoniques de jeunes font partie de l’approche holistique du Projet de prévention du crime et de la violence au Salvador visant à prévenir le crime et la violence et à diffuser les opportunités..
Dans l'un des pays les plus violents au monde, les sons de la musique aident les jeunes à risque à éviter une vie de gangs et de criminalité.
À Ilobasco, Le sauveur, plus que 100 âges de la jeunesse 8 à 29 qui vivent dans certains des quartiers les plus difficiles ramassent des instruments de musique au lieu d'être affiliés à des gangs.
Jhonnatan Marroquín, onze ans, aurait pu figurer dans les statistiques de la criminalité à Ilobasco. Plutôt, il est guitariste.
"Depuis que j'ai commencé la guitare, J'ai été très occupé," dit Jhonnatan. "C'est amusant et je ne m'implique dans rien de mal, comme des gangs.
Ilobasco et huit autres communautés du Salvador organisent et gèrent des orchestres philharmoniques locaux pour impliquer les jeunes à risque et vulnérables dans des activités positives., activités prospectives.
Le Projet de prévention du crime et de la violence au Salvador—un programme innovant financé par le NOUS. Agence pour le développement international et mis en œuvre par Creative Associates International - travaille à Ilobasco et dans d'autres communautés pour trouver des moyens d'apporter une paix durable aux quartiers en difficulté.
Le projet a permis de former des comités municipaux qui coordonnent les initiatives de prévention du crime et de sécurité et a contribué à développer des activités communautaires qui incitent les jeunes à risque à éviter le crime et les gangs.. Utiliser une variété d’initiatives – de l’art, musique, et des clubs de danse aux activités de plein air – le projet a déjà aidé 53,000 La jeunesse salvadorienne en 55 municipalités.
Ilobasco, une ville de certains 65,000 résidents situés à environ 30 miles au nord-est de la capitale San Salvador, avait 91 homicides signalés dans 2014 et 88 meurtres en 2015, ce qui le place bien au-dessus de ce que les experts décrivent comme des taux épidémiques.
Manuel Antonio Henrqiuez, Coordonnateur du Comité municipal de prévention de la violence à Ilobasco, est honnête quant aux défis auxquels sa municipalité est confrontée.
« Nous sommes parmi les 50 municipalités les plus violentes de notre pays,» déplore-t-il.
Mais il n'abandonne pas sa ville, et il espère que la musique sera l'un des moyens de s'attaquer à la racine du problème.
Le programme auquel Jhonnatan participe consiste en une école d'orchestre de jeunes – une sorte de philharmonie municipale.. Le projet de prévention du crime et de la violence de l’USAID au Salvador finance neuf écoles philharmoniques qui touchent plus de 600 jeunes à risque, sans frais pour eux ou leurs familles.
Mario Ernesto Acosta Romualdo, un psychologue qui coordonnait l'outil de prévention philharmonique pour le projet de prévention du crime et de la violence au Salvador, affirme qu'une méthodologie à plusieurs volets est utilisée pour déterminer où ce type d'intervention pourrait faire pencher la balance en faveur de la paix.
« Nous sélectionnons les communautés dans lesquelles nous pensons que nous aurions le plus grand impact, examiner plusieurs facteurs de risque, y compris les activités des gangs, familles dysfonctionnelles et violence domestique, drogues, alcool, entre autres,» dit Acosta Romualdo, qui a depuis quitté le projet.
Pauvreté, migration vers d'autres pays, les ménages monoparentaux et d'autres facteurs font que la plupart des jeunes des zones cibles n'ont aucune formation formelle en musique, sans parler de l'accès aux instruments de musique.
Heureusement, le programme financé par l'USAID fournit le programme, équipement et allocations pour les enseignants. La communauté fournit un espace pour les séances de pratique et pour stocker le matériel, tandis que le secrétaire à la promotion culturelle participe à la formation des instructeurs.
Les jeunes sont testés pour mesurer leur potentiel et leurs aptitudes, même si personne n'est refusé au programme. Après environ huit mois de pratique constante et de renforcement positif, ils sont prêts à se produire en public.
Tito Antonio Alvarez travaille à la mairie d'Ilobasco et est coordinateur de l'orchestre philharmonique de la ville..
"C'est un beau projet," Alvarez dit. «Cela aide les jeunes, surtout pour surmonter tous les problèmes sociaux que nous vivons ici au Salvador. Avant le début de ce programme, les jeunes d'Ilobasco passaient leur temps avec des amis ou à la maison, ou simplement se promener dans la ville. Maintenant, ils consacrent leur temps à la musique.
Tout en maintenant les jeunes à risque engagés dans des activités positives, les orchestres philharmoniques jouent un rôle qui ne se limite pas à occuper les jeunes à risque. Le psychologue Acosta Romualdo affirme que les jeunes ciblés souffrent d'une faible estime de soi et d'autres problèmes qui peuvent être résolus grâce au programme..
« Il est important de renforcer cet équilibre et de développer l’estime de soi afin qu’ils puissent voir leur manque de potentiel., moyen- et potentiel à long terme," dit-il.
Cette approche découle de la stratégie du Projet de prévention du crime et de la violence au Salvador visant à encourager les jeunes à risque à voir un avenir au-delà d’aujourd’hui..
Acosta Romualdo note que les effets du programme s'étendent au-delà des jeunes musiciens eux-mêmes.
« Nous avons remarqué que lorsqu’un instrument entre dans une maison, ça impacte tout le monde, pas seulement le jeune. Toute la famille s'intéresse; ils voient l'apprentissage qui se poursuit. Ils voient le dévouement, et ils commencent à vivre ce genre de valeurs de travail ensemble et d'entraide,» ajoute Acosta Romualdo.
Eliseo Castellanos vante le programme de l'orchestre philharmonique.
Il en est à son sixième mandat de maire d'Ilobasco, qui a plus de 100 jeunes participants à son orchestre philharmonique.
"C'est une très bonne chose. On voit beaucoup d'enthousiasme,» dit le maire Castellanos. « Nous avons cinq professeurs de musique qui enseignent aux enfants, et nous pensons que cela aide vraiment [délinquance et violence chez les jeunes] prévention. La communauté est très enthousiaste et cela me rend vraiment heureux.
Le maire d'Ilobasco ajoute: «Je parle avec les jeunes et avec les adultes. Ils sont tous motivés. Cela fonctionne vraiment. Nous en avons vraiment besoin.
La mère de Jhonnatan est une fervente partisane de l’orchestre philharmonique. Dans le cas de Jhonnatan, apprendre à jouer de la guitare a été particulièrement utile car il est né avec une maladie de la colonne vertébrale qui le maintient dans un fauteuil roulant.
« Il était un peu timide et me demandait pourquoi il était en fauteuil roulant.. Cela a été difficile car notre quartier est rural et il est difficile de se déplacer en fauteuil roulant car il y a beaucoup de pierres sur la route.,» dit Julia Irma Marroquín. « Il me disait qu’il ne voudrait pas aller à l’école parce qu’il tomberait de sa chaise.. Mais depuis qu'il a débuté à l'école d'orchestre, il dit qu'il veut y aller. Il veut apprendre. Il veut me chanter des chansons.
Le psychologue Acosta Romualdo connaît la situation de Jhonnatan à Ilobasco.
« Lui et sa mère me disaient qu'il avait souvent été exclu à cause de sa condition physique.,» Acosta Romualdo dit. "Mais maintenant, même si les cours sont au deuxième étage sans accès facile pour lui, les enfants et l'instructeur le soulèvent pour le cours et le descendent ensuite, et maintenant il sent qu'il fait partie de quelque chose. C’est très satisfaisant.
Renforcer l’estime de soi de Jhonnatan et lui permettre d’entrevoir un avenir font partie des résultats positifs du programme..
"Ses réalisations sont une victoire pour moi en tant que mère," dit-elle. « La guitare a littéralement changé sa vie. Je suis très reconnaissante pour le projet et reconnaissante qu’il ait apporté autant de bonheur à mon fils.
Jhonnatan a su se découvrir une passion pour la musique et il pense déjà à son avenir.
"J'ai de très bonnes notes, et un jour je veux être directeur d'une grande entreprise, une de ces entreprises qui fabriquent des ordinateurs, téléviseurs et caméras de télévision.
Armando José Guevara Guerra, dix ans, est également à l'école philharmonique et ne peut s'empêcher de s'en réjouir.
«Ma tante en a parlé à ma mère et nous sommes venus, et j'ai vraiment aimé," dit-il. «J'apprends à jouer de la guitare, jouer des chansons. Ma nouvelle chanson préférée s'appelle Tema de Amor (Thème d'amour).»
Armando est tellement enthousiaste à l'idée de participer au projet qu'il joue également de la musique à l'église et dit qu'il veut devenir professeur de musique quand il sera grand..
«Je veux être enseignant ici (à l'école philharmonique). À l’église, je joue la chanson « Chanter la joie de vivre »," Armando dit.
Même si l’objectif du programme n’est pas de former des musiciens professionnels, Selon Alvarez, du bureau du maire, une poignée d'entre eux ont réussi à gagner leur vie en tant qu'artistes professionnels.
Alvarez dit que les orchestres philharmoniques transforment la façon dont les communautés se perçoivent.
« Dans ce pays, avoir une philharmonie locale est quelque chose de complètement nouveau. On verrait ça en Europe, dans d'autres endroits, mais pas ici," dit Álvarez. "Mais maintenant, ce que nous avons accompli en si peu de temps, Bien, ça me rend vraiment heureux. Le Salvador n’est pas seulement une question de violence. Il y a de bonnes choses, et des choses positives.
Rapporté du Salvador par Michael J. Zamba et René Urrutia.
Aux portes de San Vicente, Le sauveur, a construction crew was putting the final touches on a new playground that will feature swings, a slide, a merry go round and benches.
A municipal official from this town of 53,000 people says the playground is of particular importance for residents in this area.
“There are gangs about 50 meters in that direction," dit-il, pointing at a cluster of houses on the other side of a small patch of wooded area. “There are more gang members over there," dit-il, pointing in the opposite direction.
Malheureusement, he comments, a group of gang members were killed in this area about a year ago.
Located about an hour from the capital of San Salvador, this community hopes to turn this situation around with playgrounds, street lights, sidewalks and other community-focused tactics. En particulier, this playground is an initiative designed to provide safe, open spaces for families and to help reduce crime and violence. It has worked elsewhere in this city.
San Vicente is an active participant in the Projet de prévention du crime et de la violence au Salvador, une période de cinq ans, $24 million project funded by the NOUS. Agence pour le développement international and implemented by Creative Associates International to help communities throughout this Central American country. The project consists of a multifaceted strategy—ranging from developing employment opportunities to creating violence prevention policies.
Autorités municipales, dirigeants communautaires, residents and Creative collaborate to identify key projects such as youth Centres de sensibilisation, sportif, arts and urban renewal activities that can turn the tide of crime and violence. Infrastructure projects like playgrounds, street lights and sidewalks are essential to a community’s success.
On the other side of San Vicente, residents in the neighborhood of Cañasverales know firsthand what it is like not to have a place for families to relax and feel safe.
Kevin Umaña Montoya is the coordinator of an Outreach Center in Cañasverales , a neighborhood where approximately 500 children live.
“There really wasn’t a place for kids to play or hang out. They would come from school and just stay home, and people were afraid to come here because they would say it was a dangerous community,» se souvient-il. “But thank God [et] with the USAID project we’ve been able to do big things, like build a park for the kids to play so that they can find a safe space to hang out, instead of thinking about other things.”
In addition to the park and Outreach Center, the project installed street lights and sidewalks along selected streets.
As part of the El Salvador Crime and Violence Prevention Project, a local committee comprised of municipal authorities and residents was established to devise plans using the program’s tools, including infrastructure.
Patricia Henríquez, coordinator of San Vicente’s crime prevention committee, explains that families in the Cañasverales neighborhood urgently wanted to improve the public spaces—but they also needed to put in their part.
“The whole community participated [in building the park] and they felt empowered,” Henríquez says. “And by helping to build it, the community is invested in it and will help to take care of it. I feel very good about being involved in this project. It is very satisfying to see the level of community involvement and to see the youth involved too. Perhaps they had nothing to do before, but now they are involved in making the park a nice place to be.”
In addition to the community’s contribution of labor, the city government and USAID have their respective roles. The municipal government provides the space, architectural drawings and project supervision. USAID’s project provides funding and technical support.
José Domingo Chávez, an architect and chief of projects in the San Vicente Mayor’s Office, says seven neighborhoods in San Vicente have been identified as at risk and are the focus of these joint efforts in his city.
“The USAID project is about a place where families and the whole community can go to be together, to play, to interact with one another,” Chavez says. “When you have those recreation areas, when the kids come from school, they can go have some fun, do sports, keep their minds occupied, so that they won’t be involved in things that will do them no good.”
Miguel Eduardo Gutiérrez Martínez, who until recently was a civil engineer with the El Salvador Crime and Violence Prevention Project, says that there are 77 neighborhoods in municipalities around the country that have these infrastructure projects.
The scope of these tactical efforts come in three price ranges, depending on their scope: Small projects may cost less than $8,000 and are completed in a few weeks; medium-sized efforts range from $8,000 à $19,000 and are typically wrapped up in about six weeks; and large projects could cost up to $60,000.
The idea has proven successful in other parts of the world, including the dangerous neighborhoods of Brazil. It was studied and adapted for use in El Salvador.
Though the new parks and other infrastructure receive a considerable amount of attention, these neighborhood improvement activities go beyond fun and games.
Crime and violence need certain conditions in order to grow, Gutiérrez Martínez says, and these infrastructure projects help to eliminate them.
“It’s about creating spaces or improving existing spaces, opening up new, livable spaces, and also fixing areas that are too dark and isolated where people don’t feel safe,” says Gutiérrez Martínez. “Gangs and violence in El Salvador have robbed people of their sense of community. What we want to do is give back that pride in their community, and for that to happen, you have to have a community that is safe, clean, orderly, and with areas that invite one to use them.”
He says these infrastructure projects may seem small, but they are making a significant difference in the lives of residents. He says they are “giving people faith and hope in their communities.”
An upside to these projects is the improved relationship between underserved communities and municipal officials.
“We have found in a lot of communities and heard from residents that they never asked for infrastructure projects that they needed,” says Gutiérrez Martínez. “This communication did not exist.”
De même, municipal authorities frequently lacked access to these communities until the project was introduced. Dans certains cas, city officials are now using this model to enhance their communications with other marginalized communities.
Néanmoins, reducing crime and violence continues to be the primary goal of these activities.
San Vicente Mayor Medardo Hernández Lara says installing parks, street lights and sidewalks are making a change in these violence-prone neighborhoods.
"Avant, if you were to visit Cañaverales at 9 ou 10 at night, it was very insecure," dit-il.
Now the situation has changed and the community is now taking back the night.
“Sometimes children play and play and play until dark in areas that were once not safe,” Mayor Hernández Lara explains. “Now it’s real busy and packed with children.”
Umaña Montoya of Cañaverales agrees with the Mayor’s analysis of these areas. He has also seen a marked difference in the children ever since the park was built.
“Every afternoon after school, they head to the park. Their mood is different now. They are happy and that motivates me, to see them happy and smiling," dit-il.
Gutiérrez Martínez sees a brighter future for these municipalities.
“And people are returning to those days when you would see children play well into the night and where people would gather with their families and neighbors,” Gutiérrez Martínez says. “El Salvador can still be a good place to live.”
Rapporté du Salvador par Michael J. Zamba et René Urrutia.